Pour les Parchemins de Bigorphéa, voilà l'histoire d'un moment dans la vie d'un animal.

Evidemment, vous vous dites, elle a du nous écrire une histoire de chat.

ET BIEN NON !!!

 
Quelle bzzzaventure aujourd'hui !

Les beaux jours reviennent les montagnes bzzà pattes recommenbzzent à bzze conduire de manière étrange.

Je vaquais bzzza mes bzzoccupations, tranquille, quand soudain, une bonne odeur de viande m'a chatouillé l'odorat.

Je réubzzzis à me glibzzer dans le nid d'une montagne.

Et bzzzou en piqué sur le morceau de tendre barbaque propobzzzé à ma gourmandibzze.

Que n'avaibzzz-je pas fait !

Mes bzzeux à facettes ont bzzzuste le temps de bzzzaizir le mouvement de la grande enbzeanbze et j'arrive de bzzzusteze à éviter le grand torchon qui se prépare à bzz'abattre bzur moi, mais vlan, bzz'est l'abzzziette avec la viande qui valdingue et la montagne bzze met à brailler. Bien fait, monbzzztre tueur !

Bon, bz'est pas tout, mais il faut mieux que bzze file.

Bzze me mets à tourner en rond au plafond, ebzzzayant de repérer la bzzzortie avant que l'autre dingue ne bzzorte le vaporibzzateur exterminateur. Avant, il y a des milliers d'années, il paraît que les montagnes accrobzzaient au plafond là où nous bzzaimons voler des trucs tout gluants qui nous bzattrapaient, ils préfèrent maintenant les vaporibzzateurs, tant mieux parbze que nous ont bzz'habitue.

Bref, bzzze tournais ebzzayant de repérer la lumière du dehors, pendant que l'autre agitée du bocal bzzz'énervait de plubzzz et plubzzz et faibzzait des grands bzzzestes.

Tout à coup bzzà y est zze la voit la sortie !

Bzze me prébzzipite et vlan bzze m'aplatie bzzur la lumière bzzolide, bzzà fait mal bzzze truc, encore une fabzzon de nous piéger mibzzz en plabzzze par les montagnes.

Y a plus qu'à tâtonner tout le long jubzzzqu'à bzze qu'on trouve la vraie lumière dans laquelle on  peut fonbzzer, mais faut faire vite avant que les dingues vous tombent bzzzur les bzzzailes.

Bzz'ai plein de copines qui bzzze sont fait avoir comme bzzzà, ou des fois il y a des bzzzobzzes à 4 pattes et à fourrure qui font mia et qui vous gobent, les bzzales bête !.

Bzzheureuzzement pour moi bze trouve la vraie bzzzortie et je fonbzze dehors avec bzzzuste à temps un crochet avant de me faire avaler par un pigeon qui m'attendait à la sortie le bzzzagouin.

Ouf, bza y est enfin à l'abri, bzze peux me remettre de mes bzzzémotions.

Mais quelle idée bzzauzzi zzes fichues montagnes de nous tenter comme bzzzà avec de bonnes zodeurs !

Dure la vie de moubzzze !!!

Bza, euh pardon ça va, pas trop étourdi par tous ces zonzonnements et bourdonnements ?

Pour les Parchemins de Bigorphéa, voilà l'histoire d'un moment dans la vie d'un animal.

Evidemment, vous vous dites, elle a du nous écrire une histoire de chat.

ET BIEN NON !!!

 
Quelle bzzzaventure aujourd'hui !

Les beaux jours reviennent les montagnes bzzà pattes recommenbzzent à bzze conduire de manière étrange.

Je vaquais bzzza mes bzzoccupations, tranquille, quand soudain, une bonne odeur de viande m'a chatouillé l'odorat.

Je réubzzzis à me glibzzer dans le nid d'une montagne.

Et bzzzou en piqué sur le morceau de tendre barbaque propobzzzé à ma gourmandibzze.

Que n'avaibzzz-je pas fait !

