• Pélagie et le coq rouge - Le roman

    Pélagie et le coq rouge - Boris Akounine 

    Résumé decitre : Finis les travestissements indignes d'une religieuse, les aventures périlleuses, les enquêtes apparemment insolubles que lui confiait son père spirituel, le bon évêque Mitrophane... C'est en tout cas ce que s'est juré Pélagie, très rousse, très myope et très futée nonne orthodoxe. Mais les circonstances vont en décider autrement. Enquêtrice, elle le redeviendra malgré elle, impliquée d'abord en tant que témoin d'un meurtre mystérieux, puis comme cible de tueurs aussi impitoyables qu'insaisissables. Cette nouvelle affaire l'entraînera jusqu'en Terre sainte, où cohabitent les adeptes des trois religions du Livre, mais aussi toutes sortes de sectes étranges. Là, ballottée au gré des événements et de sa curiosité insatiable, elle va côtoyer de bien inquiétants personnages. Qui, cette fois, l'amèneront à aller un peu trop loin...

     

    Résumé électre : Pélagie est impliquée en tant que témoin d'un meurtre, puis comme la cible principale de tueurs impitoyables. Cette nouvelle enquête l'entraînera, entre autres, dans une Terre sainte chère à son coeur. Au gré des événements et de sa curiosité insatiable, tour à tour poursuivante et traquée, elle sera amenée à côtoyer de bien étranges et inquiétants personnages.

     

    Mon avis : Ce roman est le troisième (et en principe dernier) de la série des Pélagie, il peut toutefois se lire seul sans problème. Je l'ai un peu moins aimé que les deux premiers (Pélagie et le bouledogue blanc et Pélagie et le moine noir). Pélagie est toujours fidèle à elle-même, mais c'est peut-être le fait que les principaux personnages, elle, l'evêque Mitrophane et le procureur Bentsionovitch sont trop souvent séparés, peut-être un peu trop de personnages qui se croisent, mais pour être tout-à-fait honnête, l'auteur fait des "crasses" à des personnages sympathiques et ça je n'aime pas du tout. Sinon on apprend beaucoup de choses sur la Russie d'avant la révolution et sur la situation en Palestine à l'époque. Ce qui est amusant c'est que j'ai lu ce livre juste après celui de Kathy Reichs et que j'ai croisé à nouveau Jésus ainsi que des termes comme énéolitique et chalcolithique que je n'avais jamais rencontré avant et que j'ai eu pour la deuxième fois l'explication de la formule "voué à la Géhenne" je connaissais l'expression mais pas son origine, il s'agit d'un endroit près de Jérusalem où l'on brûlait dans l'antiquité les déchets ainsi que les corps des condamnés à mort, d'où ce glissement vers les flammes de l'enfer.


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