Nouveau casse-tête de Lajémy. J'ai été récupérer quelques photos mises il y a déjà pas mal de temps et qui vont bien me semble-t-il avec le thème. Nous avons donc :

Une improvisation avec Abalone (où je perds avec une régularité de métronome)

Une vue de près du Monopoly (jeu familial par excellence le 1er mai lorsque tout le monde faisait relâche, même la télé qui ne démarrait ces programmes qu'à partir de 20 h. Je peux être redoutable en capitaliste avide). Mais soyons juste les figurines et les maisons sont nettement moins belles que celles du jeu que j'avais enfant.

Des jeux un peu plus ésotériques, notamment le jeu du destin avec des dés à 8 faces

Mademoiselle Thalis présentant un jeu de morpion amélioré, faut réfléchir en 3 dimensions (inutile de dire que je me fais étaler à chaque fois)

Un jeu plus musclé avec la même demoiselle réglant ses comptes avec Plum

Nouveau casse-tête de Lajémy. J'ai été récupérer quelques photos mises il y a déjà pas mal de temps et qui vont bien me semble-t-il avec le thème. Nous avons donc :

Une improvisation avec Abalone (où je perds avec une régularité de métronome)

Une vue de près du Monopoly (jeu familial par excellence le 1er mai lorsque tout le monde faisait relâche, même la télé qui ne démarrait ces programmes qu'à partir de 20 h. Je peux être redoutable en capitaliste avide). Mais soyons juste les figurines et les maisons sont nettement moins belles que celles du jeu que j'avais enfant.

Des jeux un peu plus ésotériques, notamment le jeu du destin avec des dés à 8 faces

Mademoiselle Thalis présentant un jeu de morpion amélioré, faut réfléchir en 3 dimensions (inutile de dire que je me fais étaler à chaque fois)

Un jeu plus musclé avec la même demoiselle réglant ses comptes avec Plum

Attention on s'accroche, près pour le décollage ? Le début et la fin du texte sont identiques à l'article d'hier, mais le milieu est tant soit peu différent.

Patrick venait de repousser l'animal pour la troisième fois.

Celui-ci continuait à la regarder fixement.

Il décida donc de reprendre sa course, le daim finirait bien par se lasser.

Il voulut prendre le chemin qui menait à la station d'épuration mais la bestiole têtue lui coupa la route.

N'ayant pas envie de tenter une nouvelle fois l'affrontement, il s'attaqua en petites foulées à la montée vers le carrefour Caugé/Parvillle avec l'intention bien arrêtée de tourner vers Caugé.

Mais là encore le daim l'empêcha de s'engager dans le sentier.

Il ne put s'empêcher de ressentir une légère angoisse.

Que lui voulait cette bestiole ?

Tant pis il prendrait par Parville le sentier était très agréable aussi de ce côté là.

Au moment où il passait près du grand arbre gardien du carrefour, il y eut comme un éblouissement de soleil.

Un instant déstabilisé, Patrick vacilla puis reprit sa course.

En se retournant il s'aperçut, tout étonné, que le daim ne le suivait plus il restait au carrefour à le regarder s'éloigner.

Il haussa les épaules et poursuivit son footing.

Brusquement, il entendit des craquements de branches en provenance de l'orée de la forêt.

Tournant la tête il vit s'approcher tout un troupeau de daims. Les animaux, sans le lâcher des yeux, s'alignèrent tout le long de la route qu'il suivait.

Mal à l'aise, il sentit son cœur se mettre à battre la chamade.

A part le bruissement de la végétation sous les sabots des animaux aucun bruit ne s'élevait de la forêt.

Il força l'allure, pressé de s'éloigner de cet étrange attroupement.

Tout-à-coup s'éleva dans l'air épais comme un grognement sourd.

Essayant de réprimer un tremblement, il jeta un coup d'œil à la meute.

Les daims s'approchaient à pas de loup, les babines retroussées sur des dents pointues.