Mes bzzeux à facettes ont bzzzuste le temps de bzzzaizir le mouvement de la grande enbzeanbze et j'arrive de bzzzusteze à éviter le grand torchon qui se prépare à bzz'abattre bzur moi, mais vlan, bzz'est l'abzzziette avec la viande qui valdingue et la montagne bzze met à brailler. Bien fait, monbzzztre tueur !

Bon, bz'est pas tout, mais il faut mieux que bzze file.

Bzze me mets à tourner en rond au plafond, ebzzzayant de repérer la bzzzortie avant que l'autre dingue ne bzzorte le vaporibzzateur exterminateur. Avant, il y a des milliers d'années, il paraît que les montagnes accrobzzaient au plafond là où nous bzzaimons voler des trucs tout gluants qui nous bzattrapaient, ils préfèrent maintenant les vaporibzzateurs, tant mieux parbze que nous ont bzz'habitue.

Bref, bzzze tournais ebzzayant de repérer la lumière du dehors, pendant que l'autre agitée du bocal bzzz'énervait de plubzzz et plubzzz et faibzzait des grands bzzzestes.

Tout à coup bzzà y est zze la voit la sortie !

Bzze me prébzzipite et vlan bzze m'aplatie bzzur la lumière bzzolide, bzzà fait mal bzzze truc, encore une fabzzon de nous piéger mibzzz en plabzzze par les montagnes.

Y a plus qu'à tâtonner tout le long jubzzzqu'à bzze qu'on trouve la vraie lumière dans laquelle on  peut fonbzzer, mais faut faire vite avant que les dingues vous tombent bzzzur les bzzzailes.

Bzz'ai plein de copines qui bzzze sont fait avoir comme bzzzà, ou des fois il y a des bzzzobzzes à 4 pattes et à fourrure qui font mia et qui vous gobent, les bzzales bête !.

Bzzheureuzzement pour moi bze trouve la vraie bzzzortie et je fonbzze dehors avec bzzzuste à temps un crochet avant de me faire avaler par un pigeon qui m'attendait à la sortie le bzzzagouin.

Ouf, bza y est enfin à l'abri, bzze peux me remettre de mes bzzzémotions.

Mais quelle idée bzzauzzi zzes fichues montagnes de nous tenter comme bzzzà avec de bonnes zodeurs !

Dure la vie de moubzzze !!!

Bza, euh pardon ça va, pas trop étourdi par tous ces zonzonnements et bourdonnements ?

Les impromptus souhaitaient recevoir un texte commençant par la phrase en gras, je me suis donc défoulée

La pièce était calme, trop calme pour engager une conversation ou développer une pensée.

Je fixais donc mon regard sur le feu qui crépitait dans l'âtre.

Puis laissait mon esprit vagabonder sur les tableaux qui ornaient les murs, sur les meubles cossus du salon dans lequel nous étions rassemblés.

Le temps commençait à me paraître long.

Les autres ne bougeaient pas d'un pouce.

Oui, assurément, la soirée allait être longue, très longue.

Oh et puis basta, il fallait bien que quelque chose se passe.

Je me doutais bien que parler de la pluie ou du beau temps, du dernier film ou du dernier roman à la mode n'allait pas les intéresser.

Et pour cause, pensais-je en pouffant intérieurement.

Et pourquoi pouffer intérieurement d'ailleurs.

Inutile, tout à fait inutile !

Je me mets donc à rire à gorge déployée en regardant mes compagnons toujours aussi impassibles.

C'est vrai qu'avec la dose de poison que j'ai mise dans leurs verres, les pauvres ne risquent plus de rire.

Ils sont raides dans leur fauteuil avec comme un air étonné sur le visage.

Pourquoi j'ai fait ça ?

Franchement aucune idée !

Il faudra que j'en parle à mon psy, ça va sûrement l'intéresser.

Appeler la police ? Pour quoi faire ? Je ne ressens aucune culpabilité.

D'ailleurs, il est temps de mettre fin à ce rêve.

J'ouvre les yeux sur le rayon de soleil qui brille entre les persiennes, m'étire et merveilleusement en forme après ce rêve délicieux, je me lève pour une nouvelle journée sûrement pleine d'intérêt.

Ca va ? Pas trop paniqué par mon côté Hyde ?