• Lajemy nous a demandé du biscornu pour son casse-tête, n'ayant pas encore fouillé dans mes photos pour lui en trouver, je vous propose celui-ci en attendant.

     

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  • Samedi avec l'atelier d'écriture "Jetons l'encre" dont je fais partie nous avons planché sur trois sujets. Si vous avez envie d'essayer voilà les thèmes et mes textes

    Faire un texte avec les mots suivants dans l'ordre : amour soupir printemps feuille bambou

    Le petit amour dodu voletait de-ci, de-là en poussant des soupirs. C'était le printemps et il allait devoir reprendre le travail. Il se sentait bien, tranquille sur son nuage à observer le monde et franchement devoir ressortir son arc et ses flèches ne l'emballait pas du tout. C'est vrai quoi, son job consistait à décocher des flèches d'amour à tout ce qui bougeait et, franchement, les résultats n'étaient pas toujours à la hauteur de ses espérances et en plus, jamais rien pour lui, pas la plus petite angelote pour lui faire les yeux doux. La vie était trop injuste. Il descendit sur terre, se cachant parmi les feuilles pour observer humains et animaux. Boudeur, il posa son matériel à côte de lui, bien décidé à ne rien faire ! Tout à coup, au bord de l'eau, leshttp://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRHoe0BU71wYyuHMWxO_2QEb04um-T-LMj6Li-adr0CV3xNqpI_zg bambous s'agitèrent, il voleta pour voir ce qui se passait lorsqu'il ressentit une vive douleur dans le dos, une flèche venait de se ficher dans ses fesses rebondies, il se retourna, prêt à invectiver le coupable lorsqu'il se trouva nez à nez avec la plus délicieuse des Cupidones qu'il ait jamais croisé, et en plus elle lui souriait. L'air niais, il s'approcha d'elle et main dans la main, ils partirent remplir leur mission de semeurs d'amour.

    Dépeindre un objet mais d'une manière qui ne soit pas purement descriptive. Mot choisi : stylo

    http://img1.gtsstatic.com/bic/un-stylo-bille-illustration_18687_w125.jpgIl s'élance sur la surface immaculée, son pied la foule avec bonheur. Il laisse derrière lui une trace bleue qui s'enroule et se déroule. Parfois son parcours s'envole en arabesques délicates qui ravissent l'oeil et l'esprit. Parfois, il grince et écarte rageusement de son passage les indésirables d'un trait péremptoire. Il lui arrive aussi de s'égarer en gribouillis, en dessins incohérents lorsque le dieu qui le manipule se prend à rêver ou à s'ennuyer. Sa vie tout doucement s'enfuit à créer du rêve ou à aligner des mots vides de sens. Son sang qui s'écoule peut réunir ou séparer, créer des mondes ou s'enliser dans la routine. Et puis un jour, sa dernière goutte de sève tombe et la main dans laquelle il se sentait si bien le rejette et le trahit en s'attachant à un autre.

     

    A partir d'un titre inventer une petite histoire. Le titre choisi "Et voilà les parents de Dieu"

    Le petit dieu piaillait dans son berceau, il avait faim le petit dieu et les fesses humides, il lui fallait donc alerter ses parents indignes. Comment ? Il était Dieu et on osait le laisser dans cet état piteux, c'était absolument intolérable, cette situation ne pouvait perdurer. Le petit dieu respira bien à fond et lâcha un hurlement strident, un hurlement à faire s'écrouler les murs de Jéricho, bref un hurlement qui prouvait bien qu'il était un dieu en devenir et un dieu avec lequel il allait falloir compter ! Les parents de dieu se regardèrent, secoués, les oreilles vibrantes. Leurs yeux hagards ne laissaient aucun doute sur leurs pensées.http://actusvalfrimousse.a.c.pic.centerblog.net/5s6wr2cw.jpg Manifestement, leur petit dieu allait leur en faire baver. Leur seul réconfort étant de se dire qu'un jour le petit dieu deviendrait lui aussi, le parent d'un autre petit dieu et que ce jour béni, eux, les parents de dieu pourraient prendre leur revanche en pourrissant le nouvel arrivant et en sapant l'autorité du petit monstre qui gigotait dans son berceau


