• Le même soir où j'ai pris les photos de blasons présentées pour le casse-tête de Lajémy, j'en ai profité pour photographier aussi le beffroi de nuit. Le flou est bien sûr tout-à-fait voulu, si, si !!! J'ai juste un peu retouché la luminosité et le constraste et voila des photos abstraites.

     

    Comme des chandelles

    Tremblantes dans le soir naissant

    Lumières dans le ciel

     

    beffroi1

    beffroi2


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  • Le même soir où j'ai pris les photos de blasons présentées pour le casse-tête de Lajémy, j'en ai profité pour photographier aussi le beffroi de nuit. Le flou est bien sûr tout-à-fait voulu, si, si !!! J'ai juste un peu retouché la luminosité et le constraste et voila des photos abstraites.

     

    Comme des chandelles

    Tremblantes dans le soir naissant

    Lumières dans le ciel

     

    beffroi1

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  • Deux nouveaux exercices. Le premier avec des mots et le second sur le même principe avec des titres de chansons. N'hésitez pas lancez-vous !

    papillon - magique - broderie - sol - nuage - marche - vertige - glorieux - pause

    La pervenche glissa un papillon sous l'essuie glace de la voiture. Le pare-brise devait être un peu magique car le papillon de papier se transforma en broderie qui échoua sur le sol avant qu'un coup de vent ne l'emporte dans les nuages. La pervenche quant à elle lorsqu'elle assista à cette transformation stoppa sa marche vengeresse contre les automobilistes incivils et prise d'un vertige contempla le vide glorieux que lui présentait le pare-brise souriant. Il était temps pour elle de faire une pause.

    Elle avait des doigts magiques, ses broderies de papillons donnaient le vertige tant elles semblaient prêtes à s'envoler dans les nuages. Elle trouvait l'inspiration lors de ses marches au milieu des champs, faisant ici et là une pause pour capturer au fond de ses yeux la beauté glorieuse de ces insectes et la ramener sur notre sol si souvent privé de beauté.

    Le poinçonneur des lilas - L'alcool - Jeunes femmes et vieux messieurs

    Ch'ai du boire un peu trop d'alcool, chétait bon mais maintenant chai les genouX mouS. Hipche che voit un typehttp://ptitfred.p.t.pic.centerblog.net/ewkaevp7.jpg qui poinçhonne des lilas, chest n'importe quoi un poinchonneur des lilas. Cha fait rien che me chens bien toute léchère, hi, hi, hi, léchère comme les vêtements de ces cheunes femmes, sont bien mignonnes ches jeunes femmes mais qu'esse ce qu'elles font avec chez vieux schnocks, doivent pouvoir leur payer des p'tits coups à boire churement, ches vraiment chentils ce mélanche jeunes femmes et vieux meschieurs. Bon ben j'en va m'en rechetter un derrière la cravate moi, au moins ch'aurais des hallunica, hannuci, hachina, halluchinachions pour une bonne raichon !


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  • Deux nouveaux exercices. Le premier avec des mots et le second sur le même principe avec des titres de chansons. N'hésitez pas lancez-vous !

    papillon - magique - broderie - sol - nuage - marche - vertige - glorieux - pause

    La pervenche glissa un papillon sous l'essuie glace de la voiture. Le pare-brise devait être un peu magique car le papillon de papier se transforma en broderie qui échoua sur le sol avant qu'un coup de vent ne l'emporte dans les nuages. La pervenche quant à elle lorsqu'elle assista à cette transformation stoppa sa marche vengeresse contre les automobilistes incivils et prise d'un vertige contempla le vide glorieux que lui présentait le pare-brise souriant. Il était temps pour elle de faire une pause.

    Elle avait des doigts magiques, ses broderies de papillons donnaient le vertige tant elles semblaient prêtes à s'envoler dans les nuages. Elle trouvait l'inspiration lors de ses marches au milieu des champs, faisant ici et là une pause pour capturer au fond de ses yeux la beauté glorieuse de ces insectes et la ramener sur notre sol si souvent privé de beauté.

