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Pas de couleur dans les chansons aujourd'hui, nous allons avec Martine Smilblick et la communauté "En avant la musique" vous proposer un petit jeu. Nous vous en dirons plus long bientôt.
En attendant je vous présente Pierre Rapsat, un excellent artiste belge disparu trop tôt, que m'a fait découvrir Sandra de "Nouvelles en Vrac", je ne le connaissais pas du tout et j'ai été séduite. Cette chanson lui a inspiré un feuilleton fantastique que je vous invite à déguster comme je l'ai fait. Le début c'est ici.
Et voici les paroles
Lui
C'est un fou
Toujours à rôder
Comme un loup
Il aime les nuits blanches
Les nuits noires
Ses jeux sont étranges
Son regard
A la couleur de la nuit
La couleur de la nuit
Elle
Un voyou
Quelques fois se déguise
Met un loup
Elle a son langage
Ses bijoux
Ses jeux son nuage
Tout comme vous
Passagers de la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
Ils se sont reconnus
A l'aurore
La lumière du jour
Sur leurs corps
Deux ombres chinoises
Se dessinent
Quand le matin les croise
S'éliminent
Quand l'ombre s'allonge
Touche leur voile
C'est la fin du songe
Les étoiles
Ils rentrent dans la nuit
Apparaissent dans la nuit
Disparaissent dans la nuit
Passagers de la nuit
Quand se couche le soleil
Les zombies se réveillent
Au fond du tunnel
La lune les appelle
Aux portes de la citadelle
Pour la fête éternelle
La tribu est fidèle
Quand se lève le soleil
Ils regardent le ciel
Rentrent dans le tunnel
La tribu a sommeil
Pour eux c'est la nuit
Pour eux c'est la nuit
Pour eux c'est la nuit.
14 commentaires -
C'est le thème de Photographe du Dimanche pour cette quinzaine. Je vais donc en profiter pour vous présenter un peu plus mon père, mon papa, mon patoune en image surtout.
Mon père, ce héros au sourire si doux disait Victor Hugo.
Et c'est vrai que mon père a toujours beaucoup compté pour moi. Il est parti il y a déjà 7 ans, il ne se passe pas un jour sans que je pense à lui et je suis toujours furieuse que la maladie d'Alzeihmer lui ai volé sa vie, mais les bons moments sont toujours les plus présents.
Le voici donc bébé (né en 1927).
Pompier de Paris pendant 20 ans, il a toujours été un grand sportif. Derrière, le mur sur lequel je faisais de l'équilibre ! Un pro de l'équilibre aussi bien à 20 ans, qu'à 40.
Champion de France militaire du 400 mètres haie.
Décoré notamment de la médaille militaire.
Ce qui ne l'a pas empêché d'être un mari amoureux de ma mère jusqu'au bout.
Un père adorable et qui s'occupait de moi, rare en 1957.
Ici au ski, admirez les pulls et les bonnets assortis. C'est ma grand-mère maternelle qui tous les ans nous tricotait à tous les trois le même modèle en petite, moyenne et grande taille.
Le voici avec Fleur notre chienne dont je vous ai déjà raconté une partie de l'histoire. Mon père, son dieu !
Et on voudrait que je sois sérieuse. C'était un super professionnel, mais comme vous voyez ça ne l'empêchait pas d'être parfois bien déjanté avec un sens de l'humour un peu "légiste" comme beaucoup de membres des professions confrontées au stress et à la mort.
Je t'aime mon Patoune !
38 commentaires -
C'est le thème de Photographe du Dimanche pour cette quinzaine. Je vais donc en profiter pour vous présenter un peu plus mon père, mon papa, mon patoune en image surtout.
Mon père, ce héros au sourire si doux disait Victor Hugo.
Et c'est vrai que mon père a toujours beaucoup compté pour moi. Il est parti il y a déjà 7 ans, il ne se passe pas un jour sans que je pense à lui et je suis toujours furieuse que la maladie d'Alzeihmer lui ai volé sa vie, mais les bons moments sont toujours les plus présents.
Le voici donc bébé (né en 1927).
Pompier de Paris pendant 20 ans, il a toujours été un grand sportif. Derrière, le mur sur lequel je faisais de l'équilibre ! Un pro de l'équilibre aussi bien à 20 ans, qu'à 40.
Champion de France militaire du 400 mètres haie.
Décoré notamment de la médaille militaire.
Ce qui ne l'a pas empêché d'être un mari amoureux de ma mère jusqu'au bout.
Un père adorable et qui s'occupait de moi, rare en 1957.
Ici au ski, admirez les pulls et les bonnets assortis. C'est ma grand-mère maternelle qui tous les ans nous tricotait à tous les trois le même modèle en petite, moyenne et grande taille.
Le voici avec Fleur notre chienne dont je vous ai déjà raconté une partie de l'histoire. Mon père, son dieu !
Et on voudrait que je sois sérieuse. C'était un super professionnel, mais comme vous voyez ça ne l'empêchait pas d'être parfois bien déjanté avec un sens de l'humour un peu "légiste" comme beaucoup de membres des professions confrontées au stress et à la mort.
Je t'aime mon Patoune !
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Nos deux grands-mères (c'est comme ça qu'elles se dénomment elles-mêmes) nous proposent un nouveau jeu : le Cekica. C'est un jeu de devinettes qui paraîtra ici lundi. Je vous conseille de jouer. J'ai gagné la première édition et Jill m'a très gentiment envoyé trois délicieux parfums et un charmant bijou, le tout dans une boite hyper-pratique. Amusez-vous bien ! Et profitez en pour visiter !
10 commentaires -
Nos deux grands-mères (c'est comme ça qu'elles se dénomment elles-mêmes) nous proposent un nouveau jeu : le Cekica. C'est un jeu de devinettes qui paraîtra ici lundi. Je vous conseille de jouer. J'ai gagné la première édition et Jill m'a très gentiment envoyé trois délicieux parfums et un charmant bijou, le tout dans une boite hyper-pratique. Amusez-vous bien ! Et profitez en pour visiter !
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