• L'architecte : Le roman

    L'architecte - Keith Ablow

    Résumé decitre : West Crosse est un architecte de génie, dont le talent consiste à créer des espaces sublimes, uniques, adaptés aux désirs les plus profonds de ses riches clients. Mais cet homme séduisant et secret cache aussi une facette plus sombre : il est prêt à tout sacrifier pour accomplir son œuvre, au nom d'un idéal très personnel de perfection et de beauté... Ce qu'ignore encore le président des États-Unis, qui projette de confier à Crosse la réalisation d'un musée dans l'aile ouest de la Maison Blanche. Simultanément, à la demande du FBI, le psychiatre Frank Clevenger traque un tueur en série dont les victimes, qui appartiennent toutes à la haute société américaine, sont retrouvées partiellement disséquées. Au cours d'une enquête qui le conduit dans différentes villes, Clevenger constate que les familles des victimes, qui habitent toutes des résidences d'une élégance et d'un raffinement extrêmes, ne pleurent guère leur disparu et semblent au contraire avoir tiré profit de leur mort, en retrouvant une harmonie depuis longtemps perdue. La route des deux hommes est appelée à se croiser. Mais il sera peut-être déjà trop tard...     
    Résumé électre : Le FBI, représenté par Whitney McCormick, demande à Frank Clevenger de traquer un tueur en série dont les victimes, qui appartiennent toutes à la haute société américaine, sont retrouvées partiellement disséquées. Clevenger constate que les familles, qui habitent toutes des villas raffinées ne pleurent guère les victimes et semblent au contraire avoir tiré profit de leur disparition.

    Mon avis :  Bon on comprend vite qui est le tueur, d'ailleurs on le suit presque tout de suite dans "ses oeuvres". L'ami Clevenger se bat contre l'alcool et essaie de tenir son fils adoptif Billy la tête hors de l'eau, ce qui ne l'empêche pas de faire de brillantes déductions. L'intrigue en elle-même présente peu de rebondissements, ce n'est pas elle qui fait l'intérêt du roman, qui d'ailleurs est d'une certaine façon beaucoup moins brutal que psycho-killer par exemple. En revanche, il y a une dimension malsaine plus prononcée dans ce livre, en fait on finit par se demander si les proches des victimes sont aussi innocentes qu'elles devraient l'être et le tueur lui-même est très bizarrement peu violent si l'on peut dire, c'est sur cette ambiguité que se construit l'histoire et surtout qu'elle s'achève.


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