• Un atelier qui remonte déjà à un petit moment. Trois textes réalisés avec des titres de chansons, c'est le même principe qu'avec les mots mais en un peu plus tordu.

    Chansons d'Adamo

    C'est fou "le bien que tu me fais". "Mille ans déjà" que nous nous sommes rencontrés "au Café du temps perdu". Il était tenu par "Ce Georges" qui n'arrêtait pas de nous dire "Lâche pas ton rêve". J'étais "Toute seule" à cette table feuilletant "Mon agenda" quand tu m'as abordée une "Fleur" de "La couleur du temps" à la main. Tu m'as dit "La part de l'ange" c'est "Le féminin sacré". Maintenant je vais "Là où mon cœur me porte" "Vers toi" car "On n'peut plus s'quitter". Et si ça arrive "Comment veux-tu que je t'oublie ?"

    Chansons d'Anne Sylvestre

    "Après le théâtre" "La poule aux oeufs d'or" a mis "Cap au Nord" avec "Les rescapés des Fabulettes". Elle a fait une "Pause" "Zen" "Bye Mélanco" a-t-elle caqueté "Laissez les enfants" chanter "Ah l'amour, l'amour" et "Gay marions-nous" au coq de service.

    Chansons de Gullivan (et clin d'œil à Frida Boccara)

    "Une nuit humide" "L'épouvantail" qui s'amusait à "Taquiner le doudou" fit un "Appel à candidature" enhttp://2.bp.blogspot.com/_859vlFbZ3Sc/S1O-EG3ErPI/AAAAAAAABhQ/xdAX1EsUPYg/s400/779849.jpg envoyant le "Billet" suivant : "Le clou et la lune" voulaient disputer une "Partie d'échecs" avec le "Scout" et la "Vouivre" "Si belle". Le "Picbois" jaloux s'exclame non "Elle m'attend" sur "Le bout du banc". Forts dépités, le clou, la lune et le scout s'en allèrent boire "Le whisky de papa" avec l'épouvantail.


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  • Un brin à la bourre ce soir, je vous propose un article que, prévoyante, j'avais mis en stock !




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  • Un brin à la bourre ce soir, je vous propose un article que, prévoyante, j'avais mis en stock !




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  • Pour aujourd’hui, Jill Bill convie dans sa cour de récré le prénom Josaphat. Après quelques petites recherches ce prénom n’ayant été donné que 16 fois depuis 1900, je me suis permise de jouer un peu avec, comme vous allez pouvoir le lire.

    Hier soir en se couchant, il a semblé à Léonce entendre comme des pleurs dans le grenier au-dessus de sa chambre. Elle a bien pensé au début qu’il ne s’agissait que du vent qui jouait avec la toiture, mais ce matin, le même bruit persiste.

    Devant se rendre au lycée, elle confie l’enquête à son trio de choc : j’ai nommé le lutin Anicet, sa petite amie Wenefride et leur ami le diablotin Innocent.

    Tous trois se glissent donc, pas trop farauds quand même, dans le grenier. Il y fait sombre et les objets qui s’y reposent ont parfois des ombres un peu inquiétantes.

    Les deux garçons (on peut être lutin et diablotin et avoir les mêmes travers que les humains) essayent de prendre l’expédition à la légère, se poussent du coude et étouffent des gloussements, mais c’est de l’esbroufe, en fait, ils n’en mènent pas large.

    Pour le moment pas le moindre bruit, le trio bien décidé à ne pas pousser l’investigation trop loin est prêt à tourner les talons quand des sanglots se font entendre dans un coin reculé du grenier.

    Ils se regardent et avancent en se tenant par la main, histoire de se donner du courage, ils ne veulent pas décevoir Léonce.

    Bientôt, ils arrivent à la source des pleurs. Ils ont devant eux ce qui ressemble à un mélange de fourrure et de cuir. Qu’est-ce que peut bien être ce truc bizarre.

    La curiosité l’emportant sur la peur, ils touchent ensemble l’étrange boule, c’est chaud, c’est doux et CA RESPIRE !

    Repli stratégique des aventuriers du grenier perdu.

    Mais les plaintes fendent le cœur de Wenefride qui, courageusement, s’approche à nouveau et interroge.

    « Tu es quoi ? »

    Trois petites voix sortent en stéréo de la masse duveuteuse.

