• Pour le Projet 52 de Vivre la photo de cette semaine, je vais encore avoir besoin de vous. Laquelle des 7 ? Je sais, je sais je ne vous facilite pas la vie !

     

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  • D'accord ici vous croisez plus souvent des chats, mais lorsque les chiens sont comme ça, il ne faut pas se priver. Allez donc vous apitoyer sur deux pôvs malheureuses !


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  • D'accord ici vous croisez plus souvent des chats, mais lorsque les chiens sont comme ça, il ne faut pas se priver. Allez donc vous apitoyer sur deux pôvs malheureuses !


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  • Bien reprenons !

    Le lendemain, au point du jour, voilà notre exorciste qui débarque avec tout son attirail. Il se prépare à lancer l’attaque.

    Mais voilà que … Attention il va falloir suivre !!!

    Les 3 G se mettent à sonner l’alarme et Igor de coq du clocher s’égosille à qui mieux mieux.

    Aussitôt Landry le vent, Marius l’éclair et Sabine le nuage, entrent en action, pendant que Landry hurle aux oreilles de Marcellin (appelons le par son nom), Marius lui envoie des décharges d’électricité dans les fesses et Sabine l’arrose copieusement.

    Profitant du désarroi de « l’ennemi » Eulalie la petite lutine, reine des maladroits, s’arrange pour qu’il se prenne les pieds dans son matériel.

    Ces premiers attaquants sont vivement encouragés par Félicité l’ange gardienne et son amie Prudence la fantômette farceuse. Perchées sur une gargouille elles encouragent leurs amis.

    Titubant, Marcellin s’éloigne de sa quincaillerie, aussitôt Casimir le chien de Monsieur Lazare, Belle Aggie et Paterne les chats du presbytère se mettent à courir entre ses pieds et le font trébucher.

    Assourdi, trempé, piqué et harcelé de toutes parts, Marcellin tente une échappée.

    Illico, Placide l’escargot survolté et Nestor la tortue se lancent à sa poursuite.

    Thècle, grimpée sur Herbert son balai, passe en rase motte et lâche les bombes à eau préparées par Olive l’ondine.

    De plus en plus trempé, faisant floc-floc dans ses godillots, Marcellin file tête baissée. Bien mal lui en prend, le voilà qui entre en collision avec Vencelas, l’âne peintre, qui l’expédie d’une ruade bien placée à l’autre bout de la rue.

    Marcellin pense trouver son salut dans la forêt toute proche, il se rue sous le couvert des arbres, mais vous pensez bien que Pacôme le loup et Olympe la chouette l’attendent au tournant. Habitués à la chasse, ils s’arrangent pour le lancer dans LA direction prévue par l’assemblée des Bigorbourgeois lors de la réunion extraordinaire de la veille.

    Pour être sûr qu’il aille bien là où il faut, Anicet le diablotin, accompagné d’Anicet et de Wenefride les lutins, grimpés sur le dos de Jo Za et Fa, les chauves-souris qui constituent avec Thècle l’armée de l’air Bigorbourgeoise, lui passent au ras des oreilles pour l’entraîner de plus en plus profondément dans la forêt, laquelle forêt retentit des cris de tous les membres du petit peuple bien décidés à défendre leur petit paradis.

    Bref, complètement déboussolé, Marcellin finit par emboutir de plein fouet Irenée le chêne roi de la forêt. KO pour le compte, il s’écroule au pied de l’arbre majestueux.

    Sans perdre un instant, Irénée commence à s’introduire dans sa tête, aidé par Amédée l’inventeur de rêves et de Pétrus le farfadet qui devine les faiblesses des vilains, il passe au crible ce qui a bien pu pousser Marcellin à passer du « côté obscur » de la force. Ensuite dans ses rêves, ils l’aident à régler ses problèmes et le laisse se reposer.

    A son réveil, Marcellin est entouré d’un certain nombre d’habitants de Bigorbourg, dont Monsieur Lazare le médecin qui lui tend une gélule de paracétamol histoire de l’aider à dissiper son mal de tête.

    Le père Paterne lui sourit aimablement et l’interroge.

    « Comment allez-vous mon cher ami ? »

    « Bien, très bien même, il y avait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi léger »

    « Eh oui, comme vous pouvez le constater, nul besoin d’exorciser les démons dans notre petit bourg »

    « Vous avez parfaitement raison, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je vous adresse toutes mes excuses pour le dérangement »

    Marcellin se lève, un sourire vaguement niais sur les lèvres et s’éloigne.http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/37/Fromagerie.jpg

    Mais vous vous doutez bien qu’une fois qu’on a goûté à Bigorbourg, on a un peu de mal à s’en passer. Et à quelques temps de là, Marcellin est de retour, épaulé par les Marguerite (la grand-mère de Pernelle la petite fermière et sa vache), il ouvre une charmante petite boutique dans laquelle il se fait un plaisir de proposer les 365 fromages que compte notre beau pays.

