• Pour le concours de Trinity, j'ai encore sollicité ma petite vedette personnelle. Et pour celles qui pensaient qu'on ne pouvait pas jouer avec le logiciel "black and color" avec une minette bleue, voilà la réponse. Et ici un petit mode d'emploi de ce logiciel. Petite précision que j'ajoute aux commentaires, il m'est souvent arrivé de monter sur une chaise pour récupérer l'acrobate qui ne savait plus trop par où descendre !

    PC240060

    thalisNetC


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  • Voilà où j'ai découvert ce mur. Eh oui, il vient "décorer" une fenêtre. Au début d'un peu loin, je me disais que c'était un store un peu original, mais non c'est bien une fenêtre murée, bizarre, bizarre ! Bravo à Laurence et à Lady Marianne qui ont trouvé le mur et la fenêtre, maintenant je ne sais pas si elles pensaient à une fenêtre aussi haut perchée !

    http://i62.servimg.com/u/f62/09/02/08/06/p1230611.jpg

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  • Voilà où j'ai découvert ce mur. Eh oui, il vient "décorer" une fenêtre. Au début d'un peu loin, je me disais que c'était un store un peu original, mais non c'est bien une fenêtre murée, bizarre, bizarre ! Bravo à Laurence et à Lady Marianne qui ont trouvé le mur et la fenêtre, maintenant je ne sais pas si elles pensaient à une fenêtre aussi haut perchée !

    http://i62.servimg.com/u/f62/09/02/08/06/p1230611.jpg

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  • Merci Bigornette pour ce nouveau prénom !

    Bonjour, aujourd’hui je vous emmène voir … mais suivez-moi plutôt !

    Nous prenons notre envol, disons un petit coucou à l’ami Igor le coq du clocher, passons au-dessus de la forêt où le petit de Bertille et Fulbert est en train de jouer avec Pacôme qui essaye de lui apprendre à marcher sur deux pattes, jetons un œil à la jeune Léonce qui se livre à son plaisir favori se promener en forêt et atterrissons dans cette clairière en plein milieu de la forêt.

    Au centre de celle-ci, se dresse une estrade toute en longueur dont une extrémité se cache dans les arbres.

    Aujourd’hui, donc, je vous convie au premier défilé de mode de la grande styliste GBT.

    Bon, qui est GBT et pourquoi un défilé de mode en pleine forêt, voilà qui est un peu inaccoutumé !

    GBT de son vrai nom Gébétrude, mais elle trouve que GBT fait plus branché, est une drôle de petite créature.

    Elle est apparue au cœur d’une fleur ce qui fait qu’on ne sait pas trop si elle est lutine, fée, farfadette ou autre. Il semblerait qu’elle soit née d’une simple goutte de rosée.

    D’ailleurs personne ne sait vraiment à quoi elle ressemble, elle est un minuscule arc-en-ciel et change constamment de forme, c’est assez déstabilisant parfois pour ses amis. Pour ce qui est de son prénom il lui est tombé dessus comme ça sans prévenir il faut croire qu’ils étaient faits pour se rencontrer.

    Quand elle a ouvert les yeux sur ce monde, elle a trouvé que la fleur dans laquelle elle était couchée était la plus belle des choses, douce, velouté, embaumant l’air. Le rire et le chant ont été ses premiers modes d’expression.

    Les fées qui vivaient alentours furent fort étonnées de découvrir cette drôle de goutte scintillante qui virevoltait dans les airs. Elles firent de leur mieux pour l’élever, aidées en cela par les animaux de la forêt.

    Seulement, voilà, dans la vie qu’elle soit « naturelle » ou « surnaturelle » chacun à sa place et sa tâche à remplir, or, le petit peuple étant confronté pour la première fois à l’existence d’une étrange petite personne inclassable.

    Lorsque Gébétrude arriva à l’âge adulte, enfin on supposait que c’était le cas, il fallut qu’elle trouve sa place dans l’univers de la forêt !

