• Comment ? Comment ? Un petit-fils mais depuis quand ?

    Pas de panique, voilà, voilà, je vous présente Clumsy, mon petit-fils velu ! Le propriétaire de mon fils Jérôme.

    Clumsy signifie "maladroit", sachant que les chats sont en principe gauchers, on peut dire que ce jeune homme a 4 pattes arrières droites.

    Bref, il a une triste histoire, qui vous vous en doutez se termine bien. Mais en attendant de vous la raconter, je profite du retour de Domino et du thème "Décontracté ou marrante" de Chatmicalement vôtre, pour vous le présenter.

    Photo0104

    Et pour que ma minette ne soit pas trop jalouse, là voilà elle aussi (photo probablement déjà mise)

    Sieste2.jpg


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  • Mardi je vous ai mis une "émeraude", elle a été réalisée grâce au kaleïdoscope de Kizoa à partir de cette photo toute simple prise à la fenêtre de mon bureau.


    20111213 10

     

    Et quitte à délirer, je lui ai offert un autre petit traitement avec photoimpact.

    Comme titre, il me semble que "des yeux vous observent" ne serait pas mal !

     

    Goutte scintillante

    Yeux ouverts sur l'infini

    Frémir ou rire ?


    goutteverte


    36 commentaires
  • Mardi je vous ai mis une "émeraude", elle a été réalisée grâce au kaleïdoscope de Kizoa à partir de cette photo toute simple prise à la fenêtre de mon bureau.


    20111213 10

     

    Et quitte à délirer, je lui ai offert un autre petit traitement avec photoimpact.

    Comme titre, il me semble que "des yeux vous observent" ne serait pas mal !

     

    Goutte scintillante

    Yeux ouverts sur l'infini

    Frémir ou rire ?


    goutteverte


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  • Aujourd'hui, Dagoberte arrive dans la cour de Récré de Jill Bill. J'ai fait au plus simple.


    "Quelle idée, mais quelle idée avons-nous eu de lui donner ce prénom" se lamentaient la mère et le père de Dagoberte.


    Certes, certes, ils voulaient un prénom original, un prénom ne se terminant pas bêtement en ine ou en a, un prénom qui leur rappellerait leur joyeuse enfance. Tout cela est parfaitement légitime nous sommes bien d'accord, et puis à Bigorbourg, on n'est pas un prénom bizarre près, mais il aurait été bien que les géniteurs de Dagoberte se souviennent aussi, qu'à Bigorbourg, les prénoms ont une fâcheuse tendance à s'amuser.


    Donc, depuis sa naissance, les pieds en avant forcément, Dagoberte n'avait pas cessé de prendre ses parents à rebrousse-poil. Ceci dit la maman aurait du se méfier, un bébé qui ne vous donne pas l'impression d'avoir une paire de côtes en trop, qui ne vous oblige pas à vous lever 10 fois par nuit pour aller faire pipi, qui daigne bouger sous la main caressante de son papa, ce n'est pas normal !
    Ce n'était pas un cri qu'elle avait poussé à la naissance, mais un éclat de rire. L'obstétricien avait d'ailleurs failli la laisser tomber de saisissement.


    Elle avait ensuite dédaigné le lait au grand désespoir des infirmières qui, heureusement pour Dagoberte, s’étaient aperçues par hasard qu'ayant déjà toutes ses dents elle préférait croquer les pommes qui se trouvaient sur le plateau de sa maman, maman déjà un tantinet dépassée par les évènements.


    A leur grand plaisir ses parents découvrirent que Dagoberte faisait ses nuits sans les réveiller. Inutile de dire que leur joie fut de courte durée, puisqu’à l'âge où, en principe, les enfants dorment tranquillement de 23 h à 5 h (ne donnons pas de fausses idées aux futures mamans qui pensent dans leur grande naïveté qu'une nuit complète c'est 20 h / 8 h), notre Dagoberte mettait le bazar.


    Pour l'endormir, après quelques tâtonnements les berceuses, et tout particulièrement "le bon roi Dagobert" qui déclenchait chez elle des hurlements de rage, furent proscrites, et les parents épuisés durent se rabattre sur un bon rock de derrière les fagots ce qui nécessita quelques mises au point avec les voisins qui avaient un peu de mal à comprendre cette étrange éducation.


    A l'âge requis pour la nourriture solide, elle décida de vivre de lait, d'eau fraîche et de jus de fruits.
    Bien entendu elle sut courir avant de marcher, très déstabilisant pour des parents qui s'attendent à voir leur bout de chou choir sur ses fesses rebondies, tant pis pour les vidéos !


    Après avoir appris à lire, Dagoberte s’attaqua au grand soulagement de ses parents à l’art de la conversation, encore fallait-il bien assimiler que lorsqu’elle disait oui, il fallait entendre non, mais qu’en revanche lorsqu’on lui disait oui elle comprenait bien oui et pas non, vous suivez là ? Bref, ses parents durent s’adapter vaille que vaille à ces acrobaties linguistiques.


    Les dits parents voyaient arriver avec angoisse le moment de l’entrée à l’école. Leur fille savait lire, ne risquait-elle pas de désapprendre, et son écriture serait-elle normale ou en miroir ? Et comment réagiraient ses copains de classe en se prenant une tape en guise de bisou ou en la voyant pleurer quand il s’agirait de rire, sachant que pour elle les pleurs étaient des rires. En un mot, comme en cent, les cheveux des parents de Dagoberte prenaient de belles teintes blanches.


