• Vous devez commencer à connaitre mes goûts pour la musique gothic. En voici un nouvel exemple, avec le groupe métal norvégien "Sirénia" et sa chanteuse Monika Pedersen

    Et voilà, l'extrait coup de coeur de leur album "Nine destinies and a downfall" : The Other Side

     

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  • Mesdames, si vous voulez gagner en une seconde l'équivalent d'au moins 30 ans de salaire, faites vous prendre en photo avec notre président et ensuite envoyez-la à une société quelconque pour qu'elle en fasse une publicité, vous pourrez ainsi demander comme Carla avec sa compagnie aérienne, 500.000 euros de dommages et intérêts. Mais remarquez, peut-être fera-t-elle don de cette somme aux sans-abris français !

    Un professeur de collège viens d'être mis à pied, a passé 24 heures de garde-à-vue comme un criminel et va aller devant le tribunal parce qu'il a osé flanquer une claque à un moutard de 6ème (soit 11 ou 12 ans) qui l'avait traité de "connard". La claque était peut-être superflue d'accord, mais il n'empêche qu'il est inadmissible qu'un élève se permette ce genre de chose avec un enseignant. Il fera quoi le bambin pour envoyer balader le prof qui lui demandera de se tenir tranquille lorsqu'il aura 15 ou 16 ans ? Il lui enverra un pain dans la figure ou il sortira son couteau ? Et en plus, papa est gendarme, manifestement nos militaires ne savent plus ce qu'est le respect de l'autorité ou alors il ne savent pas l'enseigner. Ah, où est le temps où les enseignants pouvaient encore donner des coups de règle sur les doigts des indisciplinés ou les faire s'agenouiller sur une règle  (c'est de l'humour, mamy, c'est de l'humour) ?

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  • Mesdames, si vous voulez gagner en une seconde l'équivalent d'au moins 30 ans de salaire, faites vous prendre en photo avec notre président et ensuite envoyez-la à une société quelconque pour qu'elle en fasse une publicité, vous pourrez ainsi demander comme Carla avec sa compagnie aérienne, 500.000 euros de dommages et intérêts. Mais remarquez, peut-être fera-t-elle don de cette somme aux sans-abris français !

    Un professeur de collège viens d'être mis à pied, a passé 24 heures de garde-à-vue comme un criminel et va aller devant le tribunal parce qu'il a osé flanquer une claque à un moutard de 6ème (soit 11 ou 12 ans) qui l'avait traité de "connard". La claque était peut-être superflue d'accord, mais il n'empêche qu'il est inadmissible qu'un élève se permette ce genre de chose avec un enseignant. Il fera quoi le bambin pour envoyer balader le prof qui lui demandera de se tenir tranquille lorsqu'il aura 15 ou 16 ans ? Il lui enverra un pain dans la figure ou il sortira son couteau ? Et en plus, papa est gendarme, manifestement nos militaires ne savent plus ce qu'est le respect de l'autorité ou alors il ne savent pas l'enseigner. Ah, où est le temps où les enseignants pouvaient encore donner des coups de règle sur les doigts des indisciplinés ou les faire s'agenouiller sur une règle  (c'est de l'humour, mamy, c'est de l'humour) ?

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  • Les Impromptus proposait d'écrire un texte commençant par "il y a quelque chose de terrible en moi", j'avais déjà le texte j'ai juste modifié le début.

    Il y a quelque chose de terrible en moi, dit-il, vos histoires de fantômes ne me font même pas frémir !

    Ah pas de doute, il s'y connaît l'animal pour plomber une soirée où tout le monde s'amuse.

    Et pourtant tout y a passé, les fantômes sans tête, les dames blanches, les croquemitaines, mais rien, Monsieur joue les esprits forts, il ne daigne même pas faire semblant d'avoir peur.

    C'est bientôt l'heure de se séparer.

    Alors que les uns et les autres, un peu tremblotants, préfèrent partir en groupe, Monsieur Esprit Fort part seul de son côté.

    Il fait nuit noire, la lune est cachée, il n'y a que les taches blafardes des lampadaires de loin en loin, bref l'ambiance est un carrément sinistre. Mais Monsieur Esprit Fort sifflote, les mains dans les poches en se moquant encore de ses amis qui croient à des sornettes pareilles.

    Tout-à-coup, dans une ruelle plus sombre que les autres, il distingue une forme blanche qui semble flotter au milieu de la façade d'une petite maison en partie délabrée et coincée entre deux immeubles.

    Il s'arrête un peu interloqué et malgré lui les histoires de Dame blanche annonçant les décès lui reviennent en mémoire.

    L'étrange forme blanche bouge légèrement et semble se tourner vers lui. Un curieux grincement se fait entendre.