    Elle commença donc par faire un petit tour du côté de Bigorbourg, ses drôles d’habitants l’amusèrent mais cela ne l’avançait pas trop pour son choix de carrière jusqu’au moment où elle tomba sur un groupe de fillettes qui s’amusaient avec de vieux habits trouvés dans une malle. Gébétrude trouva les matières, les formes et les couleurs fascinantes. En regardant mieux elle s’aperçut que les humains portaient tous des choses de ce genre.

    En retournant dans la forêt elle scruta plus en détail le petit peuple et les animaux qui l’entouraient.

    Pas de doute, il y avait un manque total de fantaisie dans les vêtures. Les animaux étaient tout nus, quant aux fées elles se cantonnaient à des robes unies et vaporeuses et les lutins portaient du vert et rien que du vert.

    Elle décida donc de prendre les choses en main pour mettre un peu de gaité dans tout ça. C’est vrai quoi, la nature se parait de mille couleurs et ses habitants restaient désespérément uniformes.

    Elle commença par recruter des araignées qui lui tissèrent les plus merveilleuses soieries, avec un peu d’entraînement, elles arrivèrent même à imiter certains tissus humains comme le velours, elles étaient déjà des pros de la dentelle.

    Pour la douceur, les animaux à poils acceptèrent de se laisser peigner. Elle put ainsi recueillir de la fourrure. Les couleurs lui furent fournies par les fleurs, les baies et les feuilles qui lui permirent de recueillir la rosée pleine de pigments au petit matin.

    Ensuite, il lui fallut apprendre à coudre, Madame Crépin très gentiment lui montra comment manier l’aiguille et les ciseaux.

    Et aujourd’hui, c’est le grand jour, GBT présente ses premières réalisations. Sur ou au-dessus du podium tournoient fées drapées dans des étoffes multicolores et coupées avec art, un peu près du corps jugent certaines trop habituées aux robes mousseuses, mais bon quelque part elles trouvent aussi qu’elles ont de l’allure, lutines et lutins revêtus de rouge, de bleu, de jaune tout sauf du vert, un peu septiques au début, s’admirent mutuellement et pour tout dire certains regards ne sont pas sans quelques sous-entendus. Même les animaux ont accepté de défiler avec écharpes, nœuds et fanfreluches, mais aujourd’hui seulement ils préfèrent quand même rester tout nus, mais que ne feraient-ils pas pour le petit arc-en-ciel qui égaye la forêt.

    A la fin du défilé, la talentueuse créatrice et ses aides à 8 pattes sont acclamées par un public conquis, http://jmph.blog.lemonde.fr/files/2009/10/defile-de-mode-sans-frontieres.1254489947.jpgd’ailleurs l’écho de cette liesse parvient même aux bigorbourgeois qui se demandent bien ce que les habitants de la forêt ont encore bien pu inventer. Bref Gébétrude a trouvé sa place parmi le petit peuple de Faërie.


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  • Merci Bigornette pour ce nouveau prénom !

    Bonjour, aujourd’hui je vous emmène voir … mais suivez-moi plutôt !

    Nous prenons notre envol, disons un petit coucou à l’ami Igor le coq du clocher, passons au-dessus de la forêt où le petit de Bertille et Fulbert est en train de jouer avec Pacôme qui essaye de lui apprendre à marcher sur deux pattes, jetons un œil à la jeune Léonce qui se livre à son plaisir favori se promener en forêt et atterrissons dans cette clairière en plein milieu de la forêt.

    Au centre de celle-ci, se dresse une estrade toute en longueur dont une extrémité se cache dans les arbres.

    Aujourd’hui, donc, je vous convie au premier défilé de mode de la grande styliste GBT.

    Bon, qui est GBT et pourquoi un défilé de mode en pleine forêt, voilà qui est un peu inaccoutumé !

    GBT de son vrai nom Gébétrude, mais elle trouve que GBT fait plus branché, est une drôle de petite créature.

    Elle est apparue au cœur d’une fleur ce qui fait qu’on ne sait pas trop si elle est lutine, fée, farfadette ou autre. Il semblerait qu’elle soit née d’une simple goutte de rosée.