    « Nous sommes Jo Za Fa »

    « Jo Za Fa ? Mais encore ? »

    Un petit museau pointu émerge de la boule, puis un second et un troisième. Trois petites bouilles de renard avec de grands yeux bien ronds regardent les nouveaux venus.

    Anicet et Innocent s’exclament d’une seule voix « Des chauves-souris, sauve qui peut, elles vont nous manger ! »

    Wenefride tempère ses acolytes d’un bref et cassant « Vous êtes nuls, ce sont des roussettes et elles ne mangent que des fruits. Remarquez vous avez l’air de fruits, des bananes par exemple ».

    Puis se tournant vers Jo Za et Fa « Qu’est ce que vous faites ici et pourquoi pleurez-vous ? »

    « Nous étions en train de jouer » reprend le trio « quand nous sommes entrés ici par accident, nous nous sommes cognés et maintenant nous sommes tout emmêlés »

    En effet, les ailes délicates des trois chauves-souris sont imbriquées les unes dans les autres.

    « Zou, les garçons au boulot »

    Wenefride prend les opérations en main, Anicet et Innocent s’avancent pas trop rassurés, mais ils ne vont pas faire les poules mouillées devant une fille, même si ces bestioles ont l’air bien grandes par rapport à eux.

    Après de nombreux efforts, les trois petites (en âge) chauves-souris sont délivrées et elles poussent force soupirs de soulagement avant de se remettre à couiner.

    « Quoi encore ? » interroge Wenefride.

    « Il fait jour, nous n’allons pas pouvoir rentrer chez nous et nos mamans vont s’inquiéter ! »

    « Ah ces gosses ! » maugrée Wenefride « J’ai une idée. Soyez sages tous les cinq je reviens le plus vite possible ». Un claquement de doigt et Wenefride disparaît.

    Après un petit moment d’incertitude les cinq nouveaux compagnons commencent à parler, à échanger des recettes de bêtises, à rire.

    Juste avant qu’ils ne commencent à se laisser un peu trop aller, Wenefride est de retour. Toute contente d’elle, elle s’avance cachant quelque chose dans son dos.

    Jo, Za, Fa, Anicet et Innocent l’entourent plein de curiosité.

    « C’est quoi ? Qu’est ce que tu caches ? »

    Avec un rire, Wenefride tend les mains, dedans trois petites paires de lunettes de soleil spécialementhttp://jeu.123boutchou.com/_images/123jeu/coloriage/coloriage-chauve-souris-c.jpgfabriquées en urgence par Gildas, l’opticien de Bigorbourg.

    « Voilà, mettez ça sur votre museau et vous pourrez rentrer à la maison sans être éblouis ! »

    « Super » se mettent à gazouiller Jo, Za et Fa. Ils se concertent un instant puis proposent « Pour vous remercier, ça vous dirait de faire un petit vol ? »

    Bien sûr, que nos trois petits amis sont intéressés. Jo, Za et Fa chaussent leurs lunettes de soleil, Wenefride, Anicet et Innocent, les guident vers la sortie et s’installent confortablement entre leurs ailes. Et c’est le départ pour la grande aventure.

    Une qui a cru avoir la berlue, c’est Léonce, lorsqu’elle a cru voir passer devant les fenêtres de sa classe, les trois mini terreurs qu’elle héberge à cheval sur des chauves-souris !


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  • Pour aujourd’hui, Jill Bill convie dans sa cour de récré le prénom Josaphat. Après quelques petites recherches ce prénom n’ayant été donné que 16 fois depuis 1900, je me suis permise de jouer un peu avec, comme vous allez pouvoir le lire.

    Hier soir en se couchant, il a semblé à Léonce entendre comme des pleurs dans le grenier au-dessus de sa chambre. Elle a bien pensé au début qu’il ne s’agissait que du vent qui jouait avec la toiture, mais ce matin, le même bruit persiste.

    Devant se rendre au lycée, elle confie l’enquête à son trio de choc : j’ai nommé le lutin Anicet, sa petite amie Wenefride et leur ami le diablotin Innocent.

    Tous trois se glissent donc, pas trop farauds quand même, dans le grenier. Il y fait sombre et les objets qui s’y reposent ont parfois des ombres un peu inquiétantes.

    Les deux garçons (on peut être lutin et diablotin et avoir les mêmes travers que les humains) essayent de prendre l’expédition à la légère, se poussent du coude et étouffent des gloussements, mais c’est de l’esbroufe, en fait, ils n’en mènent pas large.

