• Projet 52 de Vivre la Photo. Pas évident, dans les pistes proposées par Cathy, j'ai choisi la capture du minois de Mademoiselle Thalis, maintenant j'attends qu'elle dorme, comme ça mes photos ne sont plus aussi floues. J'ai donc évolué !

     

    evolution

     

    Je vous remets la dernière en grand, elle est trop belle ma minouche

     

    Thalis-3227.JPG


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  • Cette fois Madga nous propose de regarder la nature d'un peu plus près. Voilà donc quelques photos minimales dont deux déjà proposées.

     

    nature2 2470

     

    nature2 1405

     

    nature2 0395

     

    nature2 1042

     

    P1400419

     

    P1390255

     

    PA220173

     

    nature2 2060


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  • Cette fois Madga nous propose de regarder la nature d'un peu plus près. Voilà donc quelques photos minimales dont deux déjà proposées.

     

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  • http://i80.servimg.com/u/f80/09/02/08/06/oiseau10.png

    Eh oui, les Zoziaux, toujours en plein catalogage de mes "chers vieux" livres, je suis encore tombée sur un précurseur qui, une fois de plus, nous permet de constater à quel point les bons conseils sont restés lettres mortes et ce depuis quasiment 130 ans. J'ai relevé l'extrait suivant dans wikipédia. En rouge bien sûr mes remarques personnelles et de mauvaise foi !

    Fernand Lataste publie en 1884 une note dans le Bulletin de la Société Nationale d'Acclimatation de France « sur l’alimentation des rapaces nocturnes » où il démontre que la part des rongeurs est nettement plus élevée que celle des mammifères insectivores, faisant ainsi des rapaces nocturnes des animaux utiles. Il conclut par ces mots : « [Cette proportion inattendue] nous montre combien est souvent arbitraire et inexacte la division des animaux en utiles et nuisibles.(en fait de nuisible moi je n'en vois qu'un seul, deux pattes, station debout, pouce opposable, gros cerveau avec pas grand-chose dedans) […] je demande que la peine de mort ne soit prononcée contre les animaux que lorsqu’ils nous sont évidemment et sérieusement nuisibles (Ouais vous savez le coup du PRESUME coupable ! Pas de raison que les animaux n'en profitent pas aussi). Quand, comme il arrive le plus fréquemment, les pièces du procès que nous avons la prétention d’intenter à tous les êtres vivants sont incomplètes ou contradictoires, je demande l’acquittement des accusés. […] l’humanité nous commande la bienveillance envers des frères inférieurs (inférieurs, inférieurs, faut voir !).Nous en détruisons bien assez pour nos besoins, et, aussi, inconsciemment, par le seul fait des modifications que notre civilisation apporte à la surface de la planète ». (Bien vu Fernand !)

    En s'interrogeant sur l’opportunité de diviser les animaux en utiles et en nuisibles, Fernand Lataste développe simultanément un regard critique sur les relations entre l’homme et la nature.

    Quatre ans plus tard, en 1888, Fernand Lataste confirme son opinion : « […] si le classement de toutes les espèces animales qui peuplent la planète en deux groupes, celui des utiles et celui des nuisibles, répond à des intentions louables (bon admettons), il constitue, dans la plupart des cas, une entreprise absolument disproportionnée à nos connaissances actuelles (Je ne lui fais pas dire). Or, dans le doute, il faut surtout s’abstenir de détruire. (Ca ne serait pas le principe de précaution ça ?) Bien assez d’animaux ont déjà disparu ou sont en train de disparaître, soit par le fait direct de l’homme qui tirait profit de leurs dépouilles, soit par suite des modifications apportées par la civilisation à la surface de la planète (pour mémoire écrit en 1888, oui j'insiste !) : à ces causes de destructions, il ne faut ajouter qu’à très bon escient les proscriptions systématiques. […] En outre, il ne faut pas dégrader notre habitation planétaire, qui risque de n’être bientôt plus peuplée que par les espèces domestiques ou parasites (Ben je crois que le but est presque atteint surtout du côté des parasites s'pas). Enfin, les forces vivantes de la nature sont dans un état d’équilibre dont la rupture peut entraîner de redoutables catastrophes. Il y a là un appareil très compliqué, dont les rouages sont à la portée de notre vue et de notre main, mais dont nous ne connaissons pas le jeu, et auquel nous ne devons toucher qu’avec la plus extrême réserve. (Cf Mickey, Fantasia et Paul Dukas) […] Là [en introduisant le lapin en Australie (et si j'ai bien vu en jetant un petit coup d'œil sur internet en 1995 le problème n'était pas encore résolu et ne l'est certainement pas encore)], nous forçons l’espèce, le mal ne sera pas sans remède. Mais si, mal à propos, nous détruisons une espèce, ce sera pour l’éternité ». (Bonjour les apprentis sorciers, je crois que vous avez déjà multiplié un sacré paquet de balais).

