• Si, si insolite par rapport à ce qui se fait maintenant ! Et ancien ? Ben si un peu quand même quelque chose comme 50 ans !




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  • Thème du concours de cette semaine chez Trinity.

    Voilà la photo envoyée.



    Celle-ci prise à un autre endroit.



    Vous vous demandez peut-être d'où se cachent ces bizarres tunnels ! Eh bien, ici, en haut de ce mur, je me suis amusée à prendre ces photos à l'aveugle, en tentant le bras et clic sans voir, forcément il m'aurait fallu un escabeau pour accéder à mon terrain de manoeuvre, et en balade ce n'est pas pratique à emmener un escabeau.


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  • Thème du concours de cette semaine chez Trinity.

    Voilà la photo envoyée.



    Celle-ci prise à un autre endroit.



    Vous vous demandez peut-être d'où se cachent ces bizarres tunnels ! Eh bien, ici, en haut de ce mur, je me suis amusée à prendre ces photos à l'aveugle, en tentant le bras et clic sans voir, forcément il m'aurait fallu un escabeau pour accéder à mon terrain de manoeuvre, et en balade ce n'est pas pratique à emmener un escabeau.


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  • Prudence nous dit le prénom de Bigornette d'aujourd'hui.

    Prudence en a marre.

    Elle a vécu une vie consacrée aux autres, toujours prête à rendre service et voilà que maintenant qu'elle est morte et que donc, logiquement, elle devrait pouvoir jouir d'un repos bien mérité, voilà que Gabriel, le chef des anges, a décidé de la promouvoir ange gardienne (pas de raison de ne pas féminiser la profession) de Bigorbourg. DE TOUT Bigorbourg !!!

    Alors la pauvre Prudence ne sait plus où donner de la tête, bon d'accord elle a retrouvé ses jambes de vingt ans, mais quand même !

    Certes de son vivant, elle rendait service mais elle savait aussi se comporter de manière responsable, elle n'avait jamais réalisé à quel point ses concitoyens étaient de vrais kamikazes.

    Bon déjà en tête de liste, il lui faut veiller sur Prudence sa petite-nièce qui a hérité de son prénom, rien que pour ça elle lui doit bien un peu de protection supplémentaire.

    Prudence bis est donc une jeune casse-cou de la pire espèce, toujours à se fourrer dans des situations impossibles, comme grimper en haut d'un arbre et ensuite miauler qu'elle ne sait plus comment descendre, aller embêter les poules du fermier et piailler parce qu'elles lui picorent les mollets, se prendre pour un torero et enquiquiner le taureau, bon d'accord ce n'est pas un féroce, mais il doit bien charger de temps en temps pour garder son prestige et notre Prudence de meugler de détresse.

    Bref, Prudence l'aînée en a marre de cette mouflette, elle a beau se dire qu'elle va la laisser se débrouiller, c'est plus fort qu'elle, il faut qu'elle intervienne.

    Et ses autres ex-concitoyens ne sont pas mieux. Ici, en voilà un qui se perche sur une chaise branlante pour accrocher un cadre, celui-ci bidouille une prise électrique sans couper le courant, celle là jongle avec le couteau électrique branché, Prudence n'avait jamais réalisé le nombre d'engins susceptibles de causer des catastrophes.

    Bon d'accord, c'est vrai que l'ange coincé dans le bigorneau magique plus prodigue de bons conseils, mais en attendant c'est elle qui se pastille le boulot et elle est au bord de la crise de nerfs.

    Toute ronchonnante, elle s'en va voir le big boss Gabriel pour se plaindre de ce village d'écervelés et réclamer de l'aide.

    "Désolé" lui répond Gabriel "en ce moment c'est la crise des vocations, j'ai de plus en plus de mal à trouver des volontaires".

    "Mais je n'étais pas volontaire moi" s'indigne Prudence

    "Certes" rétorque Gabriel chafouin "mais vous êtes terriblement influençable".

    "C'est de l'arnaque, de l'abus de confiance" fulmine Prudence "Je vais me plaindre en haut lieu"

    "Euh, évitons d'en arriver à de telles extrémités" plaide Gabriel un peu penaud du vilain tour joué à cette brave femme "Je vous laisse les pleins pouvoirs pour mettre du plomb dans la tête des Bigobourgeois".

    Prudence, toujours bougonnante redescend sur terre bien décidée à en découdre avec les imprudents.

    Bon bien sûr, elle ne peut pas les laisser se blesser mais elle trouve un arrangement avec le petit peuple de l'air, de la terre, du feu, de l'eau et de l'électricité, dès qu'un imprudent est à deux doigts de faire une ânerie (toutes mes excuses Venceslas) une humânerie grosse comme lui dirons-nous plutôt, l'une des aides de Prudence lui murmure en boucle à l'oreille "Réfléchis, est-ce prudent, réfléchis, est-ce prudent,...".