    Mais, comme à Bigorbourg, tout problème trouve sa solution, celle-ci arriva un beau matin avec un camion de déménagement. La maison voisine vit débarquer une famille composée d’un père et d’une mère standards et d’un garçonnet du même âge que Dagoberte.


    Celle-ci intriguée, alla à sa rencontre, sous les yeux inquiets de ses parents.http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L422xH600/poulbot_4-c908b.jpg
    « Bonjour » fit le petit garçon
    « Bonjour » répondit Dagoberte. Ces parents en tombèrent par terre, elle venait de dire bonjour et pas bonsoir, quel était ce miracle ?


    Le miracle était le prénom de ce petit garçon qui remit les idées de Dagoberte et la vie de ses parents à l’endroit. Son prénom ? Vous l’avez deviné bien sûr : c’est Eloi !


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  • Aujourd'hui, Dagoberte arrive dans la cour de Récré de Jill Bill. J'ai fait au plus simple.


    "Quelle idée, mais quelle idée avons-nous eu de lui donner ce prénom" se lamentaient la mère et le père de Dagoberte.


    Certes, certes, ils voulaient un prénom original, un prénom ne se terminant pas bêtement en ine ou en a, un prénom qui leur rappellerait leur joyeuse enfance. Tout cela est parfaitement légitime nous sommes bien d'accord, et puis à Bigorbourg, on n'est pas un prénom bizarre près, mais il aurait été bien que les géniteurs de Dagoberte se souviennent aussi, qu'à Bigorbourg, les prénoms ont une fâcheuse tendance à s'amuser.


    Donc, depuis sa naissance, les pieds en avant forcément, Dagoberte n'avait pas cessé de prendre ses parents à rebrousse-poil. Ceci dit la maman aurait du se méfier, un bébé qui ne vous donne pas l'impression d'avoir une paire de côtes en trop, qui ne vous oblige pas à vous lever 10 fois par nuit pour aller faire pipi, qui daigne bouger sous la main caressante de son papa, ce n'est pas normal !
    Ce n'était pas un cri qu'elle avait poussé à la naissance, mais un éclat de rire. L'obstétricien avait d'ailleurs failli la laisser tomber de saisissement.


    Elle avait ensuite dédaigné le lait au grand désespoir des infirmières qui, heureusement pour Dagoberte, s’étaient aperçues par hasard qu'ayant déjà toutes ses dents elle préférait croquer les pommes qui se trouvaient sur le plateau de sa maman, maman déjà un tantinet dépassée par les évènements.


    A leur grand plaisir ses parents découvrirent que Dagoberte faisait ses nuits sans les réveiller. Inutile de dire que leur joie fut de courte durée, puisqu’à l'âge où, en principe, les enfants dorment tranquillement de 23 h à 5 h (ne donnons pas de fausses idées aux futures mamans qui pensent dans leur grande naïveté qu'une nuit complète c'est 20 h / 8 h), notre Dagoberte mettait le bazar.


    Pour l'endormir, après quelques tâtonnements les berceuses, et tout particulièrement "le bon roi Dagobert" qui déclenchait chez elle des hurlements de rage, furent proscrites, et les parents épuisés durent se rabattre sur un bon rock de derrière les fagots ce qui nécessita quelques mises au point avec les voisins qui avaient un peu de mal à comprendre cette étrange éducation.


    A l'âge requis pour la nourriture solide, elle décida de vivre de lait, d'eau fraîche et de jus de fruits.
    Bien entendu elle sut courir avant de marcher, très déstabilisant pour des parents qui s'attendent à voir leur bout de chou choir sur ses fesses rebondies, tant pis pour les vidéos !


    Après avoir appris à lire, Dagoberte s’attaqua au grand soulagement de ses parents à l’art de la conversation, encore fallait-il bien assimiler que lorsqu’elle disait oui, il fallait entendre non, mais qu’en revanche lorsqu’on lui disait oui elle comprenait bien oui et pas non, vous suivez là ? Bref, ses parents durent s’adapter vaille que vaille à ces acrobaties linguistiques.


    Les dits parents voyaient arriver avec angoisse le moment de l’entrée à l’école. Leur fille savait lire, ne risquait-elle pas de désapprendre, et son écriture serait-elle normale ou en miroir ? Et comment réagiraient ses copains de classe en se prenant une tape en guise de bisou ou en la voyant pleurer quand il s’agirait de rire, sachant que pour elle les pleurs étaient des rires. En un mot, comme en cent, les cheveux des parents de Dagoberte prenaient de belles teintes blanches.


    Mais, comme à Bigorbourg, tout problème trouve sa solution, celle-ci arriva un beau matin avec un camion de déménagement. La maison voisine vit débarquer une famille composée d’un père et d’une mère standards et d’un garçonnet du même âge que Dagoberte.


    Celle-ci intriguée, alla à sa rencontre, sous les yeux inquiets de ses parents.http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L422xH600/poulbot_4-c908b.jpg
    « Bonjour » fit le petit garçon
    « Bonjour » répondit Dagoberte. Ces parents en tombèrent par terre, elle venait de dire bonjour et pas bonsoir, quel était ce miracle ?


    Le miracle était le prénom de ce petit garçon qui remit les idées de Dagoberte et la vie de ses parents à l’endroit. Son prénom ? Vous l’avez deviné bien sûr : c’est Eloi !


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