    Monsieur Esprit Fort ne peut empêcher son cœur de battre la chamade et ses genoux de trembler.

    "Stupide" se morigène-t-il "ça n'existe pas voyons les Dames blanches"

    Mais à nouveau le grincement s'élève, lugubre, tandis que la forme blanche semble prête à prendre son envol vers lui.

    Alors, Monsieur Esprit Fort perd les pédales, il pousse un cri d'angoisse et prend ses jambes à son cou.

    Il court droit devant lui, sans regarder où il met les pieds.

    Un bruit strident de freinage, un choc et il s'envole !

    Pendant ce temps, dans la petite maison, un jeune garçon entrouvre la fenêtre qui émet un léger couinement.

    Dans la rue plus loin, la sirène d'une ambulance retentit.

    Le garçon se penche par dessus la rambarde de le fenêtre et il appelle doucement "où es-tu, dépêche toi de remonter avant que Maman ne se doute de quelque chose"

    "J'arrive" murmure un garçon plus grand qui était tapi dans un buisson en bas, j'attendais que le pékin là dehors s'en aille". Il attrape le drap qui pend de la fenêtre et se met à l'escalader.

    "Alors, tu t'es bien amusé, raconte". Le reste de la conversation se perd derrière les volets que les jeunes garçons ferment après avoir remonté le drap.

    Là-bas, au carrefour, une ambulance repart sans sirène et sans gyrophare, ce n'est plus la peine.

    "C'était son jour à ce pauvre type" murmure l'un des ambulanciers "mais aussi, pourquoi courait-il comme ça, comme s'il avait un fantôme à ses trousses ?"


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  • Les Impromptus proposait d'écrire un texte commençant par "il y a quelque chose de terrible en moi", j'avais déjà le texte j'ai juste modifié le début.

    Il y a quelque chose de terrible en moi, dit-il, vos histoires de fantômes ne me font même pas frémir !

    Ah pas de doute, il s'y connaît l'animal pour plomber une soirée où tout le monde s'amuse.

    Et pourtant tout y a passé, les fantômes sans tête, les dames blanches, les croquemitaines, mais rien, Monsieur joue les esprits forts, il ne daigne même pas faire semblant d'avoir peur.

    C'est bientôt l'heure de se séparer.

    Alors que les uns et les autres, un peu tremblotants, préfèrent partir en groupe, Monsieur Esprit Fort part seul de son côté.

    Il fait nuit noire, la lune est cachée, il n'y a que les taches blafardes des lampadaires de loin en loin, bref l'ambiance est un carrément sinistre. Mais Monsieur Esprit Fort sifflote, les mains dans les poches en se moquant encore de ses amis qui croient à des sornettes pareilles.

    Tout-à-coup, dans une ruelle plus sombre que les autres, il distingue une forme blanche qui semble flotter au milieu de la façade d'une petite maison en partie délabrée et coincée entre deux immeubles.

    Il s'arrête un peu interloqué et malgré lui les histoires de Dame blanche annonçant les décès lui reviennent en mémoire.

    L'étrange forme blanche bouge légèrement et semble se tourner vers lui. Un curieux grincement se fait entendre.

    Monsieur Esprit Fort ne peut empêcher son cœur de battre la chamade et ses genoux de trembler.

    "Stupide" se morigène-t-il "ça n'existe pas voyons les Dames blanches"

    Mais à nouveau le grincement s'élève, lugubre, tandis que la forme blanche semble prête à prendre son envol vers lui.

    Alors, Monsieur Esprit Fort perd les pédales, il pousse un cri d'angoisse et prend ses jambes à son cou.

    Il court droit devant lui, sans regarder où il met les pieds.

    Un bruit strident de freinage, un choc et il s'envole !

    Pendant ce temps, dans la petite maison, un jeune garçon entrouvre la fenêtre qui émet un léger couinement.

    Dans la rue plus loin, la sirène d'une ambulance retentit.

    Le garçon se penche par dessus la rambarde de le fenêtre et il appelle doucement "où es-tu, dépêche toi de remonter avant que Maman ne se doute de quelque chose"

    "J'arrive" murmure un garçon plus grand qui était tapi dans un buisson en bas, j'attendais que le pékin là dehors s'en aille". Il attrape le drap qui pend de la fenêtre et se met à l'escalader.

    "Alors, tu t'es bien amusé, raconte". Le reste de la conversation se perd derrière les volets que les jeunes garçons ferment après avoir remonté le drap.

    Là-bas, au carrefour, une ambulance repart sans sirène et sans gyrophare, ce n'est plus la peine.

    "C'était son jour à ce pauvre type" murmure l'un des ambulanciers "mais aussi, pourquoi courait-il comme ça, comme s'il avait un fantôme à ses trousses ?"


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