    D’ailleurs personne ne sait vraiment à quoi elle ressemble, elle est un minuscule arc-en-ciel et change constamment de forme, c’est assez déstabilisant parfois pour ses amis. Pour ce qui est de son prénom il lui est tombé dessus comme ça sans prévenir il faut croire qu’ils étaient faits pour se rencontrer.

    Quand elle a ouvert les yeux sur ce monde, elle a trouvé que la fleur dans laquelle elle était couchée était la plus belle des choses, douce, velouté, embaumant l’air. Le rire et le chant ont été ses premiers modes d’expression.

    Les fées qui vivaient alentours furent fort étonnées de découvrir cette drôle de goutte scintillante qui virevoltait dans les airs. Elles firent de leur mieux pour l’élever, aidées en cela par les animaux de la forêt.

    Seulement, voilà, dans la vie qu’elle soit « naturelle » ou « surnaturelle » chacun à sa place et sa tâche à remplir, or, le petit peuple étant confronté pour la première fois à l’existence d’une étrange petite personne inclassable.

    Lorsque Gébétrude arriva à l’âge adulte, enfin on supposait que c’était le cas, il fallut qu’elle trouve sa place dans l’univers de la forêt !

    Elle commença donc par faire un petit tour du côté de Bigorbourg, ses drôles d’habitants l’amusèrent mais cela ne l’avançait pas trop pour son choix de carrière jusqu’au moment où elle tomba sur un groupe de fillettes qui s’amusaient avec de vieux habits trouvés dans une malle. Gébétrude trouva les matières, les formes et les couleurs fascinantes. En regardant mieux elle s’aperçut que les humains portaient tous des choses de ce genre.

    En retournant dans la forêt elle scruta plus en détail le petit peuple et les animaux qui l’entouraient.

    Pas de doute, il y avait un manque total de fantaisie dans les vêtures. Les animaux étaient tout nus, quant aux fées elles se cantonnaient à des robes unies et vaporeuses et les lutins portaient du vert et rien que du vert.

    Elle décida donc de prendre les choses en main pour mettre un peu de gaité dans tout ça. C’est vrai quoi, la nature se parait de mille couleurs et ses habitants restaient désespérément uniformes.

    Elle commença par recruter des araignées qui lui tissèrent les plus merveilleuses soieries, avec un peu d’entraînement, elles arrivèrent même à imiter certains tissus humains comme le velours, elles étaient déjà des pros de la dentelle.

    Pour la douceur, les animaux à poils acceptèrent de se laisser peigner. Elle put ainsi recueillir de la fourrure. Les couleurs lui furent fournies par les fleurs, les baies et les feuilles qui lui permirent de recueillir la rosée pleine de pigments au petit matin.

    Ensuite, il lui fallut apprendre à coudre, Madame Crépin très gentiment lui montra comment manier l’aiguille et les ciseaux.

    Et aujourd’hui, c’est le grand jour, GBT présente ses premières réalisations. Sur ou au-dessus du podium tournoient fées drapées dans des étoffes multicolores et coupées avec art, un peu près du corps jugent certaines trop habituées aux robes mousseuses, mais bon quelque part elles trouvent aussi qu’elles ont de l’allure, lutines et lutins revêtus de rouge, de bleu, de jaune tout sauf du vert, un peu septiques au début, s’admirent mutuellement et pour tout dire certains regards ne sont pas sans quelques sous-entendus. Même les animaux ont accepté de défiler avec écharpes, nœuds et fanfreluches, mais aujourd’hui seulement ils préfèrent quand même rester tout nus, mais que ne feraient-ils pas pour le petit arc-en-ciel qui égaye la forêt.

    A la fin du défilé, la talentueuse créatrice et ses aides à 8 pattes sont acclamées par un public conquis, http://jmph.blog.lemonde.fr/files/2009/10/defile-de-mode-sans-frontieres.1254489947.jpgd’ailleurs l’écho de cette liesse parvient même aux bigorbourgeois qui se demandent bien ce que les habitants de la forêt ont encore bien pu inventer. Bref Gébétrude a trouvé sa place parmi le petit peuple de Faërie.


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