• En guise de citation aujourd'hui vous aurez une petite devinette chinoise à résoudre pour lubrifier vos neurones :
    3 personnes prennent une chambre à 30 €, chacun paye 10 €. Le réceptionniste s'aperçoit qu'il a fait une erreur, la chambre ne coûte que 25 €. Il demande au groom de rapporter les 5 € de différence aux clients. 5 € n'étant pas divisible par 3, le groom garde 2 € et rend 1 € à chaque client. Donc 9 € X 3 clients + 2 € pour le groom = 29 €. Où est passé le dernier euro ?


    4 commentaires
  • Je vous ai déjà présenté le petit modèle (dans l'anneau de rideau). Voilà la taille au-dessus. Le cadre doit faire une dizaine de centimètres de haut. Ah, il y a encore un chat de planqué, oui peut-être bien, ça se fourre partout ces petits bêtes là.   

    Chemin--eG.jpg

     


    2 commentaires
  • Je vous ai déjà présenté le petit modèle (dans l'anneau de rideau). Voilà la taille au-dessus. Le cadre doit faire une dizaine de centimètres de haut. Ah, il y a encore un chat de planqué, oui peut-être bien, ça se fourre partout ces petits bêtes là.   

    Chemin--eG.jpg

     


    2 commentaires
  • PG - Salut PD bien dormi ?
    PD - Oui PG et toi ?
    PG - Ca baigne, mais vaut mieux ce matin, ça va pas être peinards dans nos pantoufles.
    PD - M'en parle pas ça va encore être dur, dur
    PG - Ouais comme tu dis.
    A peine se sont-ils dit bonjour que les deux amis sortent de la maison et atterrissent dans la voiture, RD et RG les rejoignent à l'arrière et direction le boulot.

    Arrivés à pied d'oeuvre PD et PG se sanglent dans leurs vêtements de travail et au turbin.
    D'abord bien se préparer à l'effort, avec RD et RG ils forment une bonne équipe, c'est plutôt la hiérarchie qui laisse à désirer, mais bon faut faire avec, c'est elle qui paye.

    Se croisant quelques instants, les amis s'interrogent :
    PG - Vous croyez que la chef va encore râler ?
    RD - Sûr qu'elle va encore trouver des trucs qui vont pas.
    PD - Ouais le style rien à faire ça plie pas.
    RG - Comme si on y pouvait quelque chose, c'est pas de notre faute s'il y un défaut technique quand même.
    RD - Ca c'est le cadet de ses soucis.
    PD - Bref d'une parfaite mauvaise foi.
    Ces quelques précieux instants de pause terminés, les deux équipes se séparent et reprennent leur dur labeur. Aller, venir, avancer, reculer, se plier, s'incliner péniblement d'un côté, puis de l'autre, essayer de sauter ou bifurquer au dernier moment pour éviter les obstacles qui n'arrêtent pas de se mettre sur leur route,  se croiser en essayant de ne pas se gêner, bref, une attention et une concentration de tous les instants pour éviter l'accident.

    Nouvelle pause, pendant que la hiérarchie prend de nouveaux ordres de sa hiérarchie à elle, eh oui bonjour la pyramide, mais pendant ce temps la piétaille peut se reposer quelques instants, c'est bon à prendre.
    PD - Bon sang, j'ai des fourmis partout.
    RD - Désolé, mais quond on s'est préparé, la chef a jugé qu'il fallait serrer un peu plus ton harnais, forcément maintenant tu as la circulation coupée, va falloir prendre ton mal en patience mon pauvre vieux.
    PG - Moi, c'est la cheville qui commence à me lancer.
    RG - Logique, tu sais bien qu'elle n'a pas encore trouvé le matériel qui nous permettrait de ne pas nous crisper comme on le fait.
    Tous en choeur : Y en a marre de ce boulot à la noix, vivement ce midi qu'on puisse se reposer. 

    Reprise des hostilités. Et tout à coup, l'accident, l'équipe des D et celle des G croient chacune de leur côté qu'elles doivent enjamber un obstacle, et paf, elles le font en même temps et laissent tomber lourdement leur charge.

    Bien sûr la hiérarchie râle, faut dire que la chûte a été rude et le matériel est un brin endommagé.
    RG - Ah c'est gagné.
    PD - Faut dire que ça faisait un moment qu'on le voyait venir.
    PG - Inutile de dire qu'on va encore se faire passer un savon.
    RD - Eh ho, c'est pas de notre faute quand même si le dispatcheur est pas foutu de traiter l'information comme il faut et de la transmettre dans les temps.

    Après avoir réussi cahin-caha à remettre la marchandise sur pied et un dernier tour du site de travail, c'est enfin l'heure de dételer.

