Voila deux chansons qui m'évoquent la fin du monde.
Celle d'Hugues Aufray (ou plutôt de Bob Dylan) "Le jour où le bateau viendra", avec les paroles.
Vous verrez ce jour-là quand le vent tournera,
Quand la brise n'aura plus de voix.
Un grand calme se fera comme avant un ouragan
Le jour où le bateau viendra.
Et les vagues danseront avec les navires,
Et tout le sable s'envolera,
Et vous entendrez l'océan chanter
Le jour où le bateau viendra.
Les poissons seront fiers de nager sur la terre
Et les oiseaux auront le sourire.
Sur le sable les rochers seront heureux croyez-moi
Le jour où le bateau viendra.
Ce que l'on disait pour égarer les marins
Ne voudra plus rien dire non plus rien
Et les grandes marées seront déchaînées
Le jour où le bateau viendra.
Vous entendrez ce jour-là un cantique se lever
Par-dessus la grande voile déployée.
Le soleil éclairera les visages sur le pont
Le jour où le bateau viendra.
Le sable fera un tapis doré
Pour reposer nos pieds fatigués
Et tous les vieux marins s'écrieront enfin
Le jour où le bateau viendra.
Vous verrez ce jour-là au lever du soleil
Vos ennemis les yeux plein de sommeil.
Ils se pinc'ront pour y croire, ils verront bien qu'il est là
Le jour où le bateau viendra.
Ils tendront leur mains, ils seront soumis;
Le géant Goliath le fut aussi.
Et ils se noieront comm' les Pharaons
Le jour où le bateau viendra
Et celle de Mannick (comme vous êtes peu à la connaître je vous propose une autre facette de son talent et par
la même occasion ici vous pourrez en savoir plus sur elle) "Quand nous verrons basculer les mondes" et les paroles. C'est bien simple cette
chanson me donne encore des frissons lorsque je l'écoute.
Quand nous verrons basculer les mondes
Tout émerveillés mais pleins d'effroi
Quand nous verrons basculer les mondes
Il faut que tu sois près de moi !
Il faut que tu sois près de moi !
Imagine le ciel comme un toit de cristal
Ecaillant son soleil au galop d'un cheval
Et les astres éclatés dans leur sang de corail
Fracassant les nuées dans un cri de métal !
Imagine la mer comme un rideau d'argent
Debout le long des terres entre mille ouragans
Et des monstres inconnus jaillis des profondeurs
Envahissant nos rues d'une hideuse laideur !
Imagine surtout revenant par milliers
Tous ceux de tous les temps que la terre a portés
Un océan de voix déchaînant son appel
Avant de nous jeter dans les bras du soleil !
Merci pour ta visite et là comme je vais un peu mieux je profite pour faire le tour de ceux et celle qui sont venues sur mon blog depuis ces derniers jours!
Beaucoup de retard a rattraper !!!
Bizz de la Grippée