• Echo – Ingrid Desjours

    http://www.decitre.fr/images/genere-miniature.aspx?ndispo=/pi/petite-image-non-disponible.jpg&img=/pi/88/9782259208888TN.gif&wmax=70&hmax=110Résumé Decitre : Le star-system est en deuil depuis que les frères Vaillant, présentateurs adulés de l'émission du moment, ont été sauvagement assassinés. Appelée en renfort auprès du commandant Vivier, l'experte en sexo-criminologie Garance Hermosa établit vite que le crime, obéissant à un obscur rituel, est l'œuvre d'un esprit particulièrement sadique et torturé. Mais dans cet univers de strass et de paillettes où les volontés de nuire sont légion, tous ceux que croisent le policier et sa collaboratrice ont une personnalité assez perverse pour être suspects.
    Afin de démasquer le meurtrier, la jeune profiler à la vie chaotique devra s'en faire le miroir. Au risque d'épouser sa folie et de plonger au cœur du mal...

    Mon avis : Un policier français plutôt bien réussi avec une approche intéressante par une jeune psychologue pour le moins atypique et qui manifestement traîne un certain nombre de casseroles dont nous ne découvrirons que les effets à défaut des causes (peut-être dans le prochain tome). Cette jeune personne est un vrai caméléon qui sait s'adapter aux personnalités qu'elle a en face d'elle, elle sait les caresser dans le sens du poil ou les brusquer quand il faut, et même parfois quand il ne le faut pas, mais avec elle ça bouge, le pauvre commandant Vivier ne sait pas toujours à quel saint se vouer avec celle qu'il appelle "mon sucre". Quant aux victimes, elles sont franchement peu, voire pas sympathiques du tout, mais qu'est ce qui a bien pu les pousser à devenir des pervers, ces deux frères jumeaux qui ne formaient qu'une seule et même entité et qui prenaient plaisir à détruire les autres ? Ceci étant plus on avance dans le livre et plus on ressent quand même un peu de pitié (rien qu'un peu) pour eux. On suit également par son journal interposé le calvaire d'une enfant martyre. Qui est-elle exactement, cela ne se révèle que petit à petit. Une seule petite chose m'a un peu gênée qu'une psychologue ne connaisse pas le mythe de Narcisse et le complexe qui en découle, mais bon, sans cela l'affaire aurait été résolue trop vite. Une lecture agréable et deux personnages attachants.


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  • Gaffes et boulettes pour le Casse-tête de Lajemy de cette semaine. En voici quelque unes qui me sont revenues en mémoire.

    Jeune secrétaire, je reçois un client pour mon chef. "Ne quittez pas" lui dis-je "je vais le chercher", il faut croire que le téléphone m'avait traumatisée.

    Je rencontre le nouveau stagiaire, un beau noir très sympathique. Une de mes collègues me dit "Ah c'est le monsieur avec les grosses lunettes ?". En toute bonne foi je réponds "Des lunettes, non il n'a pas de lunettes". Ben si, il avait des lunettes de vraies roues de vélo, mais bon portant moi-même des lunettes c'est le genre de détail que je ne remarque pas.

    Je rencontre un ancien chef "Tiens vous vous êtes laissé pousser la moustache ?" "Non, j'ai rasé ma barbe". Et dire que j'avais travaillé avec lui plus de 5 ans !

    Un de mes chefs entre dans mon bureau, me dit bonjour et tend la main. Je regarde la-dite main, l'endroit qu'elle indique et je demande "Oui, vous voulez du papier ?" "Non" répond-il "je voulais vous serrer la main !" A ma décharge il faut préciser qu'il ne serrait que très rarement la main des sous-fifres.

    Cérémonie des vœux au boulot, après la corvée des discours, l'accès au buffet est annoncé. Je me tourne vers ma voisine et lui dit "Ah nous pouvons aller à la sainte table". Pincée elle réplique "Table oui, sainte je ne crois pas". Flûte je m'étais adressée à la femme catholique pure, dure et pratiquante d'un de mes chefs !

    Autres gaffes familiales

    Ma mère enfant (juste avant la seconde guerre) faisait du trafic de café entre la Belgique et la France avec ma grand-mère (bon quand je dis trafic, je parle d'un kilo, à l'époque il semble qu'un seul paquet était autorisé par famille et pas deux comme c'était le cas en l'occurrence), un jour elles tombent sur des douaniers. "Vous êtes ensemble ?" demande un des pandores et ma mère de répondre "Non, on n'est pas ensemble, hein Maman ?" Confiscation des deux paquets bien sûr !

    Mon mari revient avec des médicaments pour lui. Au moment de prendre son traitement il me demande où je les ai rangés. "Je n'y ai pas touché !" "Mais si, je ne les trouve pas". Après enquête, j'ai retrouvé les médicaments dans le réfrigérateur !

