• http://i42.servimg.com/u/f42/09/02/08/06/oiseau37.png

     

    Les Zoziaux sont déchaînés !

    Voilà une citation fort intéressante que je viens de relever. Elle date de quand à votre avis ?

    Je vous laisse le temps de descendre tout en bas de l'écran pour deviner !

    L'auteur se prénomme Jules-Edouard, ça devrait vous aider à situer, de même que ses tournures de phrases !

    "Je crois utile d'expliquer, à ceux qui prendront la peine de lire ce livre, quel en est le but, et quelles doctrines y sont contenues.

    Le paupérisme pose aux nations de notre temps un problème ardu, qu'elles sont dans la nécessité de résoudre.

    La misère, en effet, qui va sans cesse en augmentant, engendrera, si l'on n'y porte remède, comme autant d'inévitables conséquences de l'antagonisme des intérêts, l'insurrection des classes déshéritées contre les classes riches, le despotisme, la déchéance morale et intellectuelle des peuples, et finalement leur dissolution."

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    Il s'agit du paragraphe introductif du livre

    "La question sociale et sa solution scientifique"

    écrit par Jules-Edouard Blondel

    en 1887 !!!!

    Nous avons drôlement évolué en 120 ans non ? Mes vieux livres ont parfois tendance à me mettre un peu de vague à l'âme quand je vois à quel point nous avançons à reculons !


    15 commentaires
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    http://i32.servimg.com/u/f32/09/02/08/06/oiseau15.png

    Eh oui, les Zoizeaux, encore un petit truc qui m'interpelle au volant. Je sais, je sais, je dois faire une petite fixette là-dessus en ce moment.

    Bon, j'explique !

    Pour moi : La nuit, c'est noir, la pluie c'est mouillé, le brouillard c'est flou, vous suivez ?

    Bon arrêtez avec les ????

    Je reprends, la nuit c'est noir, mais la visibilité est bonne on est d'accord, donc les phares sont suffisants.

    La pluie quand ça tombe normalement, ici on se base sur une pluie normande s'pas (je ne parle pas bien sûr des grosses pluies d'orage), la visibilité est également correcte, donc les phares me paraissent suffisants aussi (avec une vitesse un peu réduite).

    Le brouillard, ça brouille la vue, donc les phares anti-brouillard peuvent être envisagés si c'est la purée de pois, mais sont-ils vraiment nécessaires lorsqu'il s'agit d'une brume légère au ras du sol ? Bon admettons.

    Bien ceci posé, j'aimerais que l'on m'explique pourquoi certains trouvent judicieux de m'en flanquer plein les mirettes avec leurs feux anti-brouillard arrières :

    • Lorsqu'il fait nuit, je les vois de loin pas la peine d'en rajouter
    • Lorsqu'il pleut, je les vois d'un peu moins loin, mais je les vois

    Ca, déjà, ça me fait marronner, mais là où je râle encore plus, c'est lorsqu'on arrive en ville, les voitures roulant à quelques mètres les unes des autres, est-il vraiment utile d'éblouir le quidam qui vous suit avec ces phares particulièrement puissants et qui font mal aux yeux, d'autant plus lorsqu'il pleut et que ça reflète tous azimuts ? Et lorsqu'il fait plein jour ce n'est pas du vice non plus ? Sans compter que c'est dangereux, le temps que vous passez à cligner des yeux ou à détourner le regard, vous ne le passez pas à regarder la circulation !

    Il me semble bien que le code de la route est précis sur ce point, ou il a encore évolué dans mon dos. Phares anti-brouillard uniquement par temps de brouillard ! Non ?

    Bref, j'en ai un peu ras les couettes des voitures sapins de Noël qui clignotent dans tous les sens ou qui ont des projecteurs dignes des séries policières américaines (la sécurité d'accord, mais le tout sécuritaire ça commence à bien faire). Franchement, être obligée de conduire avec des lunettes de soleil en pleine nuit pour ne pas être éblouie ce n'est pas raisonnable, reconnaissez-le !


    37 commentaires
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    http://i32.servimg.com/u/f32/09/02/08/06/oiseau15.png

    Eh oui, les Zoizeaux, encore un petit truc qui m'interpelle au volant. Je sais, je sais, je dois faire une petite fixette là-dessus en ce moment.

    Bon, j'explique !

    Pour moi : La nuit, c'est noir, la pluie c'est mouillé, le brouillard c'est flou, vous suivez ?

    Bon arrêtez avec les ????

    Je reprends, la nuit c'est noir, mais la visibilité est bonne on est d'accord, donc les phares sont suffisants.

    La pluie quand ça tombe normalement, ici on se base sur une pluie normande s'pas (je ne parle pas bien sûr des grosses pluies d'orage), la visibilité est également correcte, donc les phares me paraissent suffisants aussi (avec une vitesse un peu réduite).

    Le brouillard, ça brouille la vue, donc les phares anti-brouillard peuvent être envisagés si c'est la purée de pois, mais sont-ils vraiment nécessaires lorsqu'il s'agit d'une brume légère au ras du sol ? Bon admettons.

