• Aujourd'hui, je vous présente une artisane (c'est moche comme mot, mais c'est dans le dictionnaire) de ma région. Elle fabrique de très amusants meubles en carton (oui comme la valise).
    Il y en a pour tous les goûts et elle peut également faire du sur-mesure.
    En plus, ils sont résistants (chaises et fauteuils peuvent supporter un poids de 100 kg/cm2) et écologiques, elle n'utilise que des peintures et vernis à l'eau (pas de solvant).
    Allez donc faire un petit tour sur le site de Kiki Carton (Claudie de son vrai prénom) et régalez-vous, d'ailleurs, pour vous allécher un peu, voilà un charmant petit modèle (Quoi ? C'est un chat ? Ah j'avais pas remarqué !) 

     

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  • Aujourd'hui, je vous présente une artisane (c'est moche comme mot, mais c'est dans le dictionnaire) de ma région. Elle fabrique de très amusants meubles en carton (oui comme la valise).
    Il y en a pour tous les goûts et elle peut également faire du sur-mesure.
    En plus, ils sont résistants (chaises et fauteuils peuvent supporter un poids de 100 kg/cm2) et écologiques, elle n'utilise que des peintures et vernis à l'eau (pas de solvant).
    Allez donc faire un petit tour sur le site de Kiki Carton (Claudie de son vrai prénom) et régalez-vous, d'ailleurs, pour vous allécher un peu, voilà un charmant petit modèle (Quoi ? C'est un chat ? Ah j'avais pas remarqué !) 

     

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  • Dans mes articles d'hier sur les odeurs, AnneSo me faisait remarquer qu'il ne fallait peut-être pas mettre trop en pratique celle de Gustave Flaubert, que je rappelle
    "Odeur (des pieds) : signe de santé"
    et comme Françis, de son côté, me faisait remarquer fort à propos que de nombreux souvenirs passent par l'odorat, je me suis remémorer une petite anecdote que je me fais un plaisir de vous rapporter ici (bon sang qu'est ce que je cause bien).
    Après l'obtention du concours qui m'a permis d'intégrer la fonction publique (pas de réflexion merci), j'ai eu obligation de faire des formations "en veux-tu en voilà" pendant 2 ans, seul petit problème si la première année on trouve un certain nombre de choses intéressantes à faire, ce n'est plus la même chose ensuite. Bon, vous dites-vous, elle est où cette histoire d'odeur. J'y viens, j'y viens.
    Ne sachant plus trop comment boucher les trous, j'ai décidé de me faire avant les grandes vacances un petit stage pas trop fatigant "Word pour confirmés" (farpaitement je suis une pro du clavier, je frappe avec tous mes petits doigts).
    Me voici donc qui débarque au centre de formation par une chaude journée de début juillet (si, si il y a quelques années ça existait encore).
    Je choisis un PC et je m'installe. Le formateur et 4 autres stagiaires débarquent dans la salle laquelle est plutôt riquiqui.
    Après nous être présentés, nous commençons à travailler.
    Au bout de quelques temps une odeur bizarre commence à sinuer jusqu'à mes sinus jusqu'àlors sereins. SSSnnnifff, ça sent drôle, enfin quand je dis drôle, soyons claires et nettes CA SCHLINGUE grave. Mais d'où viennent ces effluves pestilentiels (j'ai vérifié effluve est bien masculin) qui titillent outrageusement mes délicates narines ? Certes nous sommes dans une grande ville polluée, mais quand même, là je me croirais dans ma belle campagne à la saison de l'épandage.
    Après avoir discrètement regardé un peu partout (pour le cas où un rat mort serait en train de se décomposer dans un coin), mon regard effaré se pose sur les pieds nus dans des chaussures tout cuir synthétique de mon voisin, voilà d'où viennent ces odeurs, le monsieur, je peux vous le dire ETAIT EN PLEINE SANTE.
    Pour faire court et n'ayant pas osé lui parler de son petit souci d'hygiène (encore un problème de société ça, ne pas oser dire les choses pour ne pas choquer les autres) j'ai passé les deux jours de stage (pas moyen le lendemain d'aller m'installer ailleurs notre travail était enregistré sur le PC choisi le 1er jour) à m'enduire le nez d'un petit produit génial pour les maux de tête à base de menthe et de lavande (Migranel pour ceux que ça intéresse) et que je trimballe toujours dans mon sac, en plus l'odeur me permettait d'éviter de rebalancer petit déjeuner et déjeuner sur les pieds odoriférants de mon estimé voisin (heureusement que je suis une lectrice assidue de polar, mais si vous savez bien le vicks lors de autopsies). En plus pas moyen d'ouvrir les fenêtres parce que nous trouvions en bordure d'un boulevard très passant et très bruyant.
    Seul petit inconvénient, ce produit qui agit en alternant sensation de chaud et de froid est quand même, à haute dose comme c'était le cas, un peu agressif pour la peau. Mes co-stagiaires ont probablement pensé que j'allais régulièrement me faire des lignes de coke dans les toilettes pour avoir un nez dans cet état ou alors pour les plus indulgents que je devais me tenir un rhume des foins hyper costaud.
    Et les autres, me direz-vous fort justement, ils n'ont rien senti ? Si probablement, mais se reporter à ma remarque sur le problème de société, de plus mon odorant voisin et moi-même étions installés à la même table, laquelle était séparée des autres par des montants métalliques devant et sur les côtés qui devaient leur épargner le plus gros de l'attaque bactériologique et la concentrer sur ma pauvre petite personne.
    Moralité : Avant de vous asseoir à côté de quelqu'un, pensez à vérifier qu'il n'est pas en trop bonne santé et qu'accessoirement il porte des chaussettes.

