arf, un véritable cauchemard ces burkas, j'ai beaucoup de mal à comprendre cette volonté de certains à l'imposer.
bonne journée Martine

Dans l'album, l'auteur explique qu'une journaliste américaine en a essayé une et qu'elle lui a dit préférer être mise en prison plutôt que de porter ce truc infâme. Je n'arrive pas à comprendre non plus je te rassure

C'est incroyable. Moi non plus je n'arrive pas à comprendre. Cacher la femme, c'est la nier. C'est infamant pour tout ce qui fait d'elle une femme...Terrifiant! Bonne journée Martine et à très bientôt!

Dure, dure la burqa!!
Moi je serai Santiano, j'adore ! Bonne journée Martine, Ici comme partout le temps est gris et il pleut beaucoup.

je ne veux même pas imaginer de porter cette prison !!!!

ah! imm"diatement sur la liste de mes cadeaux d'anniversaire ! merci

En plus je suis claustro et je ne supporte pas la chaleur, t'imagines ?

Dans cet album il y a notamment un dessin appelé "solution alternative" dans lequel l'une des femmes dit "Nous devons mettre la burqa pour protéger de la tentation les yeux des hommes" et l'autre répond "Mais il serait plus indiqué que ce soient les hommes qui la portent, puisque en burqa, on ne voit rien, pas même un accident". Si le shah d'Iran revenait il serait horrifié parce que, bon d'accord il n'était pas blanc bleu, mais il me semble que de son temps les femmes avaient plus de liberté

On est loin d'Aragon et de la femme avenir de l'homme !

Un véritable objet de torture ! Pluie aussi par ici

D'après l'auteur et la journaliste américaine qui l'a essayée, c'est encore pire qu'une prison. L'auteur écrit également "quand j'ai enfilé la burqa, ce fut comme si le monde entier venait d'un seul coup de tomber dans le noir".

Il est excellent, et les dessins peuvent être pris au premier ou au second degré comme ceux que j'ai mis

Je ne suis pas claustrophobe, mais je crois qu'avec un engin pareil je le deviendrais. Des dingues !

Pire que des esclaves : elles n'ont même plus de visage, elles ne sont même pas personne, elles ne sont rien du tout, gommées, effacées, disparues.

C'est comme le montre le dessin, des fantômes noirs !

bonsoir Martine
j'ai publié plusieurs articles avec des burkas en " humour "
mais ça ne plait pas à tout le monde ----
une petit au mileu de femmes en burka hurlait -- maman !!!!
elles étaient toutes semblables etc ----

ce doit être amusant à lire - car c'est vrai pas pratique dans la vie courante à porter cette mini prison
bisous  Lady Marianne

Difficile de voir la liberté de cette façon....

je n'aimerais pas être obligée de porter un tel vêtement...

Difficile de porter un jugement, je n'ai jamais vraiment réussi à comprendre le pourquoi de ces tenues et surtout pourquoi les femmes ne se révoltent pas.
C'est bien triste en tout cas.
Bises 

Difficile de se dire qu'on est encore quelqu'un surtout

Ce dessin fait partie de cet album. En réalité, le côté dessin est effectivement amusant si on le prend au premier degré, mais le récit en lui-même est pour le moins horrifique

Je crois que j'aurais rapidement envie de taper sur quelqu'un

Certaines se révoltent à leur niveau, l'auteur Jamila Mujaheq est journaliste, fondatrice d'une revue féminie afghane et elle a reçu des prix pour son travail en faveur de la reconnaissance des femmes, mais manifestement ce n'est pas encore suffisant, alors inutile de dire que celles qui n'ont pas de métier ne doivent même pas pouvoir se faire entendre

EXCELLENT - j'ai été prévenue de ton article par une blogopote - sur mon article "femme grillagée" - 

merci pour le tien, j'aime les dessins !

ps, je m'en vais d'ailleurs illico rajouter ton lien dans mon article - (l'avant-dernier)

bises

Pauvre Pierre et surtout pauvre France !

Ce que j'ai aimé dans ce livre c'est le contraste entre dessin et récit

Honte, honte à tous ces hommes, qui sous le fallacieux prétexte de se protéger de la concupiscence que leur inspire les femmes, imposent un calvaire permanent à la gente féminine. Bien évidemment tout est de la faute de la prétendue pêcheresse !! Des ventres, voilà comment ils perçoivent leurs épouses.
Dans le film "A propos d'Elly" on voit bien comment dans un microcosme d'intellectuels iraniens soit disant évolués, un petit grain de sable fait remonter le clivage hommes/femmes dans toute sa brutalité. "Chasse le naturel, il revient au galop" !!!