    Bien sûr au début le Docteur Lazare en a vu défiler des habitants se plaignant d'entendre des voix.

    Mais petit à petit, voilà que la prudence est devenue une seconde nature chez les Bigorbourgeois.

    Bon, bien sûr, pour éviter la monotonie, de temps en temps Prudence permet une pitrerie ou deux, juste ce qu'il faut pour l'ambiance, mais au moins elle jouit enfin d'une éternité à peu près paisible.


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  • Prudence nous dit le prénom de Bigornette d'aujourd'hui.

    Prudence en a marre.

    Elle a vécu une vie consacrée aux autres, toujours prête à rendre service et voilà que maintenant qu'elle est morte et que donc, logiquement, elle devrait pouvoir jouir d'un repos bien mérité, voilà que Gabriel, le chef des anges, a décidé de la promouvoir ange gardienne (pas de raison de ne pas féminiser la profession) de Bigorbourg. DE TOUT Bigorbourg !!!

    Alors la pauvre Prudence ne sait plus où donner de la tête, bon d'accord elle a retrouvé ses jambes de vingt ans, mais quand même !

    Certes de son vivant, elle rendait service mais elle savait aussi se comporter de manière responsable, elle n'avait jamais réalisé à quel point ses concitoyens étaient de vrais kamikazes.

    Bon déjà en tête de liste, il lui faut veiller sur Prudence sa petite-nièce qui a hérité de son prénom, rien que pour ça elle lui doit bien un peu de protection supplémentaire.

    Prudence bis est donc une jeune casse-cou de la pire espèce, toujours à se fourrer dans des situations impossibles, comme grimper en haut d'un arbre et ensuite miauler qu'elle ne sait plus comment descendre, aller embêter les poules du fermier et piailler parce qu'elles lui picorent les mollets, se prendre pour un torero et enquiquiner le taureau, bon d'accord ce n'est pas un féroce, mais il doit bien charger de temps en temps pour garder son prestige et notre Prudence de meugler de détresse.

    Bref, Prudence l'aînée en a marre de cette mouflette, elle a beau se dire qu'elle va la laisser se débrouiller, c'est plus fort qu'elle, il faut qu'elle intervienne.

    Et ses autres ex-concitoyens ne sont pas mieux. Ici, en voilà un qui se perche sur une chaise branlante pour accrocher un cadre, celui-ci bidouille une prise électrique sans couper le courant, celle là jongle avec le couteau électrique branché, Prudence n'avait jamais réalisé le nombre d'engins susceptibles de causer des catastrophes.

    Bon d'accord, c'est vrai que l'ange coincé dans le bigorneau magique plus prodigue de bons conseils, mais en attendant c'est elle qui se pastille le boulot et elle est au bord de la crise de nerfs.

    Toute ronchonnante, elle s'en va voir le big boss Gabriel pour se plaindre de ce village d'écervelés et réclamer de l'aide.

    "Désolé" lui répond Gabriel "en ce moment c'est la crise des vocations, j'ai de plus en plus de mal à trouver des volontaires".

    "Mais je n'étais pas volontaire moi" s'indigne Prudence

    "Certes" rétorque Gabriel chafouin "mais vous êtes terriblement influençable".

    "C'est de l'arnaque, de l'abus de confiance" fulmine Prudence "Je vais me plaindre en haut lieu"

    "Euh, évitons d'en arriver à de telles extrémités" plaide Gabriel un peu penaud du vilain tour joué à cette brave femme "Je vous laisse les pleins pouvoirs pour mettre du plomb dans la tête des Bigobourgeois".

    Prudence, toujours bougonnante redescend sur terre bien décidée à en découdre avec les imprudents.

    Bon bien sûr, elle ne peut pas les laisser se blesser mais elle trouve un arrangement avec le petit peuple de l'air, de la terre, du feu, de l'eau et de l'électricité, dès qu'un imprudent est à deux doigts de faire une ânerie (toutes mes excuses Venceslas) une humânerie grosse comme lui dirons-nous plutôt, l'une des aides de Prudence lui murmure en boucle à l'oreille "Réfléchis, est-ce prudent, réfléchis, est-ce prudent,...".

    Bien sûr au début le Docteur Lazare en a vu défiler des habitants se plaignant d'entendre des voix.

    Mais petit à petit, voilà que la prudence est devenue une seconde nature chez les Bigorbourgeois.

    Bon, bien sûr, pour éviter la monotonie, de temps en temps Prudence permet une pitrerie ou deux, juste ce qu'il faut pour l'ambiance, mais au moins elle jouit enfin d'une éternité à peu près paisible.


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