    Bien ceci posé, j'aimerais que l'on m'explique pourquoi certains trouvent judicieux de m'en flanquer plein les mirettes avec leurs feux anti-brouillard arrières :

    • Lorsqu'il fait nuit, je les vois de loin pas la peine d'en rajouter
    • Lorsqu'il pleut, je les vois d'un peu moins loin, mais je les vois

    Ca, déjà, ça me fait marronner, mais là où je râle encore plus, c'est lorsqu'on arrive en ville, les voitures roulant à quelques mètres les unes des autres, est-il vraiment utile d'éblouir le quidam qui vous suit avec ces phares particulièrement puissants et qui font mal aux yeux, d'autant plus lorsqu'il pleut et que ça reflète tous azimuts ? Et lorsqu'il fait plein jour ce n'est pas du vice non plus ? Sans compter que c'est dangereux, le temps que vous passez à cligner des yeux ou à détourner le regard, vous ne le passez pas à regarder la circulation !

    Il me semble bien que le code de la route est précis sur ce point, ou il a encore évolué dans mon dos. Phares anti-brouillard uniquement par temps de brouillard ! Non ?

    Bref, j'en ai un peu ras les couettes des voitures sapins de Noël qui clignotent dans tous les sens ou qui ont des projecteurs dignes des séries policières américaines (la sécurité d'accord, mais le tout sécuritaire ça commence à bien faire). Franchement, être obligée de conduire avec des lunettes de soleil en pleine nuit pour ne pas être éblouie ce n'est pas raisonnable, reconnaissez-le !


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  • Prénom classique dans la Cour de Récré de Jill Bill aujourd'hui.

    Sylvère, le fleuriste es-plantes en pot de Bigorbourg est aux 400 coups.

    Il vient d'apprendre qu'une autre fleuriste avait l'intention de s'installer à Bigorbourg.

    Ce n'est pas tant la concurrence qu'il craint, mais la venue d'une personne qui va maltraiter les fleurs, les cueillir !!! Ce qui est absolument inimaginable pour lui, cueillir des fleurs, les faire volontairement souffrir, causer leur mort prématurée. Non, non et non ! Hors de question !

    Voilà donc plusieurs jours que le pauvre Sylvère se ronge les ongles en suivant les travaux d'installation de la future boutique de fleurs.

    D'ailleurs, qu'il est de mauvais goût ce magasin ! Un endroit qui va accueillir les 1000 couleurs de la nature devrait être sobre, jouer sur l'uni, sur le passe-partout, du blanc, du beige enfin une teinte neutre qui mettrait en valeur les pensionnaires. Mais non ! C'est Wallis, cette sacrée hippie qui s'occupe de l'église qui s'est attelée à la tâche de décorer l'endroit.

    Inutile donc de préciser que les couleurs se côtoient, se mêlent, voire s'entrechoquent !

    Et voilà qu'un jour, un gros camion accompagné d'une petite voiture multicolore s'arrêtent devant le magasin qui arbore une enseigne au nom un peu énigmatique "Clotilde, fleurs sur-mesure".

    Comme si des fleurs pouvaient être domestiquées. "Du grand n'importe quoi" pense Sylvère en épiant la demoiselle qui sort de la voiture.

    Elle est accueillie par le cri de joie d'une Wallis qui lui saute au cou, une Wallis qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la nouvelle venue.

    Sylvère comprend mieux les choix des couleurs de la boutique, "telle sœur, telle sœur" se dit-il goguenard.

    Le camion déverse tout un bric-à-brac coloré que ne renierait pas Monsieur Balthazar le propriétaire du bazar.

    Sylvère attend avec appréhension l'arrivée des malheureuses fleurs torturées, mais rien. Enfin, si une multitude de vases de formes et de couleurs aussi diverses que variées sont installés dans la devanture par les deux sœurs.

    Bon, les fleurs arriveront sûrement demain. Sylvère se promet de revenir surveiller dès que possible.

    Et le lendemain, des fleurs magnifiques tout aussi extraordinaires que les vases qui les accueillent trônent dans la boutique. Il a beau tendre l'oreille, il n'entend aucun cri de souffrance, bizarre, très bizarre. Alors, il se décide, traverse la rue et entre d'un pas qu'il espère ferme chez la jeune fleuriste. Un petit carillon guilleret l'accueille et là, surprise !

    Derrière le comptoir la charmante Clotilde assemble … des fleurs en papier blanc !

    Sylvère en reste bouche bée, ses yeux font l'aller retour entre ces fleurs toutes bêtes et celles somptueuses déjà installées.

    Un rire doux comme un pétale de fleur le ramène sur terre.

    "Ne vous en faites pas, cher monsieur, mes fleurs ne souffrent pas et ne meurent pas"

    "Mais, mais, mais"bêle Sylvère.

    A nouveau le rire et quelques explications complémentaires.

    Clotilde sort de dessous le comptoir une petite bouteille, elle en extrait une tige prolongée d'un anneau et souffle dedans. Une bulle de savon s'envole et vient se poser sur la fleur blanche qui prend aussitôt de merveilleuses couleurs chatoyantes.

