• Liza nous proposait de montrer ce que l'on pouvait faire avec une boite de conserve. Voilà une boite de raviolis transformée en boite cadeau pour le Noël dernier de mon fiston, elle contenait un pot de Nutella, nous aimons bien nous faire des cadeaux "utiles" . Maintenant elle lui sert de pot à crayons.







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  • Liza nous proposait de montrer ce que l'on pouvait faire avec une boite de conserve. Voilà une boite de raviolis transformée en boite cadeau pour le Noël dernier de mon fiston, elle contenait un pot de Nutella, nous aimons bien nous faire des cadeaux "utiles" . Maintenant elle lui sert de pot à crayons.







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  • Une chanson de François Béranger de 1976 et dont le refrain est d'actualité pour tout le monde maintenant, reportez-vous également à l'avant dernière strophe !



    Mamadou m'a dit
    Mamadou m'a dit
    On a pressé le citron
    On peut jeter la peau

    Les citrons c'est les négros
    Tous les négros d'Afrique
    Sénégal Mauritanie
    Haute-Volta Togo Mali
    Côte d'Ivoire et Guinée
    Cameroun et Tutti Quanti

    Les colons sont partis avec des flons-flons
    Des discours solennels des bénédictions
    Chaque peuple c'est normal dispose de lui-même
    Et doit s'épanouir dans l' harmonie
    Une fois qu'on l'a saigné aux quatre veines
    Qu'on l'a bien ratissé et qu'on lui a tout pris.

    {Refrain:}
    Les colons sont partis
    Ils ont mis à leur place
    Une nouvelle élite
    Des noirs bien blanchis
    Le monde blanc rigole
    Les nouveaux c'est bizarre
    Sont pires que les anciens
    C'est sûrement un hasard.

    Le monde blanc rigole quand un petit sergent
    Se fait sacrer empereur avec mille glorioles
    Après tout c'est pas grave du moment que les terres
    Produisent pour les blancs ce qui est nécessaire
    Le coton l'arachide le sucre le cacao
    Remplissent les bateaux saturent les entrepôts.

    {au Refrain}

    Après tout c'est pas grave
    Les colons sont partis
    Que l'Afrique se démerde
    Que les paysans crèvent
    Les colons sont partis
    Avec dans leurs bagages
    Quelques bateaux d'esclaves
    Pour ne pas perdre la main.

    Quelques bateaux d'esclaves pour balayer les rues
    Ils se ressemblent tous avec leur passe-montagne
    Ils ont froid à la peau et encore plus au cœur
    Là-bas c'est la famine et ici la misère
    Et comme il faut parfois manger et puis dormir
    Dans les foyers taudis on vit dans le sordide.

    {au Refrain}

    Et puis un jour la Crise
    Nous envahit aussi
    Qu'on les renvoie chez eux
    Ils seront plus heureux
    Qu'on leur donne un pourboire
    Faut être libéral
    Et quand à ceux qui râlent
    Un bon coup de pied au cul.

    Vous comprenez Monsieur c'est quand pas normal
    Ils nous bouffent notre pain ils reluquent nos femmes
    Qu'ils retournent faire les singes dans leur cocotiers
    Tous nos bons nègres à nous qu'on a si bien soignés
    Et puis c'qui est certain c'est qu'un rien les amuse
    Ils sont toujours à rire ce sont de vrais gamins.

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  • Une chanson de François Béranger de 1976 et dont le refrain est d'actualité pour tout le monde maintenant, reportez-vous également à l'avant dernière strophe !



    Mamadou m'a dit
    Mamadou m'a dit
    On a pressé le citron
    On peut jeter la peau

    Les citrons c'est les négros
    Tous les négros d'Afrique
    Sénégal Mauritanie
    Haute-Volta Togo Mali
    Côte d'Ivoire et Guinée
    Cameroun et Tutti Quanti

    Les colons sont partis avec des flons-flons
    Des discours solennels des bénédictions
    Chaque peuple c'est normal dispose de lui-même
    Et doit s'épanouir dans l' harmonie
    Une fois qu'on l'a saigné aux quatre veines
    Qu'on l'a bien ratissé et qu'on lui a tout pris.

    {Refrain:}
    Les colons sont partis
    Ils ont mis à leur place
    Une nouvelle élite
    Des noirs bien blanchis
    Le monde blanc rigole
    Les nouveaux c'est bizarre
    Sont pires que les anciens
    C'est sûrement un hasard.

    Le monde blanc rigole quand un petit sergent
    Se fait sacrer empereur avec mille glorioles
    Après tout c'est pas grave du moment que les terres
    Produisent pour les blancs ce qui est nécessaire
    Le coton l'arachide le sucre le cacao
    Remplissent les bateaux saturent les entrepôts.

    {au Refrain}

    Après tout c'est pas grave
    Les colons sont partis
    Que l'Afrique se démerde
    Que les paysans crèvent
    Les colons sont partis
    Avec dans leurs bagages
    Quelques bateaux d'esclaves
    Pour ne pas perdre la main.

    Quelques bateaux d'esclaves pour balayer les rues
    Ils se ressemblent tous avec leur passe-montagne
    Ils ont froid à la peau et encore plus au cœur
    Là-bas c'est la famine et ici la misère
    Et comme il faut parfois manger et puis dormir
    Dans les foyers taudis on vit dans le sordide.

    {au Refrain}

    Et puis un jour la Crise
    Nous envahit aussi
    Qu'on les renvoie chez eux
    Ils seront plus heureux
    Qu'on leur donne un pourboire
    Faut être libéral
    Et quand à ceux qui râlent
    Un bon coup de pied au cul.

    Vous comprenez Monsieur c'est quand pas normal
    Ils nous bouffent notre pain ils reluquent nos femmes
    Qu'ils retournent faire les singes dans leur cocotiers
    Tous nos bons nègres à nous qu'on a si bien soignés
    Et puis c'qui est certain c'est qu'un rien les amuse
    Ils sont toujours à rire ce sont de vrais gamins.

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  • Péridot, dit Péri, c'est le prénom que je viens de donner à mon nouveau squatter. En fait, il vaudrait mieux que je dise qu'il m'a adoptée. Je mets régulièrement des croquettes pour les chats errants et ce minou là j'avais déjà eu l'occasion de le croiser avec un collier. Seulement voilà, depuis quelques temps, il n'a plus de collier et il passe beaucoup de temps sur mon terrain, il m'attend notamment le matin et le soir à l'heure des croquettes. Auparavant il ne quémandait que des câlins, mais maintenant, c'est câlins et croquettes, j'ai bien peur que ses "maîtres" aient déménagé en "l'oubliant" derrière eux. Résultat, il m'a adopté, et que voulez-vous je fonds. Je l'ai appelé Péridot à cause de ses superbes yeux vert d'eau, comment voulez-vous résister ? Quand je rentre je donne mes mains à sentir à Thalis, on ne sait jamais si elle voulait bien l'accepter comme frangin !










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