• Je vous avais présenté le travail de Philippe. J'ai tellement aimé ces jeux de lumière que je m'y suis essayée, avec moins de succès parce que mon APN est beaucoup moins perfectionné notamment en macro, mais je me suis bien amusée. Certaines de ces photos ont été prises enfermée dans ma buanderie dans le noir avec une lampe de poche entre les dents pour avoir les mains libres (voyez un peu le tableau), les autres ayant été prises au soleil et pour l'une d'entre elles, Mademoiselle Thalis a bien sûr mis son grain de sel et on entraperçoit son pelage en fond. Et profitez-en pour vous régaler de la superbe voix de Nicole Rieu.


    Mes préférées




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  • Je vous avais présenté le travail de Philippe. J'ai tellement aimé ces jeux de lumière que je m'y suis essayée, avec moins de succès parce que mon APN est beaucoup moins perfectionné notamment en macro, mais je me suis bien amusée. Certaines de ces photos ont été prises enfermée dans ma buanderie dans le noir avec une lampe de poche entre les dents pour avoir les mains libres (voyez un peu le tableau), les autres ayant été prises au soleil et pour l'une d'entre elles, Mademoiselle Thalis a bien sûr mis son grain de sel et on entraperçoit son pelage en fond. Et profitez-en pour vous régaler de la superbe voix de Nicole Rieu.


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  • C'était pour les Impromptus. Soyez sombres, noirs, terrifiants. Ou au contraire, surprenez-nous avec une histoire fraîche et candide. Mondes cruellement réels ou univers fantastiques et oniriques, emmenez-nous où bon vous semblera à condition que dans votre texte nous trouvions ces mots :"le retour des prédateurs" ou "le retour du prédateur"

    L'enfant, le cœur battant, se glisse de rue en rue.
    Le dos collé au mur il écoute de toutes ses oreilles.
    Pour le moment, pas un bruit.
    Rien ne bouge.
    A pas de loup il avance.
    Parviendra-t-il à rejoindre l'abri tout relatif de sa maison ?
    C'est le retour des prédateurs.
    Il le sait.

    Il l'a vu dans le regard de sa mère.
    Les prédateurs approchent.
    Mais où va-t-il bien pouvoir se cacher pour leur échapper.
    Il s'immobilise.
    Là-bas au coin, un bruissement !
    Les battements de son cœur résonnent dans ses oreilles.
    Ils l'assourdissent tant qu'il n'entend pas l'approche du maraudeur.
    Et tout-à-coup !!!
    Un cri.
    Deux bras le saisissent.
    L'emmènent.
    L'entraînent.
    Il se débat.
    Près de son oreille son ravisseur murmure quelque chose.
    Puis finalement il se laisse aller.
    On le jette sur son lit.
    Deux mains se posent sur son ventre.
    Et les terribles prédateurs commencent leurs tâches.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".
    Il essaye de maîtriser l'envie de rire qui l'envahit.
    Les doigts continuent leur progression.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".

    Il commence à étouffer, il ne peut plus se retenir.
    Il se tortille.
    Et enfin, les yeux dans les yeux rieurs de sa maman, le petit garçon se met à rire à gorge
    déployée, lorsque les horribles prédateurs se glissent dans son cou.
    Ses yeux se ferment de bonheur.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".
    Tous les deux s'étreignent et leur rire de joie s'élève dans la petite chambre.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".


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  • C'était pour les Impromptus. Soyez sombres, noirs, terrifiants. Ou au contraire, surprenez-nous avec une histoire fraîche et candide. Mondes cruellement réels ou univers fantastiques et oniriques, emmenez-nous où bon vous semblera à condition que dans votre texte nous trouvions ces mots :"le retour des prédateurs" ou "le retour du prédateur"

    L'enfant, le cœur battant, se glisse de rue en rue.
    Le dos collé au mur il écoute de toutes ses oreilles.
    Pour le moment, pas un bruit.
    Rien ne bouge.
    A pas de loup il avance.
    Parviendra-t-il à rejoindre l'abri tout relatif de sa maison ?
    C'est le retour des prédateurs.
    Il le sait.

    Il l'a vu dans le regard de sa mère.
    Les prédateurs approchent.
    Mais où va-t-il bien pouvoir se cacher pour leur échapper.
    Il s'immobilise.
    Là-bas au coin, un bruissement !
    Les battements de son cœur résonnent dans ses oreilles.
    Ils l'assourdissent tant qu'il n'entend pas l'approche du maraudeur.
    Et tout-à-coup !!!
    Un cri.
    Deux bras le saisissent.
    L'emmènent.
    L'entraînent.
    Il se débat.
    Près de son oreille son ravisseur murmure quelque chose.
    Puis finalement il se laisse aller.
    On le jette sur son lit.
    Deux mains se posent sur son ventre.
    Et les terribles prédateurs commencent leurs tâches.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".
    Il essaye de maîtriser l'envie de rire qui l'envahit.
    Les doigts continuent leur progression.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".

    Il commence à étouffer, il ne peut plus se retenir.
    Il se tortille.
    Et enfin, les yeux dans les yeux rieurs de sa maman, le petit garçon se met à rire à gorge
    déployée, lorsque les horribles prédateurs se glissent dans son cou.
    Ses yeux se ferment de bonheur.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".
    Tous les deux s'étreignent et leur rire de joie s'élève dans la petite chambre.
    "C'est la bébête qui monte, qui monte, qui monte".


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  • Et voilà Mademoiselle ma Thalis est une grande fille de 4 ans aujourd'hui. Ici, le petit reportage que j'avais fait pour ses deux ans (oui j'aime les chiffres pairs).
    Comme vous allez pouvoir le constater, elle est devenue une jeune femme pleine de pondération et de retenue. La preuve en images et en vidéo !





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