    "Vous voyez ! Ici, ni les fleurs, ni les bulles de savon ne disparaissent, elles deviennent autres, simplement !".

    Sylvère est conquis par ce talent inédit et ces étranges fleurs caméléons et dès le lendemain, il arrive, touthttp://organiser-anniversaire.fr/wp-content/uploads/2010/02/bulles_de_savon.jpg rougissant et tend à Clotilde un superbe cactus en pot, je sais, je sais, ça manque peut-être de romantisme, mais Sylvère est ainsi fait et, aux dernières nouvelles, cela semble plaire beaucoup à Clotilde.

    Quant aux Bigorbourgeois, ils peuvent décorer leurs intérieurs de fleurs parfaitement en harmonie avec leurs souhaits sans faire souffrir personne, que demander de plus.


    42 commentaires
  • Prénom classique dans la Cour de Récré de Jill Bill aujourd'hui.

    Sylvère, le fleuriste es-plantes en pot de Bigorbourg est aux 400 coups.

    Il vient d'apprendre qu'une autre fleuriste avait l'intention de s'installer à Bigorbourg.

    Ce n'est pas tant la concurrence qu'il craint, mais la venue d'une personne qui va maltraiter les fleurs, les cueillir !!! Ce qui est absolument inimaginable pour lui, cueillir des fleurs, les faire volontairement souffrir, causer leur mort prématurée. Non, non et non ! Hors de question !

    Voilà donc plusieurs jours que le pauvre Sylvère se ronge les ongles en suivant les travaux d'installation de la future boutique de fleurs.

    D'ailleurs, qu'il est de mauvais goût ce magasin ! Un endroit qui va accueillir les 1000 couleurs de la nature devrait être sobre, jouer sur l'uni, sur le passe-partout, du blanc, du beige enfin une teinte neutre qui mettrait en valeur les pensionnaires. Mais non ! C'est Wallis, cette sacrée hippie qui s'occupe de l'église qui s'est attelée à la tâche de décorer l'endroit.

    Inutile donc de préciser que les couleurs se côtoient, se mêlent, voire s'entrechoquent !

    Et voilà qu'un jour, un gros camion accompagné d'une petite voiture multicolore s'arrêtent devant le magasin qui arbore une enseigne au nom un peu énigmatique "Clotilde, fleurs sur-mesure".

    Comme si des fleurs pouvaient être domestiquées. "Du grand n'importe quoi" pense Sylvère en épiant la demoiselle qui sort de la voiture.

    Elle est accueillie par le cri de joie d'une Wallis qui lui saute au cou, une Wallis qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la nouvelle venue.

    Sylvère comprend mieux les choix des couleurs de la boutique, "telle sœur, telle sœur" se dit-il goguenard.

    Le camion déverse tout un bric-à-brac coloré que ne renierait pas Monsieur Balthazar le propriétaire du bazar.

    Sylvère attend avec appréhension l'arrivée des malheureuses fleurs torturées, mais rien. Enfin, si une multitude de vases de formes et de couleurs aussi diverses que variées sont installés dans la devanture par les deux sœurs.

    Bon, les fleurs arriveront sûrement demain. Sylvère se promet de revenir surveiller dès que possible.

    Et le lendemain, des fleurs magnifiques tout aussi extraordinaires que les vases qui les accueillent trônent dans la boutique. Il a beau tendre l'oreille, il n'entend aucun cri de souffrance, bizarre, très bizarre. Alors, il se décide, traverse la rue et entre d'un pas qu'il espère ferme chez la jeune fleuriste. Un petit carillon guilleret l'accueille et là, surprise !

    Derrière le comptoir la charmante Clotilde assemble … des fleurs en papier blanc !

    Sylvère en reste bouche bée, ses yeux font l'aller retour entre ces fleurs toutes bêtes et celles somptueuses déjà installées.

    Un rire doux comme un pétale de fleur le ramène sur terre.

    "Ne vous en faites pas, cher monsieur, mes fleurs ne souffrent pas et ne meurent pas"

    "Mais, mais, mais"bêle Sylvère.

    A nouveau le rire et quelques explications complémentaires.

    Clotilde sort de dessous le comptoir une petite bouteille, elle en extrait une tige prolongée d'un anneau et souffle dedans. Une bulle de savon s'envole et vient se poser sur la fleur blanche qui prend aussitôt de merveilleuses couleurs chatoyantes.

    "Vous voyez ! Ici, ni les fleurs, ni les bulles de savon ne disparaissent, elles deviennent autres, simplement !".

    Sylvère est conquis par ce talent inédit et ces étranges fleurs caméléons et dès le lendemain, il arrive, touthttp://organiser-anniversaire.fr/wp-content/uploads/2010/02/bulles_de_savon.jpg rougissant et tend à Clotilde un superbe cactus en pot, je sais, je sais, ça manque peut-être de romantisme, mais Sylvère est ainsi fait et, aux dernières nouvelles, cela semble plaire beaucoup à Clotilde.

    Quant aux Bigorbourgeois, ils peuvent décorer leurs intérieurs de fleurs parfaitement en harmonie avec leurs souhaits sans faire souffrir personne, que demander de plus.


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