    Tous en choeur : Ouf enfin tranquilles, qu'est ce que ça fait du bien quand ça s'arrête.
    PD - Pour le moment, mais j'ai entendu dire qu'au mois de juillet, on allait être obligé de faire des heures supplémentaires.
    RG -
    C'est pas vrai !!! Tu blagues là ???
    PG - Eh non mon pauvre vieux, c'est bien prévu, d'ailleurs pourquoi crois-tu que toi et RD vous avez eu le droit à une super visite médicale la semaine dernière.
    RD - Ras le bol, vivement la retraite !!!
    PG - On travaillerait un jour sur deux avec vous, l'autre ce serait avec les pieds palmés.
    RG - Oh ben, eux on peut pas dire qu'ils aient trop de travail quand même, ils travaillent sur du velours par rapport à nous.
    PD - Eux peut-être, mais nous c'est tous les jours qu'on va boulonner.
    RD - Y a pas de justice mon pauvre.

    Alors là, pas de doute, faut que j'intervienne avant la révolte générale. C'est moi la chef après tout. 

    Sans compter qu'il y a une partie de mon anatomie qui a envie de régler ses comptes avec les petits copains d'en-dessous.

    Ah oui, je ne vous avais pas dit, c'est vrai que l'abréviation du nom des 4 compères n'est pas forcément explicite. 

    Donc je vous présente : Pied Droit et Pied Gauche, Roller Droit et Roller Gauche. 

    Et la marchandise qu'ils ont laissé tomber, c'était ma pomme et mes fesses quand même, bon d'accord, je suis un brin de mauvaise foi, le petit personnel n'était pas totalement en faute, en fait il faut que j'enguirlande mon oreille interne qui m'a joué un sale tour en me faisant perdre l'équilibre, ou alors m'en prendre au minuscule caillou qui a coincé ma roue.

    Bref. Je fais du roller et je vais préciser quelques autres petites choses. 

    M'étant esquinté le genou gauche à l'adolescence, la seule fois où j'ai réussi à sauter le mètre en hauteur (on ne rigole pas) j'ai tendance à crisper les orteils quand je roule, je cherche donc des semelles pour compenser ce problème.

    La visite médicale c'est une bonne heure passée à nettoyer et intervertir les roues (sous l'oeil intéressé de ma minette qui de temps en temps me donnait un coup de patte avec les vis).

    Ce qui a du mal à plier ce sont mes chevilles (hyper souple au niveau des hanches, je bloque au niveau des chevilles, nul n'est parfait).

    Les heures supplémentaires c'est l'intention que j'ai de profiter de mes vacances pour me promener en rollers sur la voie verte aménagée en forêt pour les rollers et autres joggeurs et pour aller à la piscine nager un peu avec mes palmes.

    Et voilà, en attendant j'ai eu un superbe bleu à la fesse qui m'a contrainte à m'asseoir sur un doux coussin pendant plusieurs jours et à la tartiner d'arnica.


    4 commentaires
  • PG - Salut PD bien dormi ?
    PD - Oui PG et toi ?
    PG - Ca baigne, mais vaut mieux ce matin, ça va pas être peinards dans nos pantoufles.
    PD - M'en parle pas ça va encore être dur, dur
    PG - Ouais comme tu dis.
    A peine se sont-ils dit bonjour que les deux amis sortent de la maison et atterrissent dans la voiture, RD et RG les rejoignent à l'arrière et direction le boulot.

    Arrivés à pied d'oeuvre PD et PG se sanglent dans leurs vêtements de travail et au turbin.
    D'abord bien se préparer à l'effort, avec RD et RG ils forment une bonne équipe, c'est plutôt la hiérarchie qui laisse à désirer, mais bon faut faire avec, c'est elle qui paye.

    Se croisant quelques instants, les amis s'interrogent :
    PG - Vous croyez que la chef va encore râler ?
    RD - Sûr qu'elle va encore trouver des trucs qui vont pas.
    PD - Ouais le style rien à faire ça plie pas.
    RG - Comme si on y pouvait quelque chose, c'est pas de notre faute s'il y un défaut technique quand même.
    RD - Ca c'est le cadet de ses soucis.
    PD - Bref d'une parfaite mauvaise foi.
    Ces quelques précieux instants de pause terminés, les deux équipes se séparent et reprennent leur dur labeur. Aller, venir, avancer, reculer, se plier, s'incliner péniblement d'un côté, puis de l'autre, essayer de sauter ou bifurquer au dernier moment pour éviter les obstacles qui n'arrêtent pas de se mettre sur leur route,  se croiser en essayant de ne pas se gêner, bref, une attention et une concentration de tous les instants pour éviter l'accident.

