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Pour la petite Récré de JB, voilà l'ami Philibert
Non Philibert n’est pas le cancre décrit par l’ami Jacques Bodoin (là bien sûr comme d’habitude je parle d’un temps que les moins de vingt ans, etc, etc).
Philibert est le fils de Bertille et Fulbert, l’ami du loup Pacôme, eh oui, ça y est ce petiot a enfin choisi son prénom ! Je vous l’ai déjà dit, moi je laisse les prénoms choisir leurs personnages ! Ou est-ce le contraire ?
Bref, Philibert entre cette année à l’école.
Manifestement, ce fait ne le perturbe pas trop, mais il a du mal à comprendre pourquoi il ne peut pas emmener son doudou préféré à l’école, à savoir Pacôme.
Ses parents ont beau lui expliquer que les doudous généralement n’ont pas de grandes dents et ne marchent pas tout seuls. Philibert n’en démord pas, IL VEUT PACOME !
D’accord, l’école, il paraît que c’est sympa, qu’on y rencontre des amis, qu’on y joue, qu’éventuellement qu’on y apprend « des choses », quelles choses ? Ca c’est encore un vaste mystère à percer ! Tout ça lui paraît très bien à Philibert, un programme sympa en somme.
Donc, ce n’est pas qu’il refuse d’aller à l’école Philibert, mais il ne veut pas y aller sans Pacôme. Ses parents, ses grands-parents, oncles et tantes ont beau lui proposer une montagne de doudous allant de la couverture, du mouchoir, au lapin, en passant par divers chats, chiens, marmottes, voire même un serpent et un marsupillami, rien à faire !
Philibert n’est pas pour rien le fils de ses parents, il est têtu !
Donc à quelques jours de la rentrée, c’est le statu quo. Chacun campe sur ses positions. Pas de Pacôme pour Bertille et Fulbert, pas de rentrée sans Pacôme pour Philibert !
Bref, la situation est bloquée, le conflit en passe d’évoluer vers l’épreuve de force.
Au milieu de tout ça, le principal intéressé, à savoir Pacôme, se sent comme un chien dans un jeu de quilles. Lui, il n’a rien contre l’école non plus, mais il se doute bien que certains deux pattes ne seraient pas trop d’accord, à commencer par les institutrices qui feraient tout un pataquès sur l’hygiène !
Mais, voilà ! Heureusement, nous sommes à Bigorbourg ! Et à Bigorbourg rien d’impossible !
La veille du grand jour, un Philibert boudeur (mais déterminé à faire un esclandre si besoin est le lendemain) va se coucher après un gros câlin avec son copain.
Pendant la nuit, notre petit Philibert se met à rêver. Il rêve d’une formule magique, une formule magique qui peut tout transformer en doudous si on en a vraiment, mais alors vraiment, vraiment envie !
Au petit matin, encore en pyjama, Philibert se rue vers la tanière de son Pacôme. Il regarde le grand animal dans les yeux, se penche sur l’oreille velue et lui murmure quelques mots mystérieux à l’oreille (non je ne vous dirais pas lesquels, vous seriez capables de tout transformer en doudous, il faut être raisonnable quand même).
Aussitôt un drôle d’air de musique retentit, un nuage semble entourer Pacôme qui fait un clin d’œil à son jeune protégé (oui, à Bigorbourg, rien n’empêche les loups de faire des clins d’œil) et il se met à rétrécir, à rétrécir, son poil se fait tout doux, son corps tout moelleux.
Très fier de lui, Philibert rentre à la maison avec Pacôme le doudou sous le bras. Ses parents sont fort étonnés de voir cette peluche débarquer, ils ne se souviennent pas l’avoir vu dans le monceau de bestioles offertes à leur fils, mais en bons Bigorbourgeois, ils évitent de se poser des questions trop longtemps, d’autant que Philibert semble maintenant très pressé de partir à l’école.
