• Suite à ma devinette Vrai ou Faux, il m'a très gentiment envoyé ce dessin (pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore, s'il en reste, son adresse, c'est à droite).

    Bon, quand même une ou deux précisions. (pas vraiment utiles, mais comme ça vous ne voyez pas le dessin de Francis trop vite, faut faire durer un peu le plaisir quand même)
    Je n'ai jamais réussi à monter les jambes à l'équerre, je ne suis pas Hulk quand même, mais certains de nos pompiers le faisait sans problème.
    Les frisettes, bouh ouh ouh, j'en ai jamais eu, je frise à plat. En plus, à l'époque j'étais un vrai garçon manqué alors le noeud dans les cheveux et les dentelles, c'était pas trop le truc de la maison (soyons juste ce n'est toujours pas trop le truc de la maison)
    Surtout, j'espère que je n'avais pas l'air aussi satisfaite de moi en enfonçant tous ces pauvres garçons !!! (Encore que ... avec mon mauvais fond, va savoir.) Une chose est sûre ce n'était généralement pas la peine de leur montrer deux fois (trop la honte de se voir damer le pion par une gamine).
    Et enfin, comme je le précisais dans un de mes commentaires, si je suis costaud du côté des bras (pas trop mal du côté du cerveau, eh ho, c'est mon blog, je suis parfaitement autorisée à m'envoyer des fleurs) en revanche côté gambettes, c'est plutôt Flagada le boxeur aux jambes molles. Mes profs de gym n'en sont jamais revenus, 12 secondes pour faire un 60 mètres (ou était-ce 50 mètres), mes condisciples mettaient tous moins de 10 secondes et la seule fois où j'ai réussi à sauter le mètre (attention avec réception sur du sable hein, pas sur un tapis de mousse) je me suis fichu le genou en l'air.
    Côté sports d'équipe :
    au hand je restais dans les buts (j'étais une excellente gardienne, pas beaucoup de chemin à faire ça me convenait parfaitement) je ne voyais pas l'intérêt de me taper toute la longueur du terrain en courant après une baballe
    au volley déplacements limités et smash canons donc parfaitement dans mes cordes
    au basket trop petite je ne touchais jamais le ballon (et de toutes façons jamais pigé les règles)
    balle au prisonnier, excellente quand il fallait tirer dans le tas (vous ne le saviez pas je dois avoir un petit côté sadique).
    Et quand il fallait faire des tours de piste en courant, l'ovale du stade se transformait généralement en rectangle (le tout était de ne pas se faire piquer par le prof, sinon bing un tour de plus).
    Le sport à l'école c'était donc pas trop mon truc.
    En revanche, j'avais un papa sportif (champion de France militaire du 400 mètres haies plusieurs fois, excusez du peu) et il rêvait d'avoir une fille sportive (il m'aurait bien vu prof de gym) alors il n'a pas ménagé sa peine, il m'a appris à nager, à faire du vélo, le patin à roulettes ça c'est moi toute seule sur le carrelage de la cantine de la caserne (ça roulait super ce truc et en plus le barman m'abreuvait en Orangina et me nourrissait à grands coups de Nuts), ensuite il y a eu le ski et le patin à glace, vous allez me dire que pour ça il faut se servir de ses jambes, certes mais elles ne sont pas toutes seules, il y a  des accessoires qui aident.
    Et maintenant je continue assidûment la nage, la gym volontaire (sans Véronique, ni Davina), le tir à l'arc (j'ai dû m'arrêter quelques temps pour cause de lunettes à verre progressif, la cible se trouvait pile poil à l'endroit un peu flou qui délimite les deux types de vision, pas extra pour viser quoi, et vu le prix des lunettes faut attendre un peu pour faire refaire des lunettes vision de loin) et récemment le roller (se reporter à la remarque précédente concernant les accessoires).
    Mais attention, je fais ça pour le plaisir alors à dose modérée, pas de sur-entraînement, je tire ma flemme quand j'en ai envie et je ne vais jamais au-delà de mes possibilités ou juste un tout petit peu (sadique peut-être, mais pas maso).
    Bon bref vous vous êtes farci suffisamment de prose nombriliste.
    Je vous laisse, ENFIN, découvrir le dessin de Francis à qui je dis à nouveau MERCI FRANCIS, t'es un gars sympa, même si tu ne nourris pas ton chat en premier.