    Pour le moment pas le moindre bruit, le trio bien décidé à ne pas pousser l’investigation trop loin est prêt à tourner les talons quand des sanglots se font entendre dans un coin reculé du grenier.

    Ils se regardent et avancent en se tenant par la main, histoire de se donner du courage, ils ne veulent pas décevoir Léonce.

    Bientôt, ils arrivent à la source des pleurs. Ils ont devant eux ce qui ressemble à un mélange de fourrure et de cuir. Qu’est-ce que peut bien être ce truc bizarre.

    La curiosité l’emportant sur la peur, ils touchent ensemble l’étrange boule, c’est chaud, c’est doux et CA RESPIRE !

    Repli stratégique des aventuriers du grenier perdu.

    Mais les plaintes fendent le cœur de Wenefride qui, courageusement, s’approche à nouveau et interroge.

    « Tu es quoi ? »

    Trois petites voix sortent en stéréo de la masse duveuteuse.

    « Nous sommes Jo Za Fa »

    « Jo Za Fa ? Mais encore ? »

    Un petit museau pointu émerge de la boule, puis un second et un troisième. Trois petites bouilles de renard avec de grands yeux bien ronds regardent les nouveaux venus.

    Anicet et Innocent s’exclament d’une seule voix « Des chauves-souris, sauve qui peut, elles vont nous manger ! »

    Wenefride tempère ses acolytes d’un bref et cassant « Vous êtes nuls, ce sont des roussettes et elles ne mangent que des fruits. Remarquez vous avez l’air de fruits, des bananes par exemple ».

    Puis se tournant vers Jo Za et Fa « Qu’est ce que vous faites ici et pourquoi pleurez-vous ? »

    « Nous étions en train de jouer » reprend le trio « quand nous sommes entrés ici par accident, nous nous sommes cognés et maintenant nous sommes tout emmêlés »

    En effet, les ailes délicates des trois chauves-souris sont imbriquées les unes dans les autres.

    « Zou, les garçons au boulot »

    Wenefride prend les opérations en main, Anicet et Innocent s’avancent pas trop rassurés, mais ils ne vont pas faire les poules mouillées devant une fille, même si ces bestioles ont l’air bien grandes par rapport à eux.

    Après de nombreux efforts, les trois petites (en âge) chauves-souris sont délivrées et elles poussent force soupirs de soulagement avant de se remettre à couiner.

    « Quoi encore ? » interroge Wenefride.

    « Il fait jour, nous n’allons pas pouvoir rentrer chez nous et nos mamans vont s’inquiéter ! »

    « Ah ces gosses ! » maugrée Wenefride « J’ai une idée. Soyez sages tous les cinq je reviens le plus vite possible ». Un claquement de doigt et Wenefride disparaît.

    Après un petit moment d’incertitude les cinq nouveaux compagnons commencent à parler, à échanger des recettes de bêtises, à rire.

    Juste avant qu’ils ne commencent à se laisser un peu trop aller, Wenefride est de retour. Toute contente d’elle, elle s’avance cachant quelque chose dans son dos.

    Jo, Za, Fa, Anicet et Innocent l’entourent plein de curiosité.

    « C’est quoi ? Qu’est ce que tu caches ? »

    Avec un rire, Wenefride tend les mains, dedans trois petites paires de lunettes de soleil spécialementhttp://jeu.123boutchou.com/_images/123jeu/coloriage/coloriage-chauve-souris-c.jpgfabriquées en urgence par Gildas, l’opticien de Bigorbourg.

    « Voilà, mettez ça sur votre museau et vous pourrez rentrer à la maison sans être éblouis ! »

    « Super » se mettent à gazouiller Jo, Za et Fa. Ils se concertent un instant puis proposent « Pour vous remercier, ça vous dirait de faire un petit vol ? »

    Bien sûr, que nos trois petits amis sont intéressés. Jo, Za et Fa chaussent leurs lunettes de soleil, Wenefride, Anicet et Innocent, les guident vers la sortie et s’installent confortablement entre leurs ailes. Et c’est le départ pour la grande aventure.

    Une qui a cru avoir la berlue, c’est Léonce, lorsqu’elle a cru voir passer devant les fenêtres de sa classe, les trois mini terreurs qu’elle héberge à cheval sur des chauves-souris !


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