Le soir en rentrant, avant même de raconter quoique ce soit à ses parents émus d’avoir maintenant un « grand » garçon, Philibert file dans le jardin, pose son doudou par terre, lui susurre la même formule que le matin, et le vrai Pacôme en chair, os et dents réapparait, s’étire de bien-être, pas facile de rester immobile toute la journée, mais que voulez-vous, que ne ferait-on pas pour l’amour d’un petit garçon !
Et c’est ainsi que tous les jours de classe, un doudou loup accompagne un Philibert rayonnant à l’école.
Vous vous demandez qui a bien pu glisser la formule magique dans l’oreille de Philibert, et bien figurez vous que je m’interroge aussi, parce que quand j’ai commencé à écrire l’histoire de Philibert eh bien ce n’était pas du tout celle-ci que j’avais en tête !
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N'étant pas très douée en botanique je ne sais pas trop comment s'appellent ces fleurs. Ce qui est bizarre c'est qu'elles deviennent mauves en se fanant.
Bleu épanoui
Tout doucement vers la mort
Mauve deviendra
38 commentaires -
N'étant pas très douée en botanique je ne sais pas trop comment s'appellent ces fleurs. Ce qui est bizarre c'est qu'elles deviennent mauves en se fanant.
Bleu épanoui
Tout doucement vers la mort
Mauve deviendra
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Accrochez-vous à vos rêves ! C'est Pierre Rapsat qui le dit et je confirme !
Tous les rêves, tous les rêves que l'on a partagés
Tous les rêves, tous ces rêves faut pas les oublier
Tout ce qui nous apporte un peu de redoux
Tout ce qui nous importe s'éloigne de nous
Tous les rêves, tous ces rêves, tous ces baisers volés
Tous ces rêves envolés qu'on a abandonné
Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, au plus profond de nous...
Aimons les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Tous ces rêves, nous élèvent, nous font aimer la vie
Tous ces rêves, ça soulève et ça donne l'envie
L'envie d'un monde meilleur, c'est beau mais facile
De pas commettre trop d'erreurs, c'est bien plus difficile
Car les rêves, car les rêves parfois viennent s'échouer
Et s'achèvent, et s'achèvent devant l'écran d'une télé
Dans un monde qui nous agresse, qui peut vous mettre en pièce
Solitaire dans un trois pièce, tout ce qu'il nous reste...
C'est d'aimer les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Laissons-les, laissons-les, laissons-les filer
Tous les rêves, tous les rêves que l'on a poursuivi
Tous les rêves, tous ces rêves pour un bel aujourd'hui
Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, les rêves sont en nous.
Les rêves sont en nous...
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Accrochez-vous à vos rêves ! C'est Pierre Rapsat qui le dit et je confirme !
Tous les rêves, tous les rêves que l'on a partagés
Tous les rêves, tous ces rêves faut pas les oublier
Tout ce qui nous apporte un peu de redoux
Tout ce qui nous importe s'éloigne de nous
Tous les rêves, tous ces rêves, tous ces baisers volés
Tous ces rêves envolés qu'on a abandonné
Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, au plus profond de nous...
Aimons les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Tous ces rêves, nous élèvent, nous font aimer la vie
Tous ces rêves, ça soulève et ça donne l'envie
L'envie d'un monde meilleur, c'est beau mais facile
De pas commettre trop d'erreurs, c'est bien plus difficile
Car les rêves, car les rêves parfois viennent s'échouer
Et s'achèvent, et s'achèvent devant l'écran d'une télé
Dans un monde qui nous agresse, qui peut vous mettre en pièce
Solitaire dans un trois pièce, tout ce qu'il nous reste...
C'est d'aimer les étoiles
Laissons-les filer
Aimons les étoiles
Laissons-les, laissons-les, laissons-les filer
Tous les rêves, tous les rêves que l'on a poursuivi
Tous les rêves, tous ces rêves pour un bel aujourd'hui
Et qui nous donnaient l'envie d'aller jusqu'au bout
A présent nous supplient de rester debout
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on ne faisait plus
Mais les rêves, tous ces rêves que l'on croyait perdus
Il suffit d'une étincelle pour que tout à coup
Ils reviennent de plus belle, les rêves sont en nous.
Les rêves sont en nous...
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