    Mon fils tout petit avait assisté à un repas de famille lors duquel un cousin avait dit qu'il s'était fait arrêter en mobylette par les "coyotes". Question de mon loustic, "c'est quoi maman des coyotes", là bien sûr je lui ai expliqué que dans ce contexte précis il s'agissait d'agents de police. Quelques jours plus tard, les flics nous arrêtent en voiture pour un contrôle banal de papier. Le père descend de voiture pour les présenter et heureusement qu'il est descendu et que les vitres étaient fermées, parce que venant du siège auto derrière moi, une petite voix bien perçante s'écrie "Dis, Maman, ils veulent quoi à Papa les coyotes ?" Marrant comme certains termes s'inscrivent bien dans les petites têtes.

    Mon père Pompier de Paris emmène ses hommes à un exercice de tir (va savoir pourquoi), ils se révèlent http://gifs.gratuits.pagesperso-orange.fr/fond%20ecran%20Gaston_Lagaffe/fond%20ecran%20Gaston%20Lagaffe%2008_small.jpgpiètres tireurs. Un jeune lieutenant le fait remarquer à mon père qui lui réplique (inutile de dire que là il ne s'agit pas vraiment d'une gaffe) "Mais mon Lieutenant jusqu'à maintenant personne n'a jamais réussi à éteindre un feu en lui tirant dessus à la mitraillette !". Logique, mais peu propice pour la promotion.

    Bon, il y en a eu d'autres, mais ce sera pour une autre fois peut-être.


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  • Gaffes et boulettes pour le Casse-tête de Lajemy de cette semaine. En voici quelque unes qui me sont revenues en mémoire.

    Jeune secrétaire, je reçois un client pour mon chef. "Ne quittez pas" lui dis-je "je vais le chercher", il faut croire que le téléphone m'avait traumatisée.

    Je rencontre le nouveau stagiaire, un beau noir très sympathique. Une de mes collègues me dit "Ah c'est le monsieur avec les grosses lunettes ?". En toute bonne foi je réponds "Des lunettes, non il n'a pas de lunettes". Ben si, il avait des lunettes de vraies roues de vélo, mais bon portant moi-même des lunettes c'est le genre de détail que je ne remarque pas.

    Je rencontre un ancien chef "Tiens vous vous êtes laissé pousser la moustache ?" "Non, j'ai rasé ma barbe". Et dire que j'avais travaillé avec lui plus de 5 ans !

    Un de mes chefs entre dans mon bureau, me dit bonjour et tend la main. Je regarde la-dite main, l'endroit qu'elle indique et je demande "Oui, vous voulez du papier ?" "Non" répond-il "je voulais vous serrer la main !" A ma décharge il faut préciser qu'il ne serrait que très rarement la main des sous-fifres.

    Cérémonie des vœux au boulot, après la corvée des discours, l'accès au buffet est annoncé. Je me tourne vers ma voisine et lui dit "Ah nous pouvons aller à la sainte table". Pincée elle réplique "Table oui, sainte je ne crois pas". Flûte je m'étais adressée à la femme catholique pure, dure et pratiquante d'un de mes chefs !

    Autres gaffes familiales

    Ma mère enfant (juste avant la seconde guerre) faisait du trafic de café entre la Belgique et la France avec ma grand-mère (bon quand je dis trafic, je parle d'un kilo, à l'époque il semble qu'un seul paquet était autorisé par famille et pas deux comme c'était le cas en l'occurrence), un jour elles tombent sur des douaniers. "Vous êtes ensemble ?" demande un des pandores et ma mère de répondre "Non, on n'est pas ensemble, hein Maman ?" Confiscation des deux paquets bien sûr !

    Mon mari revient avec des médicaments pour lui. Au moment de prendre son traitement il me demande où je les ai rangés. "Je n'y ai pas touché !" "Mais si, je ne les trouve pas". Après enquête, j'ai retrouvé les médicaments dans le réfrigérateur !

    Mon fils tout petit avait assisté à un repas de famille lors duquel un cousin avait dit qu'il s'était fait arrêter en mobylette par les "coyotes". Question de mon loustic, "c'est quoi maman des coyotes", là bien sûr je lui ai expliqué que dans ce contexte précis il s'agissait d'agents de police. Quelques jours plus tard, les flics nous arrêtent en voiture pour un contrôle banal de papier. Le père descend de voiture pour les présenter et heureusement qu'il est descendu et que les vitres étaient fermées, parce que venant du siège auto derrière moi, une petite voix bien perçante s'écrie "Dis, Maman, ils veulent quoi à Papa les coyotes ?" Marrant comme certains termes s'inscrivent bien dans les petites têtes.

    Mon père Pompier de Paris emmène ses hommes à un exercice de tir (va savoir pourquoi), ils se révèlent http://gifs.gratuits.pagesperso-orange.fr/fond%20ecran%20Gaston_Lagaffe/fond%20ecran%20Gaston%20Lagaffe%2008_small.jpgpiètres tireurs. Un jeune lieutenant le fait remarquer à mon père qui lui réplique (inutile de dire que là il ne s'agit pas vraiment d'une gaffe) "Mais mon Lieutenant jusqu'à maintenant personne n'a jamais réussi à éteindre un feu en lui tirant dessus à la mitraillette !". Logique, mais peu propice pour la promotion.

    Bon, il y en a eu d'autres, mais ce sera pour une autre fois peut-être.


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  • Nous chats sommes en train d'acquérir la bipédie, il ne nous manque plus que le pouce opposable !


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