    Le poinçonneur des lilas - L'alcool - Jeunes femmes et vieux messieurs

    Ch'ai du boire un peu trop d'alcool, chétait bon mais maintenant chai les genouX mouS. Hipche che voit un typehttp://ptitfred.p.t.pic.centerblog.net/ewkaevp7.jpg qui poinçhonne des lilas, chest n'importe quoi un poinchonneur des lilas. Cha fait rien che me chens bien toute léchère, hi, hi, hi, léchère comme les vêtements de ces cheunes femmes, sont bien mignonnes ches jeunes femmes mais qu'esse ce qu'elles font avec chez vieux schnocks, doivent pouvoir leur payer des p'tits coups à boire churement, ches vraiment chentils ce mélanche jeunes femmes et vieux meschieurs. Bon ben j'en va m'en rechetter un derrière la cravate moi, au moins ch'aurais des hallunica, hannuci, hachina, halluchinachions pour une bonne raichon !


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  • Ne me demandez pas où Jill Bill a été nous trouver ce prénom pour notre cour de recréation !

    Dans la famille de Poppon, on est pompier de père en fils (et dieu merci, maintenant aussi en fille) et ce depuis Napoléon. Je vous laisse compter combien cela peut faire de générations de vaillants combattants du feu.

    Poppon ayant achevé son temps dans les Pompiers de Paris est venu s'installer à Bigorbourg sur les conseils de Monsieur Lazare qu'il a eu l'occasion de croiser lors d'une intervention qui … mais ceci est une autre histoire (que je ne connais pas encore).

    A peine installé Poppon (qui a sûrement une Madame, mais nous allons attendre patiemment qu'elle nous révèle son prénom) s'étant rendu compte que Bigorbourg ne disposait pas d'un centre de secours, a décidé de prendre les choses en main.

    Il a commencé par recruter quelques volontaires, entre autres, Anthelme le bedeau et ses cloches pour sonner l'appel au feu si besoin, Fulbert le garde-chasse chargé de veiller à ce qu'aucun départ de feu ne risque de venir saccager la belle forêt de Bigorbourg (encore qu'il serait étonnant qu'Eve la reine de la forêt laisse pareille chose se produire), Lazare bien sûr en tant que médecin.

    Ensuite il s'est chargé de recruter et de former une brigade de JSP (Jeunes Sapeurs Pompiers). Tout ce petit monde se prête avec bonne humeur aux exercices proposés par Poppon et apprend les gestes qui sauvent, même si cela implique la participation pas toujours volontaire de parents recrutés pour servir de mannequins pour les bandages ou la mise en position latérale de sécurité.

    Nos JSP se chargent aussi de vérifier avec beaucoup de sérieux que les habitations sont correctement sécurisées.

    Pour récompenser sa brigade, Poppon lui raconte les plus belles ou étonnantes interventions auxquelles il a participé. Vous voulez quelques exemples ? Eh bien, le feu dans une chocolaterie qui a embaumé toute la région, le renversement d'un camion contenant des poissons (pas facile à ramasser, ça glisse ces petites bêtes) et d'un autre transportant des yaourts (que la caserne s'est fait un plaisir de déguster à la demande du fabricant), la délivrance d'ouvriers piégés par l'effondrement d'une galerie.

    Il parle du feu avec passion, révélant qu'à plus d'une reprise il lui a fait face et que celui-ci lui a roussi les sourcils et les cheveux et son regard devient nostalgique lorsqu'il se souvient de l'esprit de corps qui le soudait à ses coéquipiers lors des interventions. **

    Et si Bigorbourg semble bien protégé du feu, il ne faut pas croire que Poppon et sa brigade ne servent à rien, pas du tout, ils sont là pour panser les petits bobos, pour récupérer les chats dans les arbres (à noter qu'à Bigorbourg, les chats sont parfaitement capables de redescendre tous seuls, mais ils aiment bien faire plaisir aux JSP), pour s'entraîner à monter à l'échelle ils se proposent volontiers pour aller cueillir les cerises et les pommes, ils sécurisent aussi les barbecues municipaux et les feux de la Saint Jean.

    Et pour s'exercer au maniement du tuyau, ils arrosent les pelouses bigorbourgeoises (mais rassurez-vous, pas de gaspillage, Olive, Pharaïlde et Colette se chargent de fournir l'eau).

    Bref Poppon a parfaitement réussi sa reconversion en tant que retraité actif. Il ajoute d'ailleurs qu'il vaut mieux être secouru par les pompiers en cas de pépins, savez-vous pourquoi ? A cause de la sirène des véhicules bien sûr, écoutez bien "Pin Pon" "Pin Pon" autrement dit "Tiens bon" "Tiens bon" !

    ** histoires racontées par mon père qui rentrait bien souvent à la maison en sentant le cochon grillé !

     


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