    4 commentaires
  • Suite à ma devinette Vrai ou Faux, il m'a très gentiment envoyé ce dessin (pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore, s'il en reste, son adresse, c'est à droite).

    Bon, quand même une ou deux précisions. (pas vraiment utiles, mais comme ça vous ne voyez pas le dessin de Francis trop vite, faut faire durer un peu le plaisir quand même)
    Je n'ai jamais réussi à monter les jambes à l'équerre, je ne suis pas Hulk quand même, mais certains de nos pompiers le faisait sans problème.
    Les frisettes, bouh ouh ouh, j'en ai jamais eu, je frise à plat. En plus, à l'époque j'étais un vrai garçon manqué alors le noeud dans les cheveux et les dentelles, c'était pas trop le truc de la maison (soyons juste ce n'est toujours pas trop le truc de la maison)
    Surtout, j'espère que je n'avais pas l'air aussi satisfaite de moi en enfonçant tous ces pauvres garçons !!! (Encore que ... avec mon mauvais fond, va savoir.) Une chose est sûre ce n'était généralement pas la peine de leur montrer deux fois (trop la honte de se voir damer le pion par une gamine).
    Et enfin, comme je le précisais dans un de mes commentaires, si je suis costaud du côté des bras (pas trop mal du côté du cerveau, eh ho, c'est mon blog, je suis parfaitement autorisée à m'envoyer des fleurs) en revanche côté gambettes, c'est plutôt Flagada le boxeur aux jambes molles. Mes profs de gym n'en sont jamais revenus, 12 secondes pour faire un 60 mètres (ou était-ce 50 mètres), mes condisciples mettaient tous moins de 10 secondes et la seule fois où j'ai réussi à sauter le mètre (attention avec réception sur du sable hein, pas sur un tapis de mousse) je me suis fichu le genou en l'air.
    Côté sports d'équipe :
    au hand je restais dans les buts (j'étais une excellente gardienne, pas beaucoup de chemin à faire ça me convenait parfaitement) je ne voyais pas l'intérêt de me taper toute la longueur du terrain en courant après une baballe
    au volley déplacements limités et smash canons donc parfaitement dans mes cordes
    au basket trop petite je ne touchais jamais le ballon (et de toutes façons jamais pigé les règles)
    balle au prisonnier, excellente quand il fallait tirer dans le tas (vous ne le saviez pas je dois avoir un petit côté sadique).
    Et quand il fallait faire des tours de piste en courant, l'ovale du stade se transformait généralement en rectangle (le tout était de ne pas se faire piquer par le prof, sinon bing un tour de plus).
    Le sport à l'école c'était donc pas trop mon truc.
    En revanche, j'avais un papa sportif (champion de France militaire du 400 mètres haies plusieurs fois, excusez du peu) et il rêvait d'avoir une fille sportive (il m'aurait bien vu prof de gym) alors il n'a pas ménagé sa peine, il m'a appris à nager, à faire du vélo, le patin à roulettes ça c'est moi toute seule sur le carrelage de la cantine de la caserne (ça roulait super ce truc et en plus le barman m'abreuvait en Orangina et me nourrissait à grands coups de Nuts), ensuite il y a eu le ski et le patin à glace, vous allez me dire que pour ça il faut se servir de ses jambes, certes mais elles ne sont pas toutes seules, il y a  des accessoires qui aident.
    Et maintenant je continue assidûment la nage, la gym volontaire (sans Véronique, ni Davina), le tir à l'arc (j'ai dû m'arrêter quelques temps pour cause de lunettes à verre progressif, la cible se trouvait pile poil à l'endroit un peu flou qui délimite les deux types de vision, pas extra pour viser quoi, et vu le prix des lunettes faut attendre un peu pour faire refaire des lunettes vision de loin) et récemment le roller (se reporter à la remarque précédente concernant les accessoires).
    Mais attention, je fais ça pour le plaisir alors à dose modérée, pas de sur-entraînement, je tire ma flemme quand j'en ai envie et je ne vais jamais au-delà de mes possibilités ou juste un tout petit peu (sadique peut-être, mais pas maso).
    Bon bref vous vous êtes farci suffisamment de prose nombriliste.
    Je vous laisse, ENFIN, découvrir le dessin de Francis à qui je dis à nouveau MERCI FRANCIS, t'es un gars sympa, même si tu ne nourris pas ton chat en premier.


