Tu prêches à une convaincue qui n'a rien trouvé de mieux à faire qu'apprendre un nouveau métier à 40 ans bien tassés. Mais c'est face à ce genre de défi qu'on découvre ce que l'on est vraiment et ce que l'on est capable de faire (et qu'on ne soupçonnait pas forcément). N'empêche, je continue à ne pas aimer passer à l'heure d'été.

Tout à fait d'accord, 'est encore plus visible aujourd'hui. On a beau dire à l'humanité, si vous ne changez pas vous allez disparaître et entraîner une partie de la nature avec vous, rien à faire. Certains préfèrerons toujours garder leurs habitudes inchanger que de faire un geste pour le bien de la planète!

Vive le changement!

Bienvenue Wisa, j'ai vu dans ton blog que tu étais effectivement pour le changement. Bonne continuation et plein succès à ce blog nouveau-né.

et bien moi, j'ai trouvé ma devise de l'année dans un roman (américain, mais ça ce n'est pas le plus important): 

"Le changement, c'est bien"

Bonne journée

J'aime aussi que les choses bougent, c'est important de ne pas rester dans l'immobilisme

C'est tellement confortable, il est vrai... mais l'immobilisme n'a jamais conduit à une quelconque construction. Pour obtenir ce que l'on veut,  parfois il faut aller le chercher, le provoquer. Aller contre sa peur, ses doutes, ses craintes et affronter sans fuir. La nouveauté, on la craint parfois c'est tellement déstabilisant et l'inconnu peut faire peur... mais c'est tellement valorisant de dépasser tout cela. Plus facile à dire qu'à faire...oui, mais si on ne fait pas...

Bises, Martine.