-
Oscar Wilde et le jeu de la mort
"Surveille tes pensées, car elles deviennent tes paroles. Surveille tes paroles, car elle deviennent tes actions. Surveille tes actions, car elles deviennent tes habitudes. Surveille tes habitudes, car elles deviennent ton caractère. Surveille ton caractère, car il devient ton destin".
Oscar Wilde et le jeu de la mort - Gyles Brandreth
Résumé Decitre : Facétieux Oscar Wilde ! Après avoir choqué le monde par ses boutades lors de la première triomphale de L'Eventail de Lady Windermere, le voici qui propose à ses amis une curieuse activité pour les distraire : le jeu de la mort. Chacun inscrit sur une feuille le nom de la victime de son choix et aux participants de deviner qui veut tuer qui. Mais quand la Mort commence à frapper les victimes potentielles dans l'ordre exact où elles ont été tirées, le drame succède à la comédie. Flanqué de son fidèle ami Robert Sherard, et assisté par Arthur Conan Doyle et par le peintre Wat Sickert, Wilde mène l'enquête avec plus de zèle que jamais. Car son nom et surtout celui de sa femme figurent sur la liste funèbre...
Mon avis : Voilà un roman qui donne envie de connaître un peu plus Oscar Wilde, on sent que l'auteur est un grand fan, il arrive à nous faire trouver sympathiques les travers de ce grand écrivain. Il nous fait également découvrir le mode de vie de l'élite de l'époque et ce n'est pas mélancolique. L'intrigue policière est bien ficelée, pleine de rebondissements et Oscar joue avec brio le rôle de Sherlock Holmes, Conan Doyle restant un parfait Docteur Watson. Un bon moment de détente et de dépaysement.
-
Commentaires
J'ai beau trouver le beau Wilde frivole, j'adore la légèreté de son écriture...
Hélène
J'ai beau trouver le beau Wilde frivole, j'adore la légèreté de son écriture...
Hélène
Qunat-à Oscar Wilde, oui, il était visiblement "vachard", mais avec les hommes autant qu'avec les femmes...
Il ne supportait pas l'idée d'être homosexuel, et encore moins les autres...
Qunat-à Oscar Wilde, oui, il était visiblement "vachard", mais avec les hommes autant qu'avec les femmes...
Il ne supportait pas l'idée d'être homosexuel, et encore moins les autres...
Ajouter un commentaire
bises