    Pour information, je vous rappelle ma page récapitulative dans la colonne à votre droite, juste histoire de vous y retrouver dans mon petit monde.


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  • Bien reprenons !

    Le lendemain, au point du jour, voilà notre exorciste qui débarque avec tout son attirail. Il se prépare à lancer l’attaque.

    Mais voilà que … Attention il va falloir suivre !!!

    Les 3 G se mettent à sonner l’alarme et Igor de coq du clocher s’égosille à qui mieux mieux.

    Aussitôt Landry le vent, Marius l’éclair et Sabine le nuage, entrent en action, pendant que Landry hurle aux oreilles de Marcellin (appelons le par son nom), Marius lui envoie des décharges d’électricité dans les fesses et Sabine l’arrose copieusement.

    Profitant du désarroi de « l’ennemi » Eulalie la petite lutine, reine des maladroits, s’arrange pour qu’il se prenne les pieds dans son matériel.

    Ces premiers attaquants sont vivement encouragés par Félicité l’ange gardienne et son amie Prudence la fantômette farceuse. Perchées sur une gargouille elles encouragent leurs amis.

    Titubant, Marcellin s’éloigne de sa quincaillerie, aussitôt Casimir le chien de Monsieur Lazare, Belle Aggie et Paterne les chats du presbytère se mettent à courir entre ses pieds et le font trébucher.

    Assourdi, trempé, piqué et harcelé de toutes parts, Marcellin tente une échappée.

    Illico, Placide l’escargot survolté et Nestor la tortue se lancent à sa poursuite.

    Thècle, grimpée sur Herbert son balai, passe en rase motte et lâche les bombes à eau préparées par Olive l’ondine.

    De plus en plus trempé, faisant floc-floc dans ses godillots, Marcellin file tête baissée. Bien mal lui en prend, le voilà qui entre en collision avec Vencelas, l’âne peintre, qui l’expédie d’une ruade bien placée à l’autre bout de la rue.

    Marcellin pense trouver son salut dans la forêt toute proche, il se rue sous le couvert des arbres, mais vous pensez bien que Pacôme le loup et Olympe la chouette l’attendent au tournant. Habitués à la chasse, ils s’arrangent pour le lancer dans LA direction prévue par l’assemblée des Bigorbourgeois lors de la réunion extraordinaire de la veille.

    Pour être sûr qu’il aille bien là où il faut, Anicet le diablotin, accompagné d’Anicet et de Wenefride les lutins, grimpés sur le dos de Jo Za et Fa, les chauves-souris qui constituent avec Thècle l’armée de l’air Bigorbourgeoise, lui passent au ras des oreilles pour l’entraîner de plus en plus profondément dans la forêt, laquelle forêt retentit des cris de tous les membres du petit peuple bien décidés à défendre leur petit paradis.

    Bref, complètement déboussolé, Marcellin finit par emboutir de plein fouet Irenée le chêne roi de la forêt. KO pour le compte, il s’écroule au pied de l’arbre majestueux.

    Sans perdre un instant, Irénée commence à s’introduire dans sa tête, aidé par Amédée l’inventeur de rêves et de Pétrus le farfadet qui devine les faiblesses des vilains, il passe au crible ce qui a bien pu pousser Marcellin à passer du « côté obscur » de la force. Ensuite dans ses rêves, ils l’aident à régler ses problèmes et le laisse se reposer.

    A son réveil, Marcellin est entouré d’un certain nombre d’habitants de Bigorbourg, dont Monsieur Lazare le médecin qui lui tend une gélule de paracétamol histoire de l’aider à dissiper son mal de tête.

    Le père Paterne lui sourit aimablement et l’interroge.

    « Comment allez-vous mon cher ami ? »

    « Bien, très bien même, il y avait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi léger »

    « Eh oui, comme vous pouvez le constater, nul besoin d’exorciser les démons dans notre petit bourg »

    « Vous avez parfaitement raison, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je vous adresse toutes mes excuses pour le dérangement »

    Marcellin se lève, un sourire vaguement niais sur les lèvres et s’éloigne.http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/37/Fromagerie.jpg

    Mais vous vous doutez bien qu’une fois qu’on a goûté à Bigorbourg, on a un peu de mal à s’en passer. Et à quelques temps de là, Marcellin est de retour, épaulé par les Marguerite (la grand-mère de Pernelle la petite fermière et sa vache), il ouvre une charmante petite boutique dans laquelle il se fait un plaisir de proposer les 365 fromages que compte notre beau pays.

    Pour information, je vous rappelle ma page récapitulative dans la colonne à votre droite, juste histoire de vous y retrouver dans mon petit monde.


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