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  • Samedi avec l'atelier d'écriture "Jetons l'encre" dont je fais partie nous avons planché sur trois sujets. Si vous avez envie d'essayer voilà les thèmes et mes textes

    Faire un texte avec les mots suivants dans l'ordre : amour soupir printemps feuille bambou

    Le petit amour dodu voletait de-ci, de-là en poussant des soupirs. C'était le printemps et il allait devoir reprendre le travail. Il se sentait bien, tranquille sur son nuage à observer le monde et franchement devoir ressortir son arc et ses flèches ne l'emballait pas du tout. C'est vrai quoi, son job consistait à décocher des flèches d'amour à tout ce qui bougeait et, franchement, les résultats n'étaient pas toujours à la hauteur de ses espérances et en plus, jamais rien pour lui, pas la plus petite angelote pour lui faire les yeux doux. La vie était trop injuste. Il descendit sur terre, se cachant parmi les feuilles pour observer humains et animaux. Boudeur, il posa son matériel à côte de lui, bien décidé à ne rien faire ! Tout à coup, au bord de l'eau, leshttp://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRHoe0BU71wYyuHMWxO_2QEb04um-T-LMj6Li-adr0CV3xNqpI_zg bambous s'agitèrent, il voleta pour voir ce qui se passait lorsqu'il ressentit une vive douleur dans le dos, une flèche venait de se ficher dans ses fesses rebondies, il se retourna, prêt à invectiver le coupable lorsqu'il se trouva nez à nez avec la plus délicieuse des Cupidones qu'il ait jamais croisé, et en plus elle lui souriait. L'air niais, il s'approcha d'elle et main dans la main, ils partirent remplir leur mission de semeurs d'amour.

    Dépeindre un objet mais d'une manière qui ne soit pas purement descriptive. Mot choisi : stylo

    http://img1.gtsstatic.com/bic/un-stylo-bille-illustration_18687_w125.jpgIl s'élance sur la surface immaculée, son pied la foule avec bonheur. Il laisse derrière lui une trace bleue qui s'enroule et se déroule. Parfois son parcours s'envole en arabesques délicates qui ravissent l'oeil et l'esprit. Parfois, il grince et écarte rageusement de son passage les indésirables d'un trait péremptoire. Il lui arrive aussi de s'égarer en gribouillis, en dessins incohérents lorsque le dieu qui le manipule se prend à rêver ou à s'ennuyer. Sa vie tout doucement s'enfuit à créer du rêve ou à aligner des mots vides de sens. Son sang qui s'écoule peut réunir ou séparer, créer des mondes ou s'enliser dans la routine. Et puis un jour, sa dernière goutte de sève tombe et la main dans laquelle il se sentait si bien le rejette et le trahit en s'attachant à un autre.

     

    A partir d'un titre inventer une petite histoire. Le titre choisi "Et voilà les parents de Dieu"

    Le petit dieu piaillait dans son berceau, il avait faim le petit dieu et les fesses humides, il lui fallait donc alerter ses parents indignes. Comment ? Il était Dieu et on osait le laisser dans cet état piteux, c'était absolument intolérable, cette situation ne pouvait perdurer. Le petit dieu respira bien à fond et lâcha un hurlement strident, un hurlement à faire s'écrouler les murs de Jéricho, bref un hurlement qui prouvait bien qu'il était un dieu en devenir et un dieu avec lequel il allait falloir compter ! Les parents de dieu se regardèrent, secoués, les oreilles vibrantes. Leurs yeux hagards ne laissaient aucun doute sur leurs pensées.http://actusvalfrimousse.a.c.pic.centerblog.net/5s6wr2cw.jpg Manifestement, leur petit dieu allait leur en faire baver. Leur seul réconfort étant de se dire qu'un jour le petit dieu deviendrait lui aussi, le parent d'un autre petit dieu et que ce jour béni, eux, les parents de dieu pourraient prendre leur revanche en pourrissant le nouvel arrivant et en sapant l'autorité du petit monstre qui gigotait dans son berceau


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  • Jill Bill propose d'inviter aujourd'hui Ambroise dans notre petite cour de récré.