    4 commentaires
  • Quelques notes de bas de page de ce cher Bartiméus
    " Officiellement, il est chargé de la propagande, c'est-à-dire de concevoir d'astucieux moyens de faire accepter la guerre au peuple".
    "Une paix égyptienne, c'est-à-dire qu'il y a toujours autant de viols, de pillages et de meurtres, mais que nous en sommes les auteurs et non plus les victimes. Ce qui est nettement mieux"
    "L'essence de ce pauvre Truklet représente une maigre pitance. D'ordinaire, je l'aurais dédaignée. Mais les temps sont durs et je dois rassembler le plus d'énergie possible. De plus, cette petite ordure allait me dénoncer"

    votre commentaire
  • Quelques notes de bas de page de ce cher Bartiméus
    " Officiellement, il est chargé de la propagande, c'est-à-dire de concevoir d'astucieux moyens de faire accepter la guerre au peuple".
    "Une paix égyptienne, c'est-à-dire qu'il y a toujours autant de viols, de pillages et de meurtres, mais que nous en sommes les auteurs et non plus les victimes. Ce qui est nettement mieux"
    "L'essence de ce pauvre Truklet représente une maigre pitance. D'ordinaire, je l'aurais dédaignée. Mais les temps sont durs et je dois rassembler le plus d'énergie possible. De plus, cette petite ordure allait me dénoncer"

    votre commentaire
  • Suite et fin de la trilogie de Bartiméus, la  Porte de Ptolémée  - Jonathan Stroud

    Résumé decitre : Londres, ville des sorciers, est en proie aux grèves et aux émeutes. Humains et démons en ont assez d'être asservis aux magiciens dédaigneux qui les exploitent et les humilient. Mais cette grande révolution pourrait bien tourner à l'apocalypse. Nathaniel, le jeune magicien ambitieux, Bartiméus, le djinn sarcastique, et Kitty, la résistante, sauront-ils surmonter leurs dissensions et unir leurs forces pour sauver Londres ? Avec plus d'un million et demi d'exemplaires vendus dans le monde, La Trilogie de Bartiméus s'impose comme une œuvre phare de la littérature fantasy.

    Résumé électre : Au XXIe siècle, le magicien Nathaniel, le djinn Bartiméus et Kitty la résistante s'unissent pour mettre fin au conflit larvé, risquant de provoquer la destruction de Londres, entre les humains et les démons d'un côté et les magiciens de l'autre.

    Mon avis : Après les premières tentatives timides de rébellion du tome précédent, ça y est la révolte est en marche. Ces livres sont en principe pour les jeunes de 12 à 15 ans, mais je trouve que la description de la chute d'un empire basé sur la propagande, la corruption et l'asservissement des masses, est excellente. Ceci mis de côté, l'histoire est toujours aussi palpitante, Nathaniel à claquer, Bartiméus bien sarcastique, Kitty pleine de feu et nous découvrons enfin qui est le traître et il est plus qu'improbable. Face à un complot qui risque de réduire à néant Londres et le reste du monde, nos trois amis vont unir leurs forces et se lancer dans la bataille. Nathaniel arrive même à remonter dans l'estime des lecteurs c'est tout dire. Le final quant à lui est grandiose. Ce livre çi est plus particulièrement basé sur la confiance et le lâcher prise. Et puis ça ne fait jamais que 3 fois 600 pages à engloutir avec avidité et bonheur.

    2 commentaires