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Un autre de mes chouchoux : la voix, la musique, les textes, tout quoi !
C'est ici que la montagne et la mer
Se sont rencontrées
Unies sous la couronne solaire
Pour l'éternité
Ici une beauté encore sauvage
Me saoule et me grise
Quand il faut quitter ce paysage
Les gens d'ici se disent :
Adeu Adeu ils parlent de tramontane
Adeu Adeu de la douceur catalane
Adeu Adeu c'est jamais un adieu
Adeu Adeu
Ici le bleu du ciel a rougi
Trois jours et trois nuits
Sous un ciel de folie à la Dali
Un brasier a rugi
Battue par le vent - en sang
La voilà qui brûle
Qui pourra me dire si c'est le vent
Ou la montagne qui hurle ?
Adeu Adeu c'est la tramontane
Adeu Adeu la folie catalane
Adeu Adeu c'est jamais un adieu
Adeu Adeu
Mais chaque fois la tramontane
A nouveau nous ramène
Toutes les couleurs qu'elle enflamme
A nouveau elle sème
Caresse tes cheveux
Et la vie peu à peu
Revient te caresser les yeux
Adeu Adeu une tramontane
Adeu Adeu douceur catalane
Adeu Adeu coule dans tes cheveux
Adeu Adeu jamais j'dirai adieu
Adeu Adeu à la tramontane
Adeu Adeu à la folie catalane
Adeu Adeu à de si beaux yeux
Adeu Adeu
On s'reverra au cap Creus
J'vous dis adeu
6 commentaires -
Eh oui les zoziaux je râle, mais il y a de quoi quand on voit une affiche comme ça ! C'est comme les lâchers de faisans à l'automne pour les chasseurs, ça me hérisse le poil. Je me demande si en plus il n'y aurait pas un plongeur sous-marin pour accrocher ces pauvres bêtes aux hameçons !
Et puis, si au moins ils étaient aimables les pêcheurs !
Je vous raconte ce qui s'est passé avec celui que je vous montre ci-dessous. J'étais en train de faire mon petit tour le long de la rivière pour prendre des photos de MES cygnes quand ce monsieur m'aborde. Bon, en règle générale j'aime beaucoup taper une petite discute avec les parfaits inconnus que je croise, c'est très agréable d'échanger quelques propos même si ce n'est que sur le temps ou pour se dire bonjour.
Bref, voilà mon pékin qui arrive et qui me dit "Ne vous approchez pas trop du bord", moi, naïvement, pensant qu'il se souciait de ma sécurité, je le remercie en lui affirmant que j'allais faire attention où je mettais les pieds.
Mon oeil tiens ! Voilà que ce malotru, m'annonce tout de go "Ne vous approchez pas trop vous allez faire fuir les truites".
Non mais je vous jure ! D'autant que par rapport à lui j'étais en aval de la rivière donc si je perturbais les poissons ce n'était pas ceux sur lequel il espérait mettre la main et le hameçon.
Je suis restée sur place une bonne demi-heure à photographier les cygnes (je vous mettrai les photos) et dans le même temps, il a changé de place au moins 4 fois. Autant pour la soi-disante patience des pêcheurs. Et inutile de vous dire que j'ai marché le plus près possible du bord de l'eau en mettant en garde les éventuelles futures victimes (soit dit entre parenthèses, je n'ai rien vu portant des écailles).
Alors les zoziaux, je n'ai pas raison de râler ?
44 commentaires -
Eh oui les zoziaux je râle, mais il y a de quoi quand on voit une affiche comme ça ! C'est comme les lâchers de faisans à l'automne pour les chasseurs, ça me hérisse le poil. Je me demande si en plus il n'y aurait pas un plongeur sous-marin pour accrocher ces pauvres bêtes aux hameçons !
Et puis, si au moins ils étaient aimables les pêcheurs !
Je vous raconte ce qui s'est passé avec celui que je vous montre ci-dessous. J'étais en train de faire mon petit tour le long de la rivière pour prendre des photos de MES cygnes quand ce monsieur m'aborde. Bon, en règle générale j'aime beaucoup taper une petite discute avec les parfaits inconnus que je croise, c'est très agréable d'échanger quelques propos même si ce n'est que sur le temps ou pour se dire bonjour.
Bref, voilà mon pékin qui arrive et qui me dit "Ne vous approchez pas trop du bord", moi, naïvement, pensant qu'il se souciait de ma sécurité, je le remercie en lui affirmant que j'allais faire attention où je mettais les pieds.
Mon oeil tiens ! Voilà que ce malotru, m'annonce tout de go "Ne vous approchez pas trop vous allez faire fuir les truites".
Non mais je vous jure ! D'autant que par rapport à lui j'étais en aval de la rivière donc si je perturbais les poissons ce n'était pas ceux sur lequel il espérait mettre la main et le hameçon.
Je suis restée sur place une bonne demi-heure à photographier les cygnes (je vous mettrai les photos) et dans le même temps, il a changé de place au moins 4 fois. Autant pour la soi-disante patience des pêcheurs. Et inutile de vous dire que j'ai marché le plus près possible du bord de l'eau en mettant en garde les éventuelles futures victimes (soit dit entre parenthèses, je n'ai rien vu portant des écailles).
Alors les zoziaux, je n'ai pas raison de râler ?
44 commentaires -
Pas besoin d'en dire plus ! Si ce n'est que les journalistes auraient parfois besoin d'une bonne relecture de leurs textes !
22 commentaires