    Nouvelle pause, pendant que la hiérarchie prend de nouveaux ordres de sa hiérarchie à elle, eh oui bonjour la pyramide, mais pendant ce temps la piétaille peut se reposer quelques instants, c'est bon à prendre.
    PD - Bon sang, j'ai des fourmis partout.
    RD - Désolé, mais quond on s'est préparé, la chef a jugé qu'il fallait serrer un peu plus ton harnais, forcément maintenant tu as la circulation coupée, va falloir prendre ton mal en patience mon pauvre vieux.
    PG - Moi, c'est la cheville qui commence à me lancer.
    RG - Logique, tu sais bien qu'elle n'a pas encore trouvé le matériel qui nous permettrait de ne pas nous crisper comme on le fait.
    Tous en choeur : Y en a marre de ce boulot à la noix, vivement ce midi qu'on puisse se reposer. 

    Reprise des hostilités. Et tout à coup, l'accident, l'équipe des D et celle des G croient chacune de leur côté qu'elles doivent enjamber un obstacle, et paf, elles le font en même temps et laissent tomber lourdement leur charge.

    Bien sûr la hiérarchie râle, faut dire que la chûte a été rude et le matériel est un brin endommagé.
    RG - Ah c'est gagné.
    PD - Faut dire que ça faisait un moment qu'on le voyait venir.
    PG - Inutile de dire qu'on va encore se faire passer un savon.
    RD - Eh ho, c'est pas de notre faute quand même si le dispatcheur est pas foutu de traiter l'information comme il faut et de la transmettre dans les temps.

    Après avoir réussi cahin-caha à remettre la marchandise sur pied et un dernier tour du site de travail, c'est enfin l'heure de dételer.

    Tous en choeur : Ouf enfin tranquilles, qu'est ce que ça fait du bien quand ça s'arrête.
    PD - Pour le moment, mais j'ai entendu dire qu'au mois de juillet, on allait être obligé de faire des heures supplémentaires.
    RG -
    C'est pas vrai !!! Tu blagues là ???
    PG - Eh non mon pauvre vieux, c'est bien prévu, d'ailleurs pourquoi crois-tu que toi et RD vous avez eu le droit à une super visite médicale la semaine dernière.
    RD - Ras le bol, vivement la retraite !!!
    PG - On travaillerait un jour sur deux avec vous, l'autre ce serait avec les pieds palmés.
    RG - Oh ben, eux on peut pas dire qu'ils aient trop de travail quand même, ils travaillent sur du velours par rapport à nous.
    PD - Eux peut-être, mais nous c'est tous les jours qu'on va boulonner.
    RD - Y a pas de justice mon pauvre.

    Alors là, pas de doute, faut que j'intervienne avant la révolte générale. C'est moi la chef après tout. 

    Sans compter qu'il y a une partie de mon anatomie qui a envie de régler ses comptes avec les petits copains d'en-dessous.

    Ah oui, je ne vous avais pas dit, c'est vrai que l'abréviation du nom des 4 compères n'est pas forcément explicite. 

    Donc je vous présente : Pied Droit et Pied Gauche, Roller Droit et Roller Gauche. 

    Et la marchandise qu'ils ont laissé tomber, c'était ma pomme et mes fesses quand même, bon d'accord, je suis un brin de mauvaise foi, le petit personnel n'était pas totalement en faute, en fait il faut que j'enguirlande mon oreille interne qui m'a joué un sale tour en me faisant perdre l'équilibre, ou alors m'en prendre au minuscule caillou qui a coincé ma roue.

    Bref. Je fais du roller et je vais préciser quelques autres petites choses. 

    M'étant esquinté le genou gauche à l'adolescence, la seule fois où j'ai réussi à sauter le mètre en hauteur (on ne rigole pas) j'ai tendance à crisper les orteils quand je roule, je cherche donc des semelles pour compenser ce problème.

    La visite médicale c'est une bonne heure passée à nettoyer et intervertir les roues (sous l'oeil intéressé de ma minette qui de temps en temps me donnait un coup de patte avec les vis).

    Ce qui a du mal à plier ce sont mes chevilles (hyper souple au niveau des hanches, je bloque au niveau des chevilles, nul n'est parfait).

    Les heures supplémentaires c'est l'intention que j'ai de profiter de mes vacances pour me promener en rollers sur la voie verte aménagée en forêt pour les rollers et autres joggeurs et pour aller à la piscine nager un peu avec mes palmes.

    Et voilà, en attendant j'ai eu un superbe bleu à la fesse qui m'a contrainte à m'asseoir sur un doux coussin pendant plusieurs jours et à la tartiner d'arnica.


    4 commentaires