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  • Dans mes articles d'hier sur les odeurs, AnneSo me faisait remarquer qu'il ne fallait peut-être pas mettre trop en pratique celle de Gustave Flaubert, que je rappelle
    "Odeur (des pieds) : signe de santé"
    et comme Françis, de son côté, me faisait remarquer fort à propos que de nombreux souvenirs passent par l'odorat, je me suis remémorer une petite anecdote que je me fais un plaisir de vous rapporter ici (bon sang qu'est ce que je cause bien).
    Après l'obtention du concours qui m'a permis d'intégrer la fonction publique (pas de réflexion merci), j'ai eu obligation de faire des formations "en veux-tu en voilà" pendant 2 ans, seul petit problème si la première année on trouve un certain nombre de choses intéressantes à faire, ce n'est plus la même chose ensuite. Bon, vous dites-vous, elle est où cette histoire d'odeur. J'y viens, j'y viens.
    Ne sachant plus trop comment boucher les trous, j'ai décidé de me faire avant les grandes vacances un petit stage pas trop fatigant "Word pour confirmés" (farpaitement je suis une pro du clavier, je frappe avec tous mes petits doigts).
    Me voici donc qui débarque au centre de formation par une chaude journée de début juillet (si, si il y a quelques années ça existait encore).
    Je choisis un PC et je m'installe. Le formateur et 4 autres stagiaires débarquent dans la salle laquelle est plutôt riquiqui.
    Après nous être présentés, nous commençons à travailler.
    Au bout de quelques temps une odeur bizarre commence à sinuer jusqu'à mes sinus jusqu'àlors sereins. SSSnnnifff, ça sent drôle, enfin quand je dis drôle, soyons claires et nettes CA SCHLINGUE grave. Mais d'où viennent ces effluves pestilentiels (j'ai vérifié effluve est bien masculin) qui titillent outrageusement mes délicates narines ? Certes nous sommes dans une grande ville polluée, mais quand même, là je me croirais dans ma belle campagne à la saison de l'épandage.
    Après avoir discrètement regardé un peu partout (pour le cas où un rat mort serait en train de se décomposer dans un coin), mon regard effaré se pose sur les pieds nus dans des chaussures tout cuir synthétique de mon voisin, voilà d'où viennent ces odeurs, le monsieur, je peux vous le dire ETAIT EN PLEINE SANTE.
    Pour faire court et n'ayant pas osé lui parler de son petit souci d'hygiène (encore un problème de société ça, ne pas oser dire les choses pour ne pas choquer les autres) j'ai passé les deux jours de stage (pas moyen le lendemain d'aller m'installer ailleurs notre travail était enregistré sur le PC choisi le 1er jour) à m'enduire le nez d'un petit produit génial pour les maux de tête à base de menthe et de lavande (Migranel pour ceux que ça intéresse) et que je trimballe toujours dans mon sac, en plus l'odeur me permettait d'éviter de rebalancer petit déjeuner et déjeuner sur les pieds odoriférants de mon estimé voisin (heureusement que je suis une lectrice assidue de polar, mais si vous savez bien le vicks lors de autopsies). En plus pas moyen d'ouvrir les fenêtres parce que nous trouvions en bordure d'un boulevard très passant et très bruyant.
    Seul petit inconvénient, ce produit qui agit en alternant sensation de chaud et de froid est quand même, à haute dose comme c'était le cas, un peu agressif pour la peau. Mes co-stagiaires ont probablement pensé que j'allais régulièrement me faire des lignes de coke dans les toilettes pour avoir un nez dans cet état ou alors pour les plus indulgents que je devais me tenir un rhume des foins hyper costaud.
    Et les autres, me direz-vous fort justement, ils n'ont rien senti ? Si probablement, mais se reporter à ma remarque sur le problème de société, de plus mon odorant voisin et moi-même étions installés à la même table, laquelle était séparée des autres par des montants métalliques devant et sur les côtés qui devaient leur épargner le plus gros de l'attaque bactériologique et la concentrer sur ma pauvre petite personne.
    Moralité : Avant de vous asseoir à côté de quelqu'un, pensez à vérifier qu'il n'est pas en trop bonne santé et qu'accessoirement il porte des chaussettes.

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  • "Piéton : automobiliste descendu de sa voiture. Automobiliste : piéton remonté dans sa voiture" Léo Campion
    "Chauffards : Nom des automobilistes qui vous doublent" Pierre Daninos
    "Le chauffeur est, de loin, la partie la plus dangereuse de l'automobile" Léo Campion

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