    http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRmregAXIQ-wQM3N8OrTTrKDgY5nXbyyhs669AmGNEc6blh8wtaMVQE7NNa5A


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  • http://i80.servimg.com/u/f80/09/02/08/06/oiseau10.png

    Eh oui, les Zoziaux, toujours en plein catalogage de mes "chers vieux" livres, je suis encore tombée sur un précurseur qui, une fois de plus, nous permet de constater à quel point les bons conseils sont restés lettres mortes et ce depuis quasiment 130 ans. J'ai relevé l'extrait suivant dans wikipédia. En rouge bien sûr mes remarques personnelles et de mauvaise foi !

    Fernand Lataste publie en 1884 une note dans le Bulletin de la Société Nationale d'Acclimatation de France « sur l’alimentation des rapaces nocturnes » où il démontre que la part des rongeurs est nettement plus élevée que celle des mammifères insectivores, faisant ainsi des rapaces nocturnes des animaux utiles. Il conclut par ces mots : « [Cette proportion inattendue] nous montre combien est souvent arbitraire et inexacte la division des animaux en utiles et nuisibles.(en fait de nuisible moi je n'en vois qu'un seul, deux pattes, station debout, pouce opposable, gros cerveau avec pas grand-chose dedans) […] je demande que la peine de mort ne soit prononcée contre les animaux que lorsqu’ils nous sont évidemment et sérieusement nuisibles (Ouais vous savez le coup du PRESUME coupable ! Pas de raison que les animaux n'en profitent pas aussi). Quand, comme il arrive le plus fréquemment, les pièces du procès que nous avons la prétention d’intenter à tous les êtres vivants sont incomplètes ou contradictoires, je demande l’acquittement des accusés. […] l’humanité nous commande la bienveillance envers des frères inférieurs (inférieurs, inférieurs, faut voir !).Nous en détruisons bien assez pour nos besoins, et, aussi, inconsciemment, par le seul fait des modifications que notre civilisation apporte à la surface de la planète ». (Bien vu Fernand !)

    En s'interrogeant sur l’opportunité de diviser les animaux en utiles et en nuisibles, Fernand Lataste développe simultanément un regard critique sur les relations entre l’homme et la nature.

    Quatre ans plus tard, en 1888, Fernand Lataste confirme son opinion : « […] si le classement de toutes les espèces animales qui peuplent la planète en deux groupes, celui des utiles et celui des nuisibles, répond à des intentions louables (bon admettons), il constitue, dans la plupart des cas, une entreprise absolument disproportionnée à nos connaissances actuelles (Je ne lui fais pas dire). Or, dans le doute, il faut surtout s’abstenir de détruire. (Ca ne serait pas le principe de précaution ça ?) Bien assez d’animaux ont déjà disparu ou sont en train de disparaître, soit par le fait direct de l’homme qui tirait profit de leurs dépouilles, soit par suite des modifications apportées par la civilisation à la surface de la planète (pour mémoire écrit en 1888, oui j'insiste !) : à ces causes de destructions, il ne faut ajouter qu’à très bon escient les proscriptions systématiques. […] En outre, il ne faut pas dégrader notre habitation planétaire, qui risque de n’être bientôt plus peuplée que par les espèces domestiques ou parasites (Ben je crois que le but est presque atteint surtout du côté des parasites s'pas). Enfin, les forces vivantes de la nature sont dans un état d’équilibre dont la rupture peut entraîner de redoutables catastrophes. Il y a là un appareil très compliqué, dont les rouages sont à la portée de notre vue et de notre main, mais dont nous ne connaissons pas le jeu, et auquel nous ne devons toucher qu’avec la plus extrême réserve. (Cf Mickey, Fantasia et Paul Dukas) […] Là [en introduisant le lapin en Australie (et si j'ai bien vu en jetant un petit coup d'œil sur internet en 1995 le problème n'était pas encore résolu et ne l'est certainement pas encore)], nous forçons l’espèce, le mal ne sera pas sans remède. Mais si, mal à propos, nous détruisons une espèce, ce sera pour l’éternité ». (Bonjour les apprentis sorciers, je crois que vous avez déjà multiplié un sacré paquet de balais).

    http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRmregAXIQ-wQM3N8OrTTrKDgY5nXbyyhs669AmGNEc6blh8wtaMVQE7NNa5A


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