Cours, Patrick, cours !

A quand votre prochaine balade en forêt ?

Attention on s'accroche, près pour le décollage ? Le début et la fin du texte sont identiques à l'article d'hier, mais le milieu est tant soit peu différent.

Patrick venait de repousser l'animal pour la troisième fois.

Celui-ci continuait à la regarder fixement.

Il décida donc de reprendre sa course, le daim finirait bien par se lasser.

Il voulut prendre le chemin qui menait à la station d'épuration mais la bestiole têtue lui coupa la route.

N'ayant pas envie de tenter une nouvelle fois l'affrontement, il s'attaqua en petites foulées à la montée vers le carrefour Caugé/Parvillle avec l'intention bien arrêtée de tourner vers Caugé.

Mais là encore le daim l'empêcha de s'engager dans le sentier.

Il ne put s'empêcher de ressentir une légère angoisse.

Que lui voulait cette bestiole ?

Tant pis il prendrait par Parville le sentier était très agréable aussi de ce côté là.

Au moment où il passait près du grand arbre gardien du carrefour, il y eut comme un éblouissement de soleil.

Un instant déstabilisé, Patrick vacilla puis reprit sa course.

En se retournant il s'aperçut, tout étonné, que le daim ne le suivait plus il restait au carrefour à le regarder s'éloigner.

Il haussa les épaules et poursuivit son footing.

Brusquement, il entendit des craquements de branches en provenance de l'orée de la forêt.

Tournant la tête il vit s'approcher tout un troupeau de daims. Les animaux, sans le lâcher des yeux, s'alignèrent tout le long de la route qu'il suivait.

Mal à l'aise, il sentit son cœur se mettre à battre la chamade.

A part le bruissement de la végétation sous les sabots des animaux aucun bruit ne s'élevait de la forêt.

Il força l'allure, pressé de s'éloigner de cet étrange attroupement.

Tout-à-coup s'éleva dans l'air épais comme un grognement sourd.

Essayant de réprimer un tremblement, il jeta un coup d'œil à la meute.

Les daims s'approchaient à pas de loup, les babines retroussées sur des dents pointues.

Cours, Patrick, cours !

A quand votre prochaine balade en forêt ?

Je viens de regarder le 19:45, le journal de M6. L'invité d'honneur était le Ministre de l'Education Luc Chatel. Je dois dire que j'ai particulièrement apprécié l'intervention du présentateur Xavier de Moulins qui n'a pas hésité à remettre fermement Monsieur le Ministre sur les rails.

A sa question "Comprenez-vous pourquoi les enseignants vont faire grève le 6", ce cher Luc a essayé de biaiser en parlant des retraites, il a été aimablement remis en place par Xavier qui lui a rappelé que cette grève là aurait lieu le 7.

Quant aux jeunes profs jettés quasiment sans formation dans la "cage aux lions" c'est figurez vous le meilleur moyen pour eux de faire leurs preuves et d'avoir de l'expérience, ben tiens !

Le morceau de bravoure a été le passage sur les sureffectifs. A la question du journaliste demandant s'il était normal que certaines classes soient surchargées, le Ministre a encore essayé de prendre la tangente en parlant de "moyenne nationale". Si j'ai bien compris le raisonnement : dans une classe rurale vous avez 25 élèves, dans une classe urbaine vous avez 35 élèves, donc 25 + 35 = 60 que vous divisez par 2, vous vous retrouvez donc avec 30 élèves par classe, donc pas de sureffectif, elle est pas belle la démonstration (je ne sais pas ce qu'en pensent les parents dont les enfants se retrouvent à 35) ?

Et pour finir en apothéose, Monsieur le Ministre de l'Education a butté sur un mot, le prononçant mal (je ne me souviens plus duquel) et il a été repris par le présentateur. Je sens que Xavier de Moulins va devenir un de mes journalistes préférés !