    Bzzz, bzzz, bzzz. Il y a du remue-ménage dans les jardins de Bigorbourg et dans la campagne environnante.

    Bzzz ! Des petits corps noirs et jaunes sillonnent le bourg à toute allure. Et ça zigzag, ça rase-motte, ça loopingue, ça louvoie, ça danse, enfin bref vous voyez un peu l'affairement qui règne.

    Seule ou en groupes c'est un véritable déferlement d'abeilles qui écument les fleurs bigorbourgeoises.

    Les ruches viennent de se réveiller et il est temps de remplir les magasins de bon miel et de gelée royale.

    Nos abeilles vont donc rendre visite aux fleurs et en échange de leur nectar, elles laissent derrière elles le pollen qui assurera les prochaines floraisons, bref, échange de bons procédés.

    Bien sûr les abeilles bigorbourgeoises ne sont pas tout à fait semblables à leurs consœurs du monde banal.

    Il faut dire qu'Ambroise l'apiculteur (*) veille tout particulièrement sur ses petites protégées.

    Il les protège des dangers extérieurs, il entretient les ruches et les peint de couleurs gaies qui éclatent en arc-en-ciel dans la prairie qui les accueillent, il est aussi très au fait du protocole et sait s'entretenir dans les règles avec Mesdames les Reines.

    C'est également un excellent organisateur. S'étant enquis auprès de leurs Altesses et leurs sujettes de leurs préférences en terme de fleurs, il s'est arrangé pour que ses industrieuses compagnes créent des miels d'exception à partir d'une seule fleur.

    Vous ne trouverez donc qu'à Bigorbourg du miel de rose, de jasmin ou de freesia.

    Comment fait-il pour dialoguer avec ce petit monde, eh bien il a appris le langage de la danse et bien souvent les habitants du bourg s'amusent à voir Ambroise virevolter entouré d'abeilles qui boivent ses paroles, enfin ses danses.

    Cette collaboration éclairée lui permet également de prélever, avec modération, le miel produit et ceci sans avoir besoin d'enfumer la ruche. Lorsqu'il est prêt à récolter, hop une petite danse et le voilà entouré de l'essaim vrombissant qui attend patiemment qu'il ait terminé son travail pour retourner dans ses pénates.

    Lorsqu'il est prévenu qu'une nouvelle reine est prête à monter sur le trône, il se renseigne sur ses désidératas en termes d'aménagement intérieur et de couleur, inutile de dire que toutes ces dames sont ravies d'avoir un tel serviteur à leur disposition.

    Les Bigorbourgeois de leur côté ne s'affolent jamais lorsqu'une abeille les frôle, vient vrombir à leurs oreilles ou se reposer quelques instants sur leur épaule. Pas de mouvements brusques, pas de piqures, un statu quo qui satisfait tout le monde.

    Et lorsqu'Ambroise a terminé sa récolte, il se met d'accord avec Landry le petit vent qui se charge d'éloigner les nuages de pluie, et il invite les habitants à une grande foire au miel avec dégustation bien sûr. Les abeilles de leur côté assurent la partie musicale et chorégraphique de la fête, au grand bonheur des enfants qui se lancent eux aussi dans la danse.http://preview.canstockphoto.com/canstock5737075.png

    Et pour le petit peuple de la forêt il met de côté un peu de gelée royale qui leur assurera santé et prospérité.

     

    On prête à Albert Einstein cette citation : « Lorsque l’abeille disparaîtra, il ne restera plus que quatre ans à vivre à l’homme » alors protégeons ces amies précieuses qui nous permettent de nous régaler.

    (*) Saint Ambroise est le Saint patron des apiculteurs.

     


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  • Jill Bill propose d'inviter aujourd'hui Ambroise dans notre petite cour de récré.

    Bzzz, bzzz, bzzz. Il y a du remue-ménage dans les jardins de Bigorbourg et dans la campagne environnante.

    Bzzz ! Des petits corps noirs et jaunes sillonnent le bourg à toute allure. Et ça zigzag, ça rase-motte, ça loopingue, ça louvoie, ça danse, enfin bref vous voyez un peu l'affairement qui règne.

    Seule ou en groupes c'est un véritable déferlement d'abeilles qui écument les fleurs bigorbourgeoises.

    Les ruches viennent de se réveiller et il est temps de remplir les magasins de bon miel et de gelée royale.

    Nos abeilles vont donc rendre visite aux fleurs et en échange de leur nectar, elles laissent derrière elles le pollen qui assurera les prochaines floraisons, bref, échange de bons procédés.

    Bien sûr les abeilles bigorbourgeoises ne sont pas tout à fait semblables à leurs consœurs du monde banal.

    Il faut dire qu'Ambroise l'apiculteur (*) veille tout particulièrement sur ses petites protégées.

    Il les protège des dangers extérieurs, il entretient les ruches et les peint de couleurs gaies qui éclatent en arc-en-ciel dans la prairie qui les accueillent, il est aussi très au fait du protocole et sait s'entretenir dans les règles avec Mesdames les Reines.

    C'est également un excellent organisateur. S'étant enquis auprès de leurs Altesses et leurs sujettes de leurs préférences en terme de fleurs, il s'est arrangé pour que ses industrieuses compagnes créent des miels d'exception à partir d'une seule fleur.

    Vous ne trouverez donc qu'à Bigorbourg du miel de rose, de jasmin ou de freesia.

    Comment fait-il pour dialoguer avec ce petit monde, eh bien il a appris le langage de la danse et bien souvent les habitants du bourg s'amusent à voir Ambroise virevolter entouré d'abeilles qui boivent ses paroles, enfin ses danses.

    Cette collaboration éclairée lui permet également de prélever, avec modération, le miel produit et ceci sans avoir besoin d'enfumer la ruche. Lorsqu'il est prêt à récolter, hop une petite danse et le voilà entouré de l'essaim vrombissant qui attend patiemment qu'il ait terminé son travail pour retourner dans ses pénates.

    Lorsqu'il est prévenu qu'une nouvelle reine est prête à monter sur le trône, il se renseigne sur ses désidératas en termes d'aménagement intérieur et de couleur, inutile de dire que toutes ces dames sont ravies d'avoir un tel serviteur à leur disposition.

    Les Bigorbourgeois de leur côté ne s'affolent jamais lorsqu'une abeille les frôle, vient vrombir à leurs oreilles ou se reposer quelques instants sur leur épaule. Pas de mouvements brusques, pas de piqures, un statu quo qui satisfait tout le monde.

    Et lorsqu'Ambroise a terminé sa récolte, il se met d'accord avec Landry le petit vent qui se charge d'éloigner les nuages de pluie, et il invite les habitants à une grande foire au miel avec dégustation bien sûr. Les abeilles de leur côté assurent la partie musicale et chorégraphique de la fête, au grand bonheur des enfants qui se lancent eux aussi dans la danse.http://preview.canstockphoto.com/canstock5737075.png

    Et pour le petit peuple de la forêt il met de côté un peu de gelée royale qui leur assurera santé et prospérité.

     

    On prête à Albert Einstein cette citation : « Lorsque l’abeille disparaîtra, il ne restera plus que quatre ans à vivre à l’homme » alors protégeons ces amies précieuses qui nous permettent de nous régaler.

    (*) Saint Ambroise est le